Alliance nationale de congrès pour le développement du Mali (ANCD- MALI) a tenu le samedi dernier dans son siège sis à Djilibougou, sa première assemblée générale extraordinaire. Objectif : informer ses militants sur la vie du parti. C’était sous la présence du président du parti, M. Alassane Dembélé, en présence de son premier vice-président, M. Adama Coulibaly et de plusieurs militants venus des differentes communes du district de Bamako.
Après les mots de bienvenue, le président dans son exposé a rappelé que l’ANCD est un parti jeune sur l’échiquier politique Malien. Selon lui, il a été créé depuis le 22 septembre 2010, mais c’est le 7 février dernier que l’Etat malien à travers son ministère de l’administration territoriale a délivré le récépissé du parti, c’est-à-dire le parti a été reconnu officiellement par l’Etat malien à travers le récépissé.
Selon lui, «l’ambition d’un parti politique n’est pas compliquée, c’est la prise de conscience qui pousse un groupement de personne à se retrouver en entité bien formée pour chercher le pouvoir ; donc l’ANCD n’est pas créée pour être un complément de sujet d’aucune formation politique au Mali, qu’il soit grand, puissant ou moins puissant, notre formation a été créée parce que nous ne sommes pas d’accord avec ce qui se passe dans notre pays, le Mali. Nous pensons que ce groupe de jeune avec ses femmes peuvent mieux faire pour changer le Mali, donc c’est pourquoi nous voulons chercher le pouvoir, à briguer la magistrature suprême, chercher également le pouvoir, à être des députés à travers la république, chercher le pouvoir, à être des conseillers municipaux ou des maires.
Ce parti n’est pas un parti télécommandé ou téléguidé, c’est un parti qui a été initié par les jeunes, les différentes promotions des volontaires de l’APEJ, excepté la première promotion et par certaines femmes du gouvernorat. C’est déjà un soubassement qui est là, pour servir cette nation. Voilà un peu l’ambition qui nous a motivée et nous allons travailler dans ce sens pour la réussite du Mali futur».
Au cours de cette rencontre, le président du parti ANCD, M. Alassane Dembélé, a donné son avis sur la situation actuelle du pays. Pour lui, le Mali a besoin de se construire et la reconstruction ne peut pas se faire tant que les maliens ne se communiquent pas, alors «chacun de nous a besoin de l’autre, nous devons être unis, solidaires, débout comme un seul homme pour faire face aux nombreux défis actuels et futurs», a-t-il conclu.
Fatogoma COULIBALY, Stagiaire
Qu’on reprenne tout à zéro. Il faut dissoudre tous les partis politiques et limiter le nombre à 3. Plus de 100 partis pour quoi faire ? Au moment où les policiens ont deçus les maliens, d’autres partis se crééent pour agraver la souffrance de ce peuple. Ils sont tous les mêmes…
Combien de partis politiques ont apporter un soutien financier ou matériel à l’armée malienne dans sa guerre contre les islamistes ?
Pauvre Mali encore un nouveau grain de politiciens dans le paysage! Il faudra bien les dissoudre a 99% si le Mali veut avoir un vrai dialogue politique!
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