Longtemps appelé à se prononcer sur la situation de crise instaurée dans le pays depuis l’appel à sa démission par une partie de la classe politique, le président de la République IBK a pris la parole, ce dimanche 14 juin. Une adresse à la Nation diversement appréciée.
– Maliweb.net – «J’ai entendu les colères et les cris. J’ai entendu les revendications et les interpellations», a affirmé le président IBK dans son discours à la nation. Le Chef de l’Etat a aussi annoncé des mesures pour, dit-il, «répondre de manière diligente et efficace» aux préoccupations, à savoir: résoudre la crise scolaire, moderniser les hôpitaux de Bamako; trouver une solution sur les élections législatives; loger et réinsérer les déplacés du Centre à Bamako.
Moussa Mara : «Le discours d’IBK n’était pas à la hauteur de la profondeur de la Crise»
Pour Moussa Mara, le discours du chef de l’État à la nation du dimanche 14 juin, n’était «pas à la hauteur de la profondeur de la Crise». Le député et ancien Premier ministre estime que des décisions immédiates devaient être prises sur la crise scolaire, les législatives, et les attentes des Maliens. «Le Président peut et doit mieux faire!» juge Moussa Mara dans un post sur les réseaux sociaux.
Quant à Dr Bocary Treta, Président du Rassemblement Pour le Mali (RPM), le parti au pouvoir, il juge que le président IBK s’est montré à l’écoute de son peuple. «Le président de la République n’est pas celui qui doit donner les détails, il donne le ton et les axes sur ce qui doit être fait», a assuré le président du RPM au micro de nos confrères de la télévision nationale. Le ton «grave» du chef de l’Etat atteste, selon Tréta, le niveau de prise de conscience sur la situation.
«La suite sera dévoilée dans les jours à venir… »
Assez virulent dans le verbe comme à son habitude, l’ancien ministre de la Justice Mamadou Ismaël Konaté est l’une des premières personnalités à réagir au discours d’IBK. Sur tweeter, il écrit juste après le discours: «Il n’y est pas. Il n’y sera pas. Il loupe et à jamais. Il n’est guère sauvable. Dommage ! Au Mali et aux maliens de se sauver», plaide l’avocat. Son analyse est partagée par Moussa Sey Diallo, Secrétaire adjoint à la Communication de l’URD, le principal parti de l’opposition. «J’ai reconnu le président de la République dans son discours. Et j’ai compris que mon combat est bien nécessaire», se révolte Diallo. Et d’enfoncer: «Une main qui se tend bien facilement, mais une main qui ne tient jamais».
Membre de «Ensemble pour le Mali», la coalition ayant soutenu le second mandat du président IBK, Sékou Niamé Bathily voit en cette adresse à la nation une opportunité d’apaisement. Bathily salue un «bon discours» adapté au contexte. «Le président de la République a fait un discours annonciateur dont la suite sera dévoilée dans les jours à venir», conclut Sékou Niamé Bathily.
Mamadou TOGOLA/Maliweb.net
CES QUELQUES MOTS FONT LA CONCLUSION D UN ARTICLE DE ECHOS MEDIAS ….LE N 70 !
LE TITRE DE L ARTICLE C EST
FUSION BHM -BMS
L ETAT MALIEN ET LA BMS ONT ILS ETE VICTIMES …
ET L ARTICLE SE TERMINE PAR CES PHRASES :
« « « SELON NOS EXPERTS MAISON ,L ETAT MALIEN ET LA BMS DOIVENT ENGAGER A TITRE PRINCIPAL LA RESPONSABILITE DES COMMISSAIRES AUX COMPTES ET SUBSIDIAIREMENT LE CABINET MAZARS EN MEME TEMPS QUE CELLE DE LA COMMISSION BANCAIRE DEVANT LA COURS DE JUSTICE DE L UEMOA –
TOUJOURS SELON NOS EXPERTS , IL EST AISE D AFFIRMER QUE LES CONDITIONS DE LA FUSION –ABSORBTION DE LA BHM PAR LA BMS N EST PAS OPPOSABLE A LA S.I.C.G MALI ET DE TOUTES FACONS LA CCJA A DEFINITIVEMENT FIXE LES DROITS DE CETTE SOCIETE .
POUR CE QUI EST DE LA COMMISSION BANCAIRE , IL EST FORT CURIEUX QU ELLE N AIT PAS EXIGE LA CONSTITUTION DE PROVISIONS POUR RISQUES EVENTUELS POUR TENIR COMPTE DE CERTAINS ENGAGEMENTS QUI N ETAIENT PAS CONNUS A L EPOQUE DE L OPERATION DE FUSION ABSORBTION .
EN EFFET IL SEMBLE QUE DANS LE DOSSIER DE FUSION , LE LITIGE S.I.C.G MALI – BHM AIT ETE IGNORE A DESSEIN PUISQUE AUCUNE PROVISION N AVAIT ETE FAITE ….. » » » » »
A SUIVRE …
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….NOUS …NOUS AVONS ETE VICTIMES …MAIS NOUS NE SOMMES PAS LES SEULES …
L ETAT MALIEN EST AUSSI VICTIME …ET LA BANQUE BMS AUSSI …
…IL FAUDRAIT DEMANDER DES RENSEIGNEMENTS MON CHER EL HAJJ ….. AVANT DE CALOMNIER DES GENS ! ! !
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Je pense que IBK est vraiment au pied du mur. S’il ne veut pas démissionner de son propre gré, il doit immédiatement procéder au recomptage des voix des centres et bureaux de vote qui font l’objet de contestations légitimes ou alors procéder à de nouvelles élections législatives après avoir dissout l’assemblée nationale. Simultanément, il devra changer la Cour Constitutionnelle. En ce moment, le peuple comprendra qu’il a fait un réel effort pour éviter la grande sortie du 19 Juin. S’il ne procède pas immédiatement à une déclaration qui va dans ce sens, il sera obligé de démissionner car, au regard de son discours qui est du déjà entendu, il n’apporte rien de concret. Le peuple n’est pas dupe et le Mali dispose de plusieurs de cadres encore intègres et dévoués pour prendre la relève. A bon entendeur, salut !
https://www.maliweb.net/politique/vers-la-formation-du-nouveau-gouvernement-ibk-a-t-il-tire-lecons-de-la-defiance-du-5-juin-2879841.html
TELEPORTEZ VOUS!
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