Des nombreux défis que doit relever le ministre de l’Administration territoriale, en demeurent les principaux : le référendum, les élections communales partielles et régionales.
Tiéman Hubert Coulibaly a déjà marqué des points dans ce sens, ceux liés à la bonne tenue de sa rencontre avec les acteurs du cadre de concertations des partis politiques avec son ministère dont la question centrale a été le chronogramme électoral et la révision des listes des différents scrutins à venir, notamment le referendum, les élections communales partielles et régionales.
Sur la question d’un éventuel report desdites élections, le Ministre de l’Administration territoriale n’a pas été flexible : « Nous avons un agenda que nous rendrons public bientôt ». Ce qui prouve que le nouveau ministre de l’administration territoriale a pris la mesure des défis qui l’attendent.
Sur un tout autre plan, il y a des nécessités qui s’imposent aux différentes parties pour que l’Accord pour la paix et la réconciliation issu du processus d’Alger puisse connaître une mise en œuvre dynamique, surtout les élections référendaires.
«Nous avons des engagements internationaux qui nous obligent à respecter un certain nombre de points d’éthique. Trouvons le point d’équilibre pour que les nécessités qui s’imposent à nous puissent être satisfaites », avait expliqué le Ministre Coulibaly.
Le train électoral a démarré pour le 9 juillet prochain, où le peuple malien est appelé aux urnes pour donner son quitus à la nouvelle constitution, toilettée la semaine dernière par l’Assemblée Nationale.
Samba Sow
