* Colonel Youssouf Traoré, président UFDP / « Nous condamnons fermement l’agression du président, Dioncounda Traoré »
Je condamne avec la dernière rigueur cet ignoble acte qu’est l’agression du Président de République par intérim, Pr. Dioncounda Traoré. Ce type d’agression ne doit pas avoir lieu dans un Etat de droit.
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* Mahmoud Dicko, président du haut conseil islamique
Une agression n’est jamais une bonne chose, surtout à l’encontre d’un Président de la République par intérim. Dioncounda Traoré n’est pas n’importe qui dans ce pays, il a eu à occuper de hautes fonctions. Un tel comportement n’honore pas du tout l’image du Mali. Notre pays n’a pas besoin de ça actuellement, mais plutôt de la paix. Des comportements de ce genre sont à bannir au sein de notre Etat, ça ne grandit pas notre pays. Humilier le Président Dioncounda, un septuagénaire, jusque dans son bureau, par ses fils et petits fils, cela est vraiment un acte condamnable et ignoble.
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* Moussa Mara, président du parti Yéléma
C’est déplorable ce qui lui est arrivé et nous regrettons catégoriquement l’acte.
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* Me Kassoum Tapo, député à l’assemblée nationale du Mali
L’agression du Pr Dioncounda Traoré, président par intérim de la République du Mali, est intolérable et inqualifiable.
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* Oumar Kanouté, secrétaire général du Mouvement Patriotique pour le Renouveau (MPR) / « Malgré son agression Dioncounda ne doit pas démissionner »
Je pense que l’agression du professeur Dioncounda Traoré est quelque chose d’inadmissible. L’acte posé par les manifestants est très humiliant pour le peuple malien. Il ternit davantage notre image. Ces genres de comportements doivent cesser et être sanctionnés dans notre pays. C’est pourquoi, je suggère qu’une enquête soit ouverte pour situer les responsabilités de l’agression et sanctionner les auteurs. Malgré qu’il ait été agressé, je crois personnellement en tant que patriote, Dioncounda ne doit pas démissionner, il doit rester à son poste de président de la transition. Car son départ de la présidence de la transition, suite à l’accord entre le CNRDRE et la CEDEAO, risque de tout remettre en cause. C’est maintenant plus que jamais qu’il doit assumer cette responsabilité pour épargner le pays du chaos.
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* Housseïny Amion Guindo, président de la CODEM « Cette agression est un acte de bassesse »
Nous condamnons la violence comme moyen d’expression politique. C’est un acte grave, surtout contre le Président de la République. C’est vrai que la marche est un droit démocratique pour exprimer son opinion, mais porter atteinte à l’intégrité physique d’une personnalité est un acte répréhensible. Je pense qu’il faut situer les responsabilités et condamner les coupables, car notre pays est un pays de droit. Ces actes n’ont rien à voir avec une lutte politique. C’est un acte de bassesse. Je suis heureux d’apprendre qu’il a eu la vie sauve. Je lui souhaite prompt rétablissement. Et j’en appelle à la retenue de tous. Nous sommes unanimement d’accord que la priorité c’est le nord, et Sanogo et Dioncounda ont tous dit qu’ils ne seront pas un problème pour le Mali, mais des solutions. Je crois qu’on doit tous soutenir cette solution de sortie de crise.
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Boubacar Touré, Secrétaire à la communication du RPM / « C’est une atteinte aux institutions de la République »
C’est avec consternation que le Rpm a appris l’agression de M. Dioncounda Traoré, président par intérim. Nous condamnations ces actes de violence. Toutes les institutions de la République doivent être respectées et cette agression est une atteinte aux institutions de la République. Par ailleurs l’intégrité de la personne doit être respectée, surtout que c’est un cas d’atteinte à l’intégrité de la plus grande personnalité de la République. Nous lui souhaitions tous les meilleurs vœux de prompt rétablissement pour qu’il puisse poursuivre sa mission de retour à l’ordre constitutionnel. Nous prenons acte de l’accord de principe intervenu entre la Cedeao et la junte pour la prolongation du mandat de Dioncounda. Cet accord a permis à notre pays d’éviter le vide constitutionnel pour la période de transition qui s’ouvre dans notre pays aujourd’hui. Nous pensons que les 40 jours de l’intérim auraient pu permettre à la Cedeao d’engager le dialogue qui est prévue à l’article 6 de l’Accord cadre. Cette concertation aurait permis aux différents acteurs de relayer les informations sur les différents actes de sortie de crise. Cela aurait pu nous permettre d’éviter ce qui est arrivé hier. Les déclarations unilatérales, ni de la Cedeao, ni de la junte ne vont pas dans le sens d’une transition apaisée dans notre pays. C’est de ce cadre de concertation national que le RPM parle aujourd’hui en parlant de dialogue entre les forces vives de la nation. Et l’Accord cadre prévoyait que c’est la Cedeao et la junte qui détermineront les institutions de la transition. Si ces deux acteurs de la mise en œuvre de l’Accord jugent qu’il est nécessaire qu’il y ait un président pour la transition et décident que le président par intérim continue, nous ne voyons pas d’inconvénients. Il s’agit pour nous d’appuyer toutes les démarches allant dans le sens d’une sortie de crise rapide, du rétablissement effectif de toutes les institutions de la République pour faire face à la libération des 2/3 de notre pays qui est annexé et que le drapeau du Mali qui est en berne depuis les attaques du 17 janvier continue de flotter haut.
les malien avais oublie que général moussa traore étais frappe aussi avec une paire de chosur en sortent de la grande mosquée un vendredi a la fin de sont régime
Les débiles qui font de cette affaire (la bousculade d’un fantoche par des Maliens, des patriotes en colère) une montagne, et une affaire d’Etat se trompent de question et font le jeu des fantoches de la CEDEAO.
Si le Mali est encore un Etat souverain dans la sous-région, la question clé est de savoir comment on s’organise en toute autonomie entre forces politiques maliennes et société civile, comment en s’organise en toute indépendance (convention, conférence nationale, assises de la transition, …) , sans le dictat de personne, et avec l’aide d’Etats amis ou en coopération avec, pour faire face à la rébellion touareg et wahhabite au nord.
Diocounda trompe le peuple. Il vient prendre ses ordres à Paris en faisant croire à des examens de santé.
Question: ils sont combien de Maliens à pouvoir se payer des examens complémentaires de santé après une bousculade?
La constitution malienne, à l’inverse de la burkinabè ou de l’ivoirienne, ne comporte pas de crime de lèse-majesté que la CEDEAO veut instruire contre des citoyens maliens. On croit rêver devant cette énième sortie de cette institution fantoche au service des intérêts occidentaux et contre nos peuples!
L’expression de cette colère populaire contre des initiatives de négation de souveraineté prouve que la dynamique citoyenne n’est pas morte au Mali. C’eut été au Burkina-Faso, la bousculade du satrape par le peuple en colère aurait fini par des tirs à l’arme lourde contre les manifestants.
Tous les fantoches craignent leur peuple ; c’est connu et c’est particulièrement vrai dans ce cul-de-sac qu’est devenu le Burkina-Faso depuis octobre 87 avec Blaise Compaoré et ses affidés les plus zélés.
On a là un pouvoir qui se maintient au moyen de toutes sortes de brutalités et par la terreur en plus de bénéficier de l’appui du détachement de légionnaires de la coloniale, désormais basée à Ouagadougou. C’est aussi cela qui nous dessert ici, en plus du faible niveau de conscience politique de nos peuples dont nombre d’éléments continuent de prendre pour des régimes de fermeté et de dignité même boueuse, l’horreur sociale généralisée qu’imposent les satrapes de la pire espèce aux populations. Une horreur que les élites au pouvoir appellent par toutes sortes de mots creux et insultants qui sont : transparence, gouvernance, émergence, ordre constitutionnel néocolonial et autres conneries conceptuelles empruntées à la réaction occidentale.
Tout cela pour dire que c’est aux Maliens et au peuple malien seul de décider de ses questions internes et non aux fantoches de la CEDEAO.
Avis de décès
le Mali est décède par suite des maladies de mensonge, de corruption, de mediocrite, de paresse physique et intellectuelle de l’indiscipline de l’injustice.L’enterrement serait l’objet d’un communique ulterieur.
Faut-il abandonner ce pays à son sort? Ou le prendre totalement en main, avec le bordel que l’on vient de vivre au palais de Koulouba? C’est la première fois, de mémoire d’Africain, que des manifestants, en civil, passent tous les barrages militaires, investissent un palais présidentiel et molestent un président de la République, fût-il président de la transition.
– C’est un véritable AFFRONT à l’honneur, la dignite et l’image du pays, une INSULTE aux institutions de la République que la CEDEAO peine à rétablir définitivement.
– ET LE SIGNE DE LA MOLESSE DE CELUI a QUI LES PLEINS POUVOIR ONT ETE ACCORDES POUR MENER LE PAYS A BON PORT.
Comme la communaute internationale (CEDEAO) l’a tolere et meme encourage (en recompensant le crime et les criminels)je le dis et le repete, LA SEULE SOLUTION, POUR EN FINIR AVEC TOUT CE BORDEL, C’EST UN COUP D’ETAT d’un de nos honnetes, valeureux digne et republicain militaire.EN EXISTE_IL ENCORE DANS CE MALI D’AUJOURD’HUI?
Mais, pour ce faire, il faut le concours de la populations. LEVEZ-VOUS DE SIKASSO A TAOUDENI, LEVEZ-VOUS BASSIKOUNOU A KAYES, LEVEZ-VOUS A TRAVERS TOUT LE MALI pour creer les conditions de votre Liberation.
“Qui sème le vent recolte la tempete”.
“il n’ya jamais deux sans trois”
“qui porte la main sur une vieille personne n’a pas de respect pour les siennes”
“Qui abat son chien méchant finira par etre mordu par celui d’un autre”
” si tu t’abaisse pour regarder le derrière de X , y regardera le sien”
“Qui veut abatre son chien l’accuse de rage”
“le linge sal se lave en famille”
” Chacun est l’image de ses parents”
Ceux qui ont frappé Dionkunda doivent savoir que le Mali n’appartient pas à leur parent. Avoir peur de Yyad , du MLA pour s’en prendre au pauvre Dionkounda. Le noble oui le Malien fils de ses parents n’a pas besoin de chercher un adversaire. L’adversaire de combat s’appellle Yyad ou le MLA. Le champ de bataille bien préparé est au Nord.
Au lieu de s’en prendre au Président par intérim qu’avez fait contre les personnes qui ont plongés le pays dans ce chaos à savoir Alpha Oumar et ATT et pourtant le tout s’est passé au vue et au sue de les maliens, de grâce un peu de retenu.
“Nous condamnations” ah, les journalistes. Relisez les articles avant de les publier cas meme.
Cet acte est inqualifiable!
Je crois que la solution est de mettre le mali sous tutelle et de ne plus avoir confiance a ces politiciens et militaires. C’est le seul moyen d’eviter un desastre humanitaire.
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