Il ne s’agit pas là d’une interview du président Konaré, mais d’un recueil de discours prononcés par l’homme au cours des deux mandats présidentiels à lui confiés par le peuple Malien de 1992 à 2002. Ces discours aujourd’hui encore d’actualité viennent d’être compilés par les Editions Cauris en deux volumes : ‘’l’Afrique se lève à l’Ouest ‘’ et Pour une Afrique Unie’’. Les deux volumes sont logés dans un coffret dit FIDELE A NOTRE DESTIN.
Volume 1-
L’Afrique se lève à l’ouest
L’Afrique, « berceau de l’humanité », a un destin à accomplir. Alpha Oumar Konaré en est convaincu.
Militant de l’Unité Africaine mû par une intuition visionnaire, il a mis à profit ses années à la tête du Mali pour contribuer à bâtir la nouvelle Afrique en commençant par l’Afrique de l’Ouest. De l’OMVS à la CEDEAO, il n’a eu de cesse de rapprocher les Etats, et surtout les hommes, forces vives du continent. Pas de développement sans démocratie, et rien de possible sans la paix. Tels sont le leitmotiv qui reviennent.
Premier président de la IIIe République du Mali, de 1992 à 2002, puis à la tête de la Commission de L’Union africaine jusqu’en 2008, Alpha Oumar Konaré fonde cette année-là le Mouvement pour les Etats-Unis d’Afrique. Ses discours ont été rassemblés en huit volumes thématiques associés par paires :
. Ensemble debout est appel à la vigilance démocratique ;
. Fidèle à notre destin se concentre sur la construction de l’Afrique ;
. Nous ferons le Mali récapitule les nombreux chantiers du Mali ;
. Notre combat sera Unité invité à la paix universelle.
Le neuvième volume, La Bataille du souvenir, clôt l’ensemble par une série d’hommages rendus à ceux qui ont contribué à bâtir un monde meilleur en Afrique. Discours réunis dans ce volume.
Volume 2-
Pour une Afrique unie
Alpha Oumar Konaré a mis à profit ses années à la tête du Mali puis de la Commission de l’Union africaine pour contribuer à bâtir la nouvelle Afrique. Malgré les innombrables défis auxquels doit faire face le continent en butte à l’extrême pauvreté, AOK n’a jamais cessé de mener sa bataille pour la démocratie ni d’affirmer sa confiance en l’Afrique, sa foi en l’homme.