Adresse à la nation : A quel titre Dioncounda Traoré s’adresse au peuple malien ?

47

Parti en France pour se soigner, alors qu’il assurait l’intérim de la présidence pour une période d’intérim, qui, au titre de la Constitution, s’expirait depuis le 22 mai, le Pr. Dioncounda Traoré a regagné le bercail avec tous les honneurs réservés à un président démocratiquement élu. Jusqu’où va-t-on maintenir un président de fait à la tête du pays ?

Dioncounda Traoré

Sans conteste, depuis le 22 mai 2012, le Mali est sans « président de la République ». Cette date consacrait ainsi, la fin du délai constitutionnel de quarante (40) jours, accordé à l’ancien président de l’Assemblée nationale, le Pr. Dioncounda Traoré, pour assurer l’intérim après une démission imposée au président ATT par ses pairs de la CEDEAO. La preuve nous a été donnée par la remise de la démission 24 heures après la signature de l’Accord- cadre du 6 avril 2012.

Qu’on ne se cache pas la face, M. Traoré n’est ni le président par intérim du Mali encore moins celui de la transition. Il est citoyen ordinaire comme tout autre Malien depuis l’expiration des quarante jours que lui accordait la Constitution pour présider aux destinées du Mali. D’autant plus que notre loi fondamentale ne fait, aucunement, mention de fonction d’un président de la transition et cela est valable dans ces autres pays, puisque une transition est anticonstitutionnelle.

L’imposition à la fonction de « président de la transition », par les forces du mal de la Communauté économique des Etats de l’Afrique (CEDEAO) avec le soutien du réseau des déstabilisateurs (candidats malheureux à la présidentielle avortée du 29 avril) du Mali basé à Paris, ne saurait justifier l’accueil réservé à un homme déchu de tout titre protocolaire.

Il va de soi que le peuple malien soit divisé sur la confusion entretenue pour maintenir le professeur à Koulouba qui ne tire sa légitimité que du complot que Alpha, ATT et lui ont concocté sur le dos du pauvre Mali durant les vingt dernières années. Avec le désastreux bilan que tout le monde connaît aujourd’hui : la perte de notre souveraineté sur les deux tiers de notre territoire, ponctuée de viols, de destruction de notre patrimoine culturel, d’infrastructures de base, de châtiments au nom d’une charia, etc.

Le maintien de Dioncounda Traoré, à la tête du Mali, n’est autre que la perpétuation des systèmes Alpha et ATT. Et avec lui,  les Maliens ne pourraient s’attendre à du miracle. Il est le produit des modes de gouvernance, de la corruption, du gain facile, du trafic de drogue, d’une armée trahie et sous équipée ; toutes choses, qui ont précipité notre pays dans l’abîme. Le professeur de mathématiques n’a plu d’autres cordes à son arc pour relever le Mali dont sa responsabilité est entière dans la déchéance que vit présentement notre pays.

Au regard de leur gestion calamiteuse, il est disqualifié pour jeter les bases d’un Mali nouveau, rêvé par le peuple malien depuis la chute du président Moussa Traoré en mars 1991. Car leur échec de la démocratie, arrachée de dur labeur, consacre le retour en force des anciens caciques de l’ex parti unique parce qu’ils n’ont pas fait mieux qu’eux dans la déprédation des richesses du pays.

Les fonctionnaires milliardaires, c’est eux, l’expropriation des paysans de leurs champs, c’est eux, la démolition des quartiers pauvres au nom de ‘’ Sauver notre pays’’, c’est eux,  la bastonnade des journalistes, c’est eux, la fermeture des journaux, c’est eux (SUD- INFO), la formation au rabais dans nos écoles, c’est eux, l’incivisme, c’est eux, la dépravation de nos mœurs, c’est eux. La liste est loin d’être exhaustive.

Contrairement aux dignitaires de l’Union démocratique du peuple malien (UDPM),  qui ont compris que leur page était tourné et qu’ils devaient accepter de se mettre à l’écart de la scène politique, ces démocrates crapules au lieu d’être guidés par la morale excellent dans l’arrogance et le mépris pour narguer le peuple afin qu’ils préservent des avantages malhonnêtement acquis. Cependant, ces crapules n’ont pas poussé leurs logiques de la légalité en exigeant un bilan de la période d’intérim, entre autres l’état du fichier, l’avancement des travaux au niveau de la CENI et de la DGE, les matériels électoraux dont le marché avait déjà été attribué ; en un mot pourquoi Dioncounda Traoré n’a pas pu organiser les élections dans les nouveaux délais constitutionnels.

Si Dioncounda Traoré se donne la liberté de s’adresser à la nation, il doit avoir le courage et l’honnêteté intellectuelle de présenter sa démission pour le bonheur du peuple malien afin le Mali panse définitivement ses plaies.

Yoro SOW

Commentaires via Facebook :

47 COMMENTAIRES

  1. Mr yoro sow, nous sommes fatigués de vos commentaires de division, de haine, d’intolérance . Stop maintenant.
    Nous voulons aller de l’avant et sortir de cette situation insoutenable.

  2. Cependant, ces crapules n’ont pas poussé leurs logiques de la légalité en exigeant un bilan de la période d’intérim, entre autres l’état du fichier, l’avancement des travaux au niveau de la CENI et de la DGE, les matériels électoraux dont le marché avait déjà été attribué ; en un mot pourquoi Dioncounda Traoré n’a pas pu organiser les élections dans les nouveaux délais constitutionnels.

    ce Monsieur est une honte à sa race . donc tu vaux mieux que les nordistes comment il peut organiser des elections alors la moitié du pays est sous occupation à moins que si tu veux le sud du mali ait un Président bref çà ne sera pas le président du Mali mais du sud .

    je crois que je devrais mm te repondre puisque tu es tétu .

  3. Monsieur YORO il est temps que vous les journalistes mal formés cessent de dire du n’importe quoi.L’heure n’est plus à des polémiques.
    A QUEL TITRE POUR TOI AUSSI TU POSES CETTE QUESTION AU PEUPLE MALIEN ?
    Si tu n’as rien à dire à tes lecteurs,il faut te taire ou si ton journal n’a pas beaucoup de lecteurs,il vaut mieux qu’il ferme.Même ton directeur de marketing ne te conseillera pas sur cette politique commerciale. IL FAUT QUE TU LE SACHES DIOUNCOUNDA S’ADRESSE A LA NATION EN TANT QUE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE DU MALI.Il faut chercher l’argent avec sagesse et responsabilité.

  4. Supposons que les 40 jours de l’intérim sont terminés sans parvenir à organiser des élections. Y a-t- il une disposition légale qui désignerait quelqu’un de plus légitime que le Président de l’Assemblée Nationale comme Président de la République ?

    Les gens qui s’attaquent à la légitimité de Djoncounda sont tout simplement de mauvaise foi. Certains comme l’opportuniste Oumar Mariko sont tombés dans le ridicule en voulant investir Sanogo contre sa volonté. Ils avaient beaucoup espéré profiter de la situation pour arriver au pouvoir que leur secte au lieu de partis et associations inexistantes ne leur permettront jamais.
    Malheureusement pour eux et heureusement pour le Mali, Sanogo n’avait pas respecté leurs desseins.

    Vous pouvez continuer votre travail satanique mais Mariko ne dirigera jamais un gouvernement d’union nationale.

    • Merci! Votre commentaire est la voix de la sagesse et surtout, celle de la vérité.
      L’accord-cadre était précis, malgré le conflit de compétence qu’il énonçait en règle, en posant clairement la question de la transition à l’issue de l’intérim puisqu’il y était précisément inscrit le cas prévisible, donc prévu de l’impossibilité d’organiser des élections dans le délais imparti.
      De plus, je souscris pleinement au principe de la constitutionnalité d’une transition évidemment prise en charge par le président de l’Assemblée Nationale, légalement élu, légitime, en dépit de toutes les critiques envers le régime ou le système.
      Cet article est une fumisterie partisane.
      Quand certains allumeurs de mauvais feux cesseront de souffler sur des braises encore fumantes, le Mali pourra commencer à se sortir la tête du sable, ou de l’eau, selon l’image que l’on préférera!
      La République du Mali a un président, qu’il plaise ou non aux uns ou aux autres, et c’est Dioncounda Traore.

  5. Mille merci à maiweb d’exister et donner un sens à ma vie.
    Sans maliweb, ma vie serait triste à me suicider.

  6. Voilà l’exemple même de l’ennemi du Mali.
    Ce journaliste critique tout, mais d’où sort il pour prétendre connaître la droit et la constitution.
    Se croit-il sorti de la cuisse de Jupiter?

    • 💡 ecoutez- ce journaliste dit la veritee, pourquoi ne pas enfin definir les modalites de designation d’ un president de transition que tous accepterons ❗

      😉 Nous critiquons un premier ministre qui a maintenu le pays pendant 3 mois et applaudissons sans raison un mec exile depuis pres 3 mois en france , un pays hostile qui a meprise de fait notre pays ❗ Dit moi qui sont vous amis et conseillers et……voila 😳

      😳 c’ est la honte d’ avoir un tel homme avide de pouvoir au prix de tout comme lui meme l’ affirme ❗

      😳 CE MONSIEUR A ETE ET RESTERA UN PROBLEME POUR LE MALI 😳

  7. Dioncounda TRAORE, s’est adressé à la nation malienne parce qu’il est le Président de la republique du Mali par interim.
    Cessez de racontez du n’importe quoi, experts ou je ne sais quoi?
    Il y a eu muniterie, le Président élu a demissionné, le Président de l’Assemblée Nationale du mali, assure l’interim jusqu’à l’election du nouveau président.
    Vous voulez quoi? Capitaine Amadou SANOGO et ses hommes ont compris qu’il ne sert à rien d’insister , le Mali va très mal.
    Vous continuez à écrire des articles vides de contenus.

  8. Mr de grace acceptons Dioncounda comme notre presi…cela uniquement pour la quietude au Mali…mais seulement qu’il ne s’avise pas a toucher a notre P M…sinon…..
    QU’ALLAH BENISSE MON MALI

  9. DIONCOUNDA ne fait que suivre son destin tracé par dieu et nul ne peut contre la volonté de dieu. Alors je pense que ………….

  10. Mon cher aigri, tu te fatigue. Dionkounda est notre Président. Si quelqu’un vous paye pour dire du n’importe quoi, vous perdrez le temps. Le chien aboie et la caravane continue

  11. Encore un journaliste con qui ne veut pas la paix a mali!
    Mais les chiens aboient, la caravane passe…

  12. foutez nous la paix nous on progresse si tu un fils digne monte pour le deloge vous croyer que le Mali restera dans cette incertitude si diancounda ne doit pas s adresser a la nation il faut le faire doit qui est credible bande de mediocre

  13. DONCOUDA n’est nullement legitime que C M DIARRA constitutionnellement sinon on peut dire que C M D a plus de legitimité que lui car ce dernier est venu eteindre un feu sa nomination a ralenti l’explosion socaile quand a dioncounda sa venu a provoqué ce que tout le monde sait ,Que dioncounda sachent ,le peu de tolerance qu’a les maliens pour lui c’est à cause de SANOGO et CHEIK M DIARRA donc il peut se cacher dans leurs sillages et passer sa presidence surtout surtout qu’il ne les touche pas sinon il s’expose à plus pire,Nous ne dormirons plus meme si nous consedons sur quelques aspecs de la chose car nous savons que personne ne peut parler au nom de la constitution de 1992 on a pas besoin d’etre juriste pour comprendre cela,

    • Ecoutez ! je me mêle peut-être de ce qui ne me regarde pas parce que je ne suis pas malien. mais je suis africain, et rien de ce qui est africain ne m’est étranger, donc ce qui se passe dans ce pays m’interpelle au plus haut point. je pense que l’urgence, à l’heure actuelle, ce n’est pas de savoir qui est légitime et qui ne l’est pas. l’urgence, c’est la libération du Nord-Mali, et plus vous perdrez du temps, plus les islamistes renforceront leurs positions, et plus il sera difficile de les combattre. Ce que ces gens là veulent, c’est se servir de votre pays comme bastion pour déstabiliser la sous-région. Combattez les avec l’aide des africains qui sont prêts à vous accompagner pendant qu’il est temps et réglez vos problèmes inter- maliens après ! Wa salam !!!

  14. Analyse juridique du rapport Président de la Transition – Premier Ministre

    J’invite tous les maliens à plus de discernement, Dioncounda sans contingence politique est personnellement un homme bien, mais…, cependant, que chacun sache aussi désormais qu’il n’est plus là en vertu de la constitution du 25 février 1992, non, car l’article 36 est, on ne peut plus, clair « Lorsque le président de la République est empêché de façon temporaire de remplir ses fonctions, ses pouvoirs sont provisoirement exercés par le premier ministre.
    En cas de vacance de la présidence de la République pour quelque cause que ce soit ou d’empêchement absolu ou définitif constaté par la Cour constitutionnelle saisie par le président de l’Assemblée nationale et le premier ministre, les fonctions du président de la République sont exercés par le président de l’Assemblée nationale.
    Il est procédé à l’élection d’un nouveau président pour une nouvelle période de cinq ans.
    L’élection du nouveau président a lieu vingt et un jours au moins et quarante jours au plus après constatation officielle de la vacance ou du caractère définitif de l’empêchement.
    Dans tous les cas d’empêchement ou de vacance il ne peut être fait application des articles 38, 41, 42, et 50 de la présente Constitution ».

    De cet article deux remarques s’imposent :

    1. Une constitution ne prévoit jamais un coup d’Etat, donc parmi les causes de vacance et d’empêchement le coup d’Etat n’est pas dedans. Ce qui fait que même les 40 jours d’intérim ne venaient pas de la constitution, mais plutôt d’une gymnastique intello-politique montée par l’accord cadre du 06 avril. Mais il ne s’agit là que d’un problème d’interprétation.
    2. Ensuite personne qui jouit pleinement de ses facultés mentales ne pourra soutenir que la constitution prévoit une transition à la suite d’un tel évènement, à fortiori celui qui doit la diriger. Là ce n’est même pas un problème d’interprétation, c’est très clair ce n’est pas écrit dans la constitution, ni dans l’accord cadre précité, plutôt imposé par le club des présidents de la république et proches lors d’une de ses nombreuses séances d’humour, j’allais dire la CEDEAO lors d’un de ses sommets. Les atermoiements sont perceptibles à l’œil nu sans microscope.

    De l’autre Dioncounda, dans son adresse à la Nation qui, au passage en soi et en partie est salutaire car fédérateur mais abusive et illégale, car sans aucun fondement juridique.
    Lui-même s’est souvent appuyé sur l’article 6 de l’accord cadre or les dispositions de cet article sont sans aucune ambiguïté «… les parties signataires (la CEDEAO et le CNRDRE) du présent accord conviennent de mettre en place les organes de la transition ci-après entre autres :

    a. Un Premier Ministre de transition, Chef du Gouvernement disposant de pleins pouvoirs ;
    b. Un Gouvernement d’Union Nationale ;

    Les Parties signataires arrêtent une feuille de route…»

    Alors les pleins pouvoirs du PM supposent des pouvoirs réduits du PR, notamment ainsi qu’il résulte des dispositions du même article 36 in fine « Dans tous les cas d’empêchement ou de vacance il ne peut être fait application des articles 38, 41, 42, et 50 de la présente Constitution ».

    Ce qui voudrait dire clairement que le Président de la Transition ne peut pas disposer des pouvoirs issus de ses articles : démettre le Premier Ministre, dissoudre l’Assemblée Nationale, proposer des référendums ainsi que d’autres pouvoirs exceptionnels.

    Ainsi disposent-ils :
    ART. 38 Le président de la République nomme le premier ministre.
    Il met fin à ses fonctions sur présentation par celui-ci de la démission du Gouvernement.
    Sur proposition du premier ministre, il nomme les autres membres du Gouvernement et met fin à leurs fonctions.

    ART. 41 Le président de la République, sur proposition du Gouvernement, pendant la durée des sessions ou sur proposition de l’Assemblée nationale, après avis de la Cour constitutionnelle publié au Journal officiel, peut soumettre au référendum toute question d’intérêt national, tout projet de loi portant sur l’organisation des pouvoirs publics, comportant approbation d’un accord d’union ou tendant à autoriser la ratification d’un traité qui, sans être contraire à la Constitution, aurait des incidences sur le fonctionnement des institutions.
    Lorsque le référendum a conclu à l’adoption du projet, le président de la République le promulgue dans les délais prévus à l’article 40.

    ART. 42 Le président de la République peut, après consultation du premier ministre et du président de l’Assemblée nationale, prononcer la dissolution de l’Assemblée nationale. Les élections générales ont lieu vingt et un jours au moins et quarante jours au plus, après la dissolution.
    L’Assemblée nationale ne peut être dissoute dans l’année qui suit ces élections.

    ART. 50 Lorsque les institutions de la République, l’indépendance de la nation, l’intégrité du territoire national, l’exécution de ses engagements internationaux sont menacés d’une manière grave et immédiate et que le fonctionnement régulier des pouvoirs publics constitutionnels est interrompu, le président de la République prend les mesures exceptionnelles exigées par ces circonstances, après consultation du premier ministre, des présidents de l’Assemblée nationale et du Haut Conseil des Collectivités ainsi que de la Cour constitutionnelle.
    Il en informe la nation par un message.
    L’application de ces pouvoirs exceptionnels par le président de la République ne doit en aucun cas compromettre la souveraineté nationale ni l’intégrité territoriale.
    Les pouvoirs exceptionnels doivent viser à assurer la continuité de l’Etat et le rétablissement dans les brefs délais du fonctionnement régulier des institutions conformément à la Constitution.
    L’Assemblée nationale se réunit de plein droit et ne peut être dissoute pendant l’exercice des pouvoirs exceptionnels.

    • si vous voulez parler de constitution ce qui a occasionner la vacance du pouvoir est elle legal ? QUE DIT la constitution parraport a un coup d etat? QUI nomme le PM? ES CE QUE les organes qui l on nome st legitine vis a vis de la constitution? Laisser le Mali bouger pour l amour de Dieu

    • si vous faite une analyse juridique fait le dans le fond et dans la forme pas seulement dans la forme vous apprecier une situation sans parler du contesque juridique qui l a occasionner

  15. Cette fois ci si ça ne marche pas avec ses faux politiciens je serai obligé d’amener la charya au sud aussi comme mon homonyme a fait au nord

  16. Même si on l’accepte comme président malgré qu’il soit imposé par Alassane et Blaise (qui est d’ailleurs une injure pour le peuple) il faut aussi qu’il laisse les choses comme telles car on a pas bésoin de toutes ces organes au mali dont il pretend creer

  17. M. Sow, tu fais honte à la presse. Tu dis que Dioncounda n’est pas président et dans le même article tu lui demandes de démissionner. Finalement tu ne sais même plus ce que tu dis. Dioncounda à son arrivée, a dit à juste titre ” La haine, la haine, quand on a la haine on n’est pas tranquille”. Pour toi, M. le journaleux, j’implore DIEU pour qu’il te débarasse de cette haine afin que tu sois à la l’aise et que tu puisse nous écrire des choses plus interessantes. Fasse Dieu vous débarasser de l’emprise de satan pour que la paix revienne au Mali ! Amen.

  18. Le problème du Mali ce sont ses hommes. Mal instruits, mal eduques surtout aigris. Il n’y’a pas plus dangereux qu’un ignorant qui ne sait pas qu’il est ignorant. Et le Mali est plein d’ignorants a l’image de ce journaliste et des abrutis que l’applaudissent. PAUVRE MALI!!!!!!

  19. j’invite tous les maliens à plus de discernement, Dioncounda sans contingence politique est personnellement un homme bien, mais…, cependant,que chacun sache désormais que qu’il n’est plus là en vertu de la constitution du 25 février 1992, non, car l’article 36 est on ne peut plus clair “Lorsque le président de la République est empêché de
    façon temporaire de remplir ses fonctions, ses pouvoirs sont provisoirement exercés par le premier ministre.
    En cas de vacance de la présidence de la République pour quelque cause que ce soit ou d’empêchement absolu ou définitif constaté par la Cour constitutionnelle saisie par le président de l’Assemblée nationale et le premier ministre,les fonctions du président de la République sont exercés par le président de l’Assemblée nationale.
    Il est procédé à l’élection d’un nouveau président pour une
    nouvelle période de cinq ans.
    L’élection du nouveau président a lieu vingt et un jours au moins et quarante jours au plus après constatation officielle de la vacance ou du caractère définitif de l’empêchement.
    Dans tous les cas d’empêchement ou de vacance il ne peut être fait application des articles 38, 41, 42, et 50 de la présente
    Constitution.

  20. Le peuple Malien doit s’unir….et ce n’est pas ce minable article de mauvaise foi qui donne l’exemple.

    Honte à toi Monsieur le “pseudo” journaliste !

  21. MERCI MR LE JOURNALISTE POUR CETTE ANALYSE PERTINENTE CE HOMME NE MÉRITE QUE LA PRISON OU L’EXIL COMME ATT. MALIEN LEVEZ VOUS POUR SAUVER LE MALI DE SES BANDITS DE GRAND CHEMIN.

    • VOUS QUI PARTAGEZ L’ARTICLE ECRIT PAR CET ABROUTIS DE JOURNALISTE, VOUS ETES AUSSI DES ABROUTIS COMME LUI

  22. Excellente analyse de la situation. Cependant, on peut considérer Dioncounda comme président virtuel. Il ne devra avoir aucun mot à dire au nom du peuple malien. Comme l’assemblée n’a pas été dissoute et que c’est le même groupe, on les tolère tous ou on les rejette tous. Ce qui devrait compter présentement, sont les actions du gouvernement pour faire partir les islamistes, faire revenir les déplacés et organiser des élections en faveur du peuple malien. La garniture de députés peut être mise de côté et ne pas être considédée à condition que les députés y compris Diouncouda n’intervienent pas dans l’action publique pour encore nous enfoncer dans le gouffre. Donc, vigilence à tous.

  23. Excellente analyse de la situation. Cependant, on peut considérer Dioncounda comme président virtuel. Il ne devra avoir aucun mot à dire au nom du peuple malien. Comme l’assemblée n’a pas été dissoute et que c’est le même groupe. On les tolère tous ou on les rejette tous. Ce qui devrait compter présentement, sont les actions du gouvernement pour faire partir les islamistes et l’organisation d’élections en faveur du peuple malien. La garniture de députés peut être mise de côté et ne pas être considédée à condition que les députés y compris Diouncouda n’intervienent pas dans l’action publique pour encore nous enfoncer dans le gouffre. Donc, vigilence à tous.

  24. ce journaliste est un homme a abattre car l’heure est très grave pour le mali il faut voir en dioncouda comme le sauveur du mali dictée par les bailleurs de fond donc tu peux rien contre ça j’ajoute encore que tu saches mème sonogo a reconnue dioncouda comme son président parcequ’il sait qu’il ne peux rien faire dans ce mali sans les bailleurs de fond donc accepte toi aussi

    • Mourir dans la dignité que vivre esclave dans l’opulence!!!
      Ce que dit le journaliste est très clair. L’histoire retiendra que 1 fois au Mali Alassane D OUATTARA et Blaise COMPAORE ont pu imposé leur diktact au grand PEUPLE du Mali. Honte à ces deux PR mal élus!!

  25. ce journaliste est un homme a abattre car l’heure est très grave pour le mali il faut voir en dioncouda comme le sauveur du mali dictée par les bailleurs de fond donc tu peux rien contre ça

  26. Moi je ne vous comprends pas vous autres. Ne parlons plus de constitution! De grace! L´heure est grave. Laissons Dioncounda diriger cette Transition pour l´amour de Dieu pour que l´on puisse avancer et non donner des raisons à la Communaute internationale de ne pas vouloir nous aider avec des equipements. Laissons de coté ces diversions malsaines pour nous consacrer à l´essentiel: La liberation du nord de notre pays!!!
    Ensuite nous le pays reconstitué on pourra tjrs faire tous les audits que vous voulez pour que plus jamais cette situation n´arrive au Mali encore.
    ” sissan a tolila k´a noroko. An ka ben ka dje ka ke kelen gne. An ka donsen koura ta!!! MBADENW”

  27. IL faut supprimer la carte de presse de ce journaleux. Il vie sur une autre planète ou il n’a pas compris que plus de 2/3 du territoire Malien est occupé par AQMI et affiliés.
    Peux être pour lui le Mali s’arrêteà Bamako !!!!

  28. c’est vraiment symptomatique du malien que cette question se pose seulement et maintenant concernant Dioncounda dont la legitimite constitutionnelle est claire comme l’eau de roche et ces aigris restent silencieux sur les initiatives folkloriques et demagogiques de Mariko qui va passer des troupes ……en revue a sevare en quelle qualite personne ne le sait….

  29. Yoro SOW, la vérité s’appelle Dieu:merci pour ce rappel.Son tabassage par une foule déchainée je pensait que cela le rendrait plus sage!Il aurait dû devenir le président de la république à la place d’att en 2007(avec le soutien de l’ADEMA) s’il ne s’était pas désisté à cause des calculs politiciens.S’il ne voulait pas “être un problème pour le
    Mali”, il aurait dû soutenir IBK issu du mouvement démocratique comme lui en lieu & place d’att (un indépendant)!SI ON REGARDE DE PRES, DIONKOUNDA NE MERITE PAS LE POSTE DE PRESIDENT PAR INTERIM PUISQU’IL FAIT PARTIE DE CEUX QUI ONT ENFONCE NOTRE PAYS.Son passage à tabac n’est que la manifestation du retour de la nature “moko niaman”. 🙁 🙁

  30. Oui monsieur le journaliste, Dioncounda ne peut faire du miracle. Il s’adresse à son peuple en tant qu’individu désigné par la constitution pour diriger ce pays. Ces raccourcis de convention nationales ou autres ne passeront pas pour diriger ce pays. Personne au Mali ne peut faire de miracles, nous sommes tous des humains.

    Pour finir, Dioncounda c’est le moindre mal, c’est lui la solution ou RIEN.

    • Bien dit mon frere bien vrai que je n’aime pas personnellement, je pense qu’on a besoin de lui pour nous sortir d’affaire. Regarde Sanogo qui a trahi ses amis de la copam. Tout ca s’est pour montrer le vrai visage des gens. Personne ne parle plus de Sanogo alors qu’il est l’ennemi no1 du Mali. Pauvre Mali reveille toi

      • Merci frère, c’est bien Sanogo l’auteur du coup le plus bête du siècle.Vous verez qu’il acceptera très vite le poste de vice président chargé des affaires militaires.

Comments are closed.