Leur point commun est d’avoir pris le pouvoir par la force sans réussir à le conserver et d’être contraint par la communauté internationale à le quitter sans délai.
Quelque soit la gravité de la situation dans un pays, un coup d’Etat n’est jamais une solution. En Afrique, les militaires qui ont pris le pouvoir par la force, ces derniers temps, n’ont pas pu rester à la tête de leur pays. Ils ont été contraints à rendre le tablier. Les cas récents de Amadou Haya Sanogo du Mali et de Michel Djotodia de la Centrafrique sont illustratifs. Sans oublier, le cas du capitaine Dadis Camara de la Guinée Conakry.
AFP
Tout d’abord au Mali, à la suite d’une mutinerie des hommes de rang ont pris d’assaut le Palais de Koulouba. Le président ATT ayant pris la tangente, les mutins à leur tête un certain capitaine Amadou Haya Sanogo, s’empare du pouvoir, le 22 mars 2012. Après avoir réussi leur coup, Amadou Haya Sanogo et ses camarades, regroupés au sein du comité national pour le redressement de l’Etat et la restauration de la démocratie (Cnrdre), ont fait face à une forte pression de la communauté des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) pour le retour à l’ordre constitutionnel. En effet, le président de l’ex Cnrdre, Amadou Haya Sanogo, a fini par accepter. La suite est connue et c’est Dioncounda Traoré (alors président de l’Assemblée nationale) qui a eu à conduire la transition.
Au Centrafrique, on assiste presque au même scenario. Après avoir également chassé François Bozizzé du pouvoir, Michel Djotidia ne mènera pas la transition à terme. Une guerre éthnico-confessionnelle l’emporte. Tout comme Amadou Haya Sanogo. Il a été contraint, par les chefs d’Etat de la Communauté économique des États de l’Afrique Centrale (Ceeac) qui s’étaient réunis, la semaine dernière, en sommet extraordinaire à N’Djamena, le contraignant à la démission, avec son Premier ministre, Nicolas Tiangaye, à la tête de la République Centrafricaine.
Signalons qu’au sommet des chefs d’Etas de la Ceeac, les tractations se sont tenues jusqu’à 4 heures du matin, entre les membres du Conseil national de transition centrafricain (Cnt), des proches du chef de l’Etat centrafricain issus de l’ex-rébellion Séléka qui a pris le pouvoir à Bangui en mars, et des représentants des milices antibalaka, hostiles à Michel Djotodia, président par intérim autoproclamé depuis le 24 mars 2013. La communauté internationale reproche au président, Michel Djotodia, de ne pas parvenir à mettre fin aux violences inter religieuses et aux exactions dans son pays. Et c’est face à ces violences, qu’après avoir démissionné, Djotodia a quitté Bangui pour s’exiler à Cotonou samedi dernier. L’objectif est de rétablir l’ordre dans le pays et d’organiser le plus rapidement possible des élections qui permettront de rétablir la paix.
Michel Djotodia a, tout de même, pu réussir à fuir son pays, il n’en est pas de même pour Amadou Haya Sanogo qui est en prison, accusé d’enlèvements et complicités de meurtre sur 21 soldats. Sanogo et Djotodia, deux hommes un destin…ou un point commun.
Aliou Touré
Arrêtez de comparer deux choses incompatibles. Djotoja a eu l’accord de l’ua et de son pays pour gouverner la transition, il a même prêté serment. Ce n’est pas le cas du monkey 4 étoiles. soyons raisonnables un peu. Djotoja a eu l’humilité de quitter le pouvoir pour ne pas empirer la situation de son pays. De grâce, respectez nous un peu en faisant des analyses clairvoyantes.
Ligne de force : Le Général Sanogo porteur d’une double malédiction
Saouti Labass Haïdara, Dirpub L’Indépendant
Le capitaine bombardé général de corps d’armée (le ridicule a cessé de tuer au Mali depuis bien longtemps) n’est plus qu’un détenu dans l’attente d’être jugé et probablement condamné à la peine capitale pour » enlèvements, séquestrations, meurtres, assassinats et complicité de meurtres et d’assassinats « . Ouf ! La liste serait beaucoup plus longue et tristement impressionnante si l’on y avait inclus tous les actes, aussi abominables les uns que les autres, qui ont jalonné le parcours de cet individu sorti de nulle part et entré par effraction, un certain 21 mars 2012, dans l’histoire du Mali et la vie des Maliens.
Le coup d’Etat qu’il a conduit à cette date a apporté la malédiction à son pays et à lui-même. Le Mali, jusque-là si fier de son passé glorieux et jaloux de sa souveraineté, a vu les deux tiers de son territoire occupés par des groupes armés venus de l’extér
TOURE C’EST VRAIMENT MINABLE DE TA PART,LE FAIT DE COMPARER DJOTODIA A CE VEREUX DE SANOGO.DJOTODIA A ETE PLEBISCITE POUR PILOTER LA TRANSITION DANS SON PAYS,APRES LA FUITE DE BOZIZE.IL AVAIT LE SOUTIEN DE L’UA,DE LA CEDEAO,DE LA CEMAC,BREF DE TOUS LES CHEFS D’ETAT AFRICAIN SAUF,PAUL BIYA.SANOGO EST VENU PAR LA PETITE PORTE ET REPARTIT PAR UN TROU DE SOURIS,MEME PAS PAR LA FENETRE.DJOTODIA N’A PAS BRUTALEMENT MIS FIN AU SANG DU PEUPLE QUI EST LA CONSTITUTION.D’AILLEURS LA SITUATION DES PAYS EST D’AUTANT PLUS DIFFERENT,QUE LA COMPARAISON NE DEVRAIT PAS SE POSER.
Ne vous laissez pas aller en besogne,le coup d’Etat de SANOGO nous a permis de faire des élections propres et crédibles au Mali. Cette fois-ci ce n’est pas le candidat de la France qui a remporté l’élection présidentielle au Mali. Avant même l’élection, nous avons dit haut et fort que c’est notre candidat qui remportera l’élection présidentielle. Cela a été réalisé au vu et su de toi et de tout le monde. Dis-moi, n’eût été le coup d’Etat de SANOGO, on n’aurait pas eu notre choix à Koulouba comme il l’est présentement. On procède actuellement à l’arrêt des voleurs des deniers publics.
Est-ce en réalité SANOGO est comparable M. Djotodia?Non encore non et non encore non.
Merci mon Général de corps d’armées pour la mission accomplie et pour le travail bien fait , ton coup d’Etat était un mal nécessaire pour le pays.
AH bon, IBK n’est pas le candidat de la France? Mais où étiez vous donc? Soyons clairvoyants.
he buddy qui te dit que IBK n’est pas le candidat de la France. consernant sanogo celui qui se disait le plus brave now pleurniche sur son sort. En mon avis sanogo merite d’etre conmdane pour haut trahison contre le pays pour avoir fair un coup en un moment crusial et demander au militaire de d’abandonner le nord au main des forces hostile.
walahi, Djotodia vaut 100 mille mieux que haya. le 1er a su partir et le second chassé et emprisonné. Abas haya le voyou, voleur assassin et que sais-je encore
L’histoire de amadou yaya devrai ouvrir les yeux de mes compatriotes.ces marabouts,féticheurs peuvent rien faire contre la volonté de dieu.sinon cmt expliquer le coup d’ETA de aya.on sait k nos politiques ont tous 1comite daga.kon nous explique cmt ATT n’a pas pu être averti par ts ces escros alors k leur mission principale c’est de le protéger
Ça seulement ça suffi pour comprendre tout et mieux le bâton ridicule du capitaine.meditons nous sur ces faits et on aura la réponse ,mais j’ai peur car c’est tellemt encre ds nos têtes kon va encore trouve des explications bidons.
Michel Djotodja a été confirmé et il a preté serment comme president de la transition mais c’est la guerre ethnique qui commencé puis dégénérer afin qu’il renonce au pouvoir…”il n’a rien fait et a laissé faire”
Mais Sanogo voulais mené la transition mais ils ne l’ont pas laissé…
Donc c different.
Je me demande qui peut essayer ou faire un coup d’état en ce 21ème siècle. Ils sont juste cons de croire qu’ils peuvent y rester par la force. C’est par les urnes et non les armes et il faut le mériter.
dans un trouble il est toujours necessaire d’assainir, ce que je veux vous comprendre un coup est tjrs necessaire pour sauver un pays en danger si le president n’arrive à assumer ses responsabilités.
“Michel Djotodia a, tout de même, pu réussir à fuir son pays, il n’en est pas de même pour Amadou Haya Sanogo qui est en prison, accusé d’enlèvements et complicités de meurtre sur 21 soldats….”
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Oui… mais notre lâche née cambrioleur … tortionnaire … et assassin ne pouvait pas fuir … en moins que ce ne soit pour aller à la CPI … une pire option …. 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Il ne faut pas non plus oublier … qu’on lui a fait croire qu’un bâtonnet quelconque pouvait faire d’un simple mortel … un Dieu … 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Tout marchait à leurs yeux … surtout qu’ils ont pu élire un complice passif au pouvoir … MAIS HÉLAS … C’ÉTAIT UNE ILLUSION CAR LUI NE POUVAIT PAS LES SAUVER SANS SE COMPROMETTRE … 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Moussa Ag,… SANOGO NE POUVAIT PAS QUITTER … SANOGO NE POUVAIT PAS RESTER … SINKO LE REJOINDRA BIENTÔT … AVEC QUELQUES AUTRES INDIGNES GÉNÉRAUX DE LA MILICE… 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Meeeeerde …. j’ai oublié….
L’autre n’a pas échappé non plus au sort qu’il sait crée DEH…. ils iront le cueillir … JUSTE UNE QUESTION DE TEMPS…. 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Moussa Ag,… SALE TEMPS POUR LES PUTSCHISTES ….. 😆 😆 😆 😆 😆 😆
C’est qui l’autre? 😆 😆 😆
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