Dans tous les cas, ce que l’on constate, c’est un grand cafouillage qui ne profite pas aux abeilles. C’est une situation qui risquerait d’exacerber les relations au sein du parti qui a déjà enregistré quelques démissions. Au regard de la dégringolade continuelle du parti. Il est nécessaire aujourd’hui que les ténors, disons les cadres et militants encore engagés redoublent d’ardeur et surtout de vigilance face aux fossoyeurs, aux démobilisateurs actifs, pour les contrer dans leur mission et surtout pour ramener la cohésion et la quiétude au sein du parti. Aujourd’hui, il faut sauver ce qui peut encore l’être. Qui aurait cru qu’un si grand parti politique comme l’ADEMA PASJ serait tombé aussi bas ?
Aujourd’hui, plus que jamais, l’opportunité s’offre aux cadres et militants du parti de l’abeille de sauver le patrimoine collectif et de mieux l’organiser pour les compétitions futures au risque de devenir la risée des autres formations politiques. C’est en ce moment, la seule alternative qui s’offre au parti, autrement ce serait le chaos. Espéront qu’ils mesurent les enjeux et défis de la survie dans le cadre de la préservation de l’intérêt collectif. Les prochaines élections communales et régionales qui s’annoncent seront sans doute une opportunité de prendre leur revanche. Cela n’est pas au-delà de leurs possibilités aujourd’hui, où il y a un cafouillage généralisé au sein de l’échiquier politique.
Youma
Opportunistes
Comments are closed.