Sans prétendre répondre avec exactitude aux interrogations des uns et des autres, je me permets d’affirmer que l’Adema-PASJ n’a pas besoin d’un chef incontesté mais plutôt d’un leadership d’équipe. L’Adema-PASJ ne se pose pas seulement des questions primordiales, il aborde sans tabou aucun, les questions existentielles pour tirer les leçons de son passé, agir sur son présent et se projeter avec assurance sur le futur.
Par ailleurs, en dépit de toute l’adversité contre le parti de l’abeille, n’en déplaisent à ses détracteurs, l’Adema-PASJ constitue une force politique réelle avec un projet de société pour le Mali; elle a une vision et une ambition pour les maliens. Ni l’acharnement dont il fait l’objet depuis le coup d’état militaire du 18 août 2020 et bien avant, ni les déchirures internes, ni les départs inattendus, encore moins les contreperformances lors des dernières échéances électorales dans certains de ses bastions ne l’empêcheront de garder sa place de force incontournable pour la stabilité du pays. Car il demeure la première force politique et sociologique du pays.
A ses détracteurs, à tous ceux qui manœuvrent pour sa déstabilisation et son isolement, l’Adema a connu pire que la situation dans laquelle il se trouve actuellement. Le combat de ses fondateurs pour les libertés démocratiques (dont beaucoup se gargarisent aujourd’hui), pour le bien-être des Maliens et pour les valeurs positives qui ont fondé notre pays est et demeure la ligne de conduite des nombreux militants anonymes du parti. En acceptant d’être à la pointe du combat pour le développement du pays, en essayant de mettre fin aux injustices, à recouvrer la dignité, l’Adema doit accepter d’être la cible de toutes les attaques.
La moisson de l’Adema à l’issue des dernières échéances électorales, loin d’être celle d’un effondrement, est au contraire, celle de tous les espoirs. Elle a accouché d’un changement, à la fois profond et global au sein du parti : méthodes, pratiques, textes…
Ravir à l’Adema, son rang de parti d’avant-gardiste du Mali passe nécessairement par l’anéantissement de ses militants à la base qui ont une éthique, une dignité et un honneur. Les militants de l’Adema se battent depuis longtemps pour le retour aux valeurs et aux principes qui ont prévalu à la création du parti. Ils l’ont réaffirmé pendant le 5eme congrès ordinaire de 2015 ; ils le clament à chaque occasion où son destin se joue. Plus rien ne sera comme avant dans le parti pour la Solidarité et la Justice, car les militants tout comme les cadres ont conquis la liberté de dire la vérité, rien que la vérité et toute la vérité sur la conduite des affaires du parti et du pays; les yeux dans les yeux. Plus rien ne sera comme avant, car l’Adema-PASJ renoue avec ses valeurs et ses principes et donc avec son peuple et sa force de mobilisation et de persuasion. Il a décidé souverainement de porter les mêmes promesses d’espoir et d’espérance qu’à sa naissance.
C’est pourquoi les militants convaincus n’accepteront plus de réduire le parti en un Groupement d’Intérêt Économique (GIE), ni en un fonds de commerce entre les mains de quelques individus qui le monnayent au gré de leurs intérêts. Le renouveau se dessine au sein du parti.
Un renouveau qui exige de chacun de ses dirigeants et militants une façon de faire de la politique autrement, faire du parti un outil qui porte un projet de société, qui incarne une vision et une promesse de lendemains meilleurs pour tous. Pour ce faire, nous devons nous doter chacun d’un esprit de sacrifice, du don de soi, de l’engagement et de l’abnégation pour affronter tous les défis, toutes les épreuves. Le chemin pourrait être très difficile mais, le miel est le fruit du travail d’équipe, d’une solidarité à toute épreuve.
Car, comme quelqu’un d’autre l’a dit bien avant moi : l’Adema n’a pas détruit notre pays, c’est le comportement de quelques aventuriers qui l’ont détourné de ses valeurs et principes, sous des prétextes fallacieux qui ont souillé son image. Un parti politique ne saurait être l’ennemi de ses propres militants et par extension de son peuple. Car, c’est en son nom qu’il conquiert et exerce le pouvoir d’Etat.
Dans la ruche, il y a des ouvriers et il y a la reine-mère. Il y a eu des vraies abeilles et des fausses abeilles; la ruche a été quelques fois envahie par des frelons qui ne cohabitent jamais avec les abeilles. La ruche les a tous apprivoisés car elle leur a servi d’abri sûr et a produit, malgré les intempéries, du miel aux multiples vertus pour tous. De grâce, acceptons que l’Adema ne se résume pas à ces quelques électrons libres qui ont causé beaucoup de torts au parti et au pays. Ils ont trahi. Que Dieu les punisse… Le parti peut être comptable de leurs actes mais non coupable mais, nous sommes dans l’assumassions… sans condition.
À tous ceux qui sont partis, nous leur rappelons que nous avons fait un long chemin ensemble dans la vie politique, surtout au sein de cette belle formation politique, l’Adema-PASJ. Nous savons, par ailleurs, que parmi eux, il y a beaucoup qui ont tout donné à notre parti (notre patrimoine commun) pour qu’il soit ce qu’il est aujourd’hui : le plus grand parti du pays. Il serait sage aussi de reconnaitre qu’à travers notre parti, ils ont aussi bénéficié de toute la légitimité politique requise, autant sur le plan national qu’international. Nous devons tous, eux qui sont partis et nous qui sommes restés, à ce parti qui, malgré le tumulte qu’il connait a toujours su donner aux Maliens des raisons d’espérer.
Le peuple Adema-PASJ a beaucoup appris auprès de beaucoup d’entre nos camarades cadres et militants qui sont partis ailleurs. Quitter l’Adema-PASJ est toujours un choix douloureux que nous avons toujours respecté, mais un choix qui a toujours fendu des cœurs.
À l’Adema-PASJ, nous n’avons jamais désespéré de nous retrouver avec les partants sur le chemin commun que nous avons toujours emprunté : la voie du Bonheur et de la dignité des Maliens. Nous espérons que notre main tendue sera saisie pour le bonheur de notre formation politique et de façon plus élargie de l’ensemble du peuple malien. Le moment l’exige plus que jamais.
Comme notre maison commune demeure le Mali, nous osons espérer que chacun de nous apportera le moment venu sa pierre à la construction de l’édifice, en acceptant de se remettre en cause, d’avoir pitié du Mali et des Maliens. Seul le Mali vaut et l’Adema-PASJ en est la recette, s’il est reconstitué autour de ses valeurs fondatrices et des hommes et femmes d’éthique.
L’Adéma-PASJ est une organisation politique nationale à vocation africaine qui ambitionne d’être un parti de militants patriotes et de démocrates résolus.
Ses objectifs se résument à l’instauration et à la sauvegarde des libertés fondamentales, à la consolidation d’une société démocratique et pluraliste au Mali, à la promotion d’un développement économique, social et culturel fondé sur la répartition équitable du revenu national dans la justice et la solidarité.
L’Adéma-PASJ place l’Homme au centre de tout développement. Il milite pour la paix, la tolérance et la concorde au Mali, en Afrique et dans le monde, et œuvre en faveur de l’unité d’action de toutes les forces patriotiques et démocratiques autour d’objectifs communs à travers des alliances appropriées. L’Adema-PASJ travaille à l’édification, par la conquête et l’exercice démocratique du pouvoir, d’un Mali indépendant et prospère.
Yaya Sangaré
(Militant Adema-PASJ)
Bamako
ADEMA PASJ quelle pourriture!
L’ADEMA, un des Partis les mieux implantés d’Afrique comme l’ANC et le PDCI-RDA s’est vu volatilisé dans l’air par le non patriotisme de ses Leaders.
De L’ADEMA est sorti le MIRIA de Feu Mamadou Laminé TRAORÉ paix à son âme, le ROM de IBK, l’URD de Feu Soumaïla CISSE paix à son âme et j’en passe. Tous né de la trahison. On aime pas notre pays. C’est fini pour tous ces partis tant qu’ ils prennent pas conscience, avoir de l’amour pour ce pays et se retrouver autour d’une seule et unique formation, pourquoi pas la formation de base, L’ADEMA. Parce que c’est L’ADEMA le parti mère où personne aujourd’hui ne peut s’apparenter de la Chefferie comme IBK/RPM, FEU SOUMI/URD. De trahison en trahison, de la traiterie, de la gabegie, du vol … Où est le patriotisme?
Feu le Professeur Mamadou Lamine a été trahison et IBK à applaudi. A son tour trahi, FEU SOUMI a souri. Étant candidat du parti et par trahison un appel fut lancé pour soutenir la candidature de FEU ATT paix à son âme qui en réalité était arrivé 3è.
Des contres AEEM ont été créés pour bloquer le meilleur secrétaire Général de l’histoire de l’AEEM, Yehia Ould Zarawana.
On oublie aujourd’hui que c’est de l’AEEM qu’ est née la démocratie Malienne.
Nous avons besoin d’une révolution générale en Afrique où chaque pays de limitera à 5 partis et pas plus, une constitution uniforme pour toute l’Afrique., une armée AFRICAINE pour l’Afrique, une Afrique indépendante.
Cet autre militant de l’ADEMA Pasj, M. Yaya SANGARE sait que son parti est une honte pour la démocratie. La démocratie suppose une majorité et une opposition . Depuis 30 ans que l’ADEMA est dans la majorité jamais dans l’opposition. Ces défenseurs d’intérêts personnels et sordides . Le peuple malien n’a plus le temps d’écouter vos ragoûts. Vous vous battez pour vous-même et non pour le peuple .
Adema aux chiottes de l histoire !
Sangre
L’ADEMA PASJ n’a pas posé des actes, ON A POSÉ DES ACTES AU NOM DE L’ADEMA PASJ.
On s’est servi de L’ADEMA PASJ pour satisfaire ses INTERÊTS PERSONNELS.
Il s’agit d’incarner les VALEURS du parti, pas de se servir du parti.
CE SONT LES VALEURS,détaillées dans les deux derniers paragraphes, QU’IL FAUT TENIR COMPTE.
Les Américains ont ils détesté le parti REPUBLICAIN du fait des erreurs successives de Bush fils et de TRUMP et de bien d’autres du parti DEMOCRATE durant les deux siècles de DEMOCRATIE AMÉRICAINE?
Le parti est sanctionné pour les fautes commises par son candidat, mais revient au pouvoir dès qu’il a un candidat qui incarne ses VALEURS.
LES HOMMES PASSENT, LE PARTI DEMEURE.
Ce sont les militants qui portent le parti ,pas les cadres qui, la plupart,profitent du parti.
Arretons cette fixation sur la personne morale ADEMA PASJ afin de sanctionner les personnes qui l’animent.
IBK ne serait jamais president de la republique,si on avait tenu compte de son bilan á la presidence de L’ADEMA PASJ au lieu de passer son temps á taper sur le parti qui n’est qu’ une personne morale.
SI UN AUTRE CADRE INCARNE LES VALEURS RAPPELLÉES PAR MR SANGARE, LES MALIENS VONT SANS DOUTE REMETTRE CE PARTI AU POUVOIR.
Ce parti a une base solide nécéssaire pour la stabilité du MALI.
Son bilan ne se resume pas aux ècarts d’un de ses presidents que les maliens ont fini par mettre au sommet de l’Etat malgré que le parti ait décidé de ne pas le designer comme son candidat,mais á celui laissé par son premier president á la presidence de la republique le 8 juin 2002.
C’est ce bilan la ligne de mire du parti.
Ses futurs dirigeants doivent le DEFENDRE avec fierté.
Il peut ramener le parti au pouvoir.
OSER LUTTER,C’EST OSER VAINCRE!
La lutte continue.
Tous les maux d’ aujourd’ hui sont les consequences des actes posés par l’ ADEMA ! La sanction de l’ histoire est en cours , pour l’ ADEMA c’ est la descente dans l’ enfer pour expier ses forfaits ! Satan ne peut pas entrer au paradis !
Tout a fait d’accord avec toi car l’ADEMA a ete un nid de la corruption ou une couveuse des corrompus, du vol et de la destruction du Mali, en effet Satan ne doit pas et ne peut pas entrer dans le paradis, Le vilain Yaya Sangare doit aller se faire voir ailleurs, l’ADEMA a ete faiseur de rois et ne merite aucun credit que des prostitues et des vendus!
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