Adema et la présidentielle du 29 juillet prochain : Un large front en gestation pour soutenir la candidature du Pr. Dioncounda Traoré

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Dramane Dembélé, vice-président du Parti africain pour la solidarité et la justice (Adéma/PASJ), candidat malheureux aux primaires, Mme Konté Fatoumata Doumbia, Moustapha Dicko, ancien ministre et plusieurs autres cadres du parti travaillent désormais pour soutenir la candidature du Pr. Dioncounda Traoré.

Les choses se précisent de plus en plus du côté du principal allié de la formation d’Ibrahim Boubacar Kéita, le Parti africain pour la solidarité et la justice (Adéma/PASJ). Après la validation de la candidature de l’ancien président de la République par intérim, Pr. Dioncounda Traoré (12 avril 2012-4 septembre 2013), par le Comité exécutif, des cadres du parti de l’Abeille travaillent désormais pour une victoire incontestable de leur président d’honneur.

Les partisans d’une candidature interne, qui ont remporté une première bataille au sein du parti, au grand dam de ceux qui, comme son président le professeur Tiémoko Sangaré, souhaitaient que le parti se range derrière IBK, pensent aujourd’hui que le niveau du débat doit naturellement évoluer et porter essentiellement sur la bataille de juillet prochain.

C’est ainsi qu’une journée Adéma des communales a été initiée par plusieurs sections à l’intérieur dont Ségou où les travaux se déroulent sous l’œil vigilant du candidat malheureux en 2013, Dramane Dembélé. La délégation de la section Adéma de Ségou a sillonné samedi 21 avril plusieurs sous-sections dont Konodimini.

La journée a regroupé les militants  de 8 Communes, en l’occurrence Konodimini, Massala, N’Gara, Sébougou, Sakoiba, Soignebougou, Ségou et Pélègana. Selon les responsables de la délégation, cette journée  Adéma rentre dans le cadre d’une stratégie de dynamisation du parti à la base en vue des échéances électorales à venir.

Les sections de Ségou ont au cours de cette journée rappelé que l’ancien président de l’Assemblée nationale (de 2007 à mars 2012) a toutes les qualités pour mobiliser les abeilles au sein de la ruche. C’est pourquoi, après un passage remarquable à la tête du pays durant la transition (12 avril 2012-4 septembre 2013), le Pr. Dioncounda Traoré doit signer son retour sur la scène politique pour défendre les couleurs du parti à la présidentielle de juillet prochain, expliquent certains militants.

«Son leadership, son passé politique glorieux et surtout ses qualités d’homme rassembleur font de lui, aujourd’hui, un sérieux prétendant au fauteuil présidentiel», affirme un responsable de section.

À Bamako, c’est la même dynamique. Dramane Dembélé, vice-président du Parti africain pour la solidarité et la justice (Adéma/PASJ), candidat malheureux aux primaires, Mme Konté Fatoumata Doumbia, Moustapha Dicko, ancien ministre et plusieurs autres cadres du parti sont en train de mener ce combat au sein des sections. En tout cas, les militants estiment que le Professeur Dioncounda Traoré, ayant fait ses preuves en 2013, est l’homme de la situation.

C’est dire qu’il est sur la voie de l’ancien président de la République, le général Amadou Toumani Touré, qui, après avoir dirigé la Transition en 1991, avait décidé de se présenter en 2002. Et sans grande surprise, il a été porté à la tête du pays.

En tout cas, la candidature de Dioncounda commence à prendre corps et de l’ampleur dans le milieu politique et elle a de fortes chances d’être soutenue par une grande formation politique.

Fombus

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  1. Je pense que la candidature de Dioukouda TRAORE serais salutaire pour le Mali car en moins de quelques mois de sa présidence il a pu nous redonner de l’espoir et il a débarrassé l’échiquier politique de Sanogo et de sa Bande pour remettre un pays gouvernable à IBK mais ce dernier nous a montré qu’il manque de vision politique pour ce pays et pire il incite les autres a la corruption car il n’ a même pas pu attendre son deuxième mandat pour mettre son enfant aux affaires et au tout début de son mandat il a plutôt pensé a s’achète un avion présidentiel qu’a résoudre les problèmes les plus urgents du pays. Aussi bien qu’IBK et Soumis n’ont jamais pu s’impose dans le partis ADEMA alors qu’ils font partis des premiers militants de ce partis ce qui explique leur manque de vision et de technicité politique pour diriger ce pays. Aujourd’hui la direction pris par notre pays nous impose d’avoir à sa tête un visionnaire car le combat par les armes à montré ses limites, nous avons besoin d’un président qui peu faire assoir les deux parties pour que chaqu’un reconnaisse sa faute: l’état doit doit reconnaître qu’il y’a eu des exactions depuis le début de ce conflit jusqu’à aujourd’hui et la rébellion doit aussi reconnaître qu’ils n’ont pas été les seuls a être abandonné par ce pays et que ce sont tous les fils de ce pays qui l’ont subit et aucune autre ethnie n’a pris les armes pour revendiquer cette reconnaissance mais au contraire il y en a qui ce sont exilés et d’autres ont travaillé dure pour subvenir a leur besoin donc le fait qu’ils aient pris des armes pour terroriser les fils de ce pays n’est pas une chose acceptable, chaque partie doit se présenté des excuses et présenté les excuses au peuple Malien et l’ état doit promettre que désormais tout ce qui sera entrepris sera fait pour le bonheur du peuple Malien En ce qui concerne la lutte contre la corruption il doit être interdit aux enfants du président de la république d’être nommé ou de se présenté a un poste électifs et ils ne devront pas faire le commerce dans le pays pour évité toute conflit d’intérêt car notre plus grand problème à lutter contre ce fléau résulte de ce que Karim entreprend dans ce pays car si le président ou sa famille est pourris personne n’aura peur de faire ce qu’il veut dans le pays, en plus pour que la population ressente que le financement des projets leur revienne il faut décentralisé les trois services financiers (Budget, Trésor et Contrôle financier) jusque dans les communes si possible et tout l’argent utilisé pour le financement de ces projets doit être reversé directement dans une banque de la localité bénéficiaire cela est possible maintenant car les banques sont dans tous les cercles du Mali, cela éviterait que cet argent passe par le Budget Nationale ce qui peut entraine sa rétention au niveau de la Capitale. S’il y a plusieurs localités bénéficiaires on devrait créer un compte principal et des comptes secondaires dans les quels seront logés la part de chaque localité si la localité n’a pas de banque, et aucun compte d’une localité ne doit servir a financé une autre localité, le coordonnateur du projet, les chefs de services financiers, le maire, le préfet ou le sous préfet seront doivent être associer à la gestion des ressources, ainsi la ressource destiné a une localité sera utilisé dans la même localité même s’il y a corruption la localité en bénéficiera, les coordinateurs des projets doivent résider dans la localité financée par le projet.

  2. L’heure des vérités sonnera demain 25 Avril 2018 avec son lot de surprise, la désignation de son Excellence Dramane DEMBELE comme candidat de l’ADEMA-PASJ à l’élection présidentielle du 29 Juillet 2018. Ensemble, nous vaincrons.

  3. C’est dommage que vous vous préoccuper de notre parti, pourquoi toutes ces peurs. Oubien si c’est pas des abeilles il ne pourra briquer un second mandat.
    Dommage. Les militants ADEMA ne souteneront jamais IBK.m quoi qui arrive.

  4. C’est dommage que l’ADEMA est devenu le dindon de la farce, que des clochards qui l’animent tous les jours et tout ca pour voiler son support tacite a IBK le Mande Zonkeba

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