La salle des 1000 places du CICB a abrité le dimanche 29 janvier 2017, la cérémonie d’ouverture de la 3ème conférence nationale du parti Yelema « le changement ». la ceremonie d’ouverture des travaux a vu, la participation des délégués venus de l’intérieur du Mali et de la diaspora. On notait aussi, la présence massive des partis amis de la majorité comme de l’opposition placé le déroulement de ce travaux était placé sous la haute présidence de Moussa Mara président du YELEMA.
Après l’exécution de l’hymne national du Mali, suivi de l’observation d’une minute de silence en la mémoire des victimes de l’attentat de Gao, le président de YELEMA Moussa Mara, a, à l’entame de ses propos, rappelé les handicapes qui entravent le développement de notre pays et affaibli sa démocratie. Il s’agit selon lui, la corruption, l’impunité, la quête effrénée de l’argent par tous et partout. Le président Moussa Mara a dit que l’argent est devenu le Dieu de notre société. A ses dires, cela va, du policier en circulation au dirigeant le plus important de l’administration et son rapport avec le citoyen. La qualité de leadership, la mauvaise gouvernance à ce niveau selon lui, le Mali ressemble à un avion dont le pilote ignore sa destination.
Selon lui le parti YELEMA qui va avoir bientôt sept ans et il entend poursuivre son chemin au service du Mali, par ses principes et convictions portés par son projet de société en soutenant le leadership jeune pour un pays dont 75% de la population est jeune en mettant l’accent sur la vérité la transparence. Aussi dit-il, Yelema place l’intérêt public au dessus des intérêts individuels.
Il a profité cette occasion, pour saluer les résultats du parti lors des communales du 20 Novembre, avec 15 maires dont les communes urbaines de Mopti et celle de la commune IV du district et 415 conseillers. Pour garder cette position afin d’attirer d’autres militants, Mara a conseillé aux militants de mettre l’accent sur les valeurs du parti, et aux élus d’être irréprochable pour que le parti soit un grand parti sur le plan politique. Le président Moussa Mara, a réaffirmé que YELEMA inscrit son action au sein de la majorité présidentielle et soutien le président IBK dont il souhaite le plus ardemment le succès du mandat au service des Maliens. « Yelema ne cessera jamais de critiquer, la gestion du pouvoir, s’il y’a lieu de faire pour l’intérêt du Mali » a précisé l’ancien Premier Ministre. Moussa Mara, le président du YELEMA n’a pas manqué d’évoquer les sujets brûlants de l’heure comme l’insécurité grandissante le départ massif des jeunes à l’immigration, le déguerpissement, à ces sujets il a demandé la mise en œuvre entière de l’accord de paix ayant comme point de mire de la présence effective et sécurisée de l’administration partout au Mali.
En ce qui concerne cette 3ème conférence nationale Moussa Mara a indiqué qu’elle vient à point nommé et qui offre l’occasion d’échanger sur le rôle des responsabilités des nouveaux élus et une formation documentée contenant toutes les valeurs du parti ainsi que les actions et obligations que chaque élu doit mettre en œuvre sur le terrain. En rappel les partis invités tour à tour ont tous témoigné leurs bonnes relations avec YELEMA et s’engagent à travailler ensemble pour l’intérêt national.
Dramane Siaka
Source : L’Aube d’Afrique
Moussa Marra n’est pas content d’avoir été éjecté de l’avion, même si le pilote ignore sa destination. Heureusement pour lui, il avait un parachute. Dans cet avion, il s’est passé beaucoup de choses auxquelles il a activement participé. Il était le défenseur de l’incapable Président, qu’il a soutenu à son corps défendant, dans le scandale lié à l’achat de ce même avion. Moussa Marra, en plus d’avoir été l’avocat de l’incomparable I.B.K, avait aussi des qualités avérées de mécanicien d’avions d’occasion. C’est lui qui a décliné devant le parlement dans l’avion, l’état de défaillance technique de l’appareil de l’ancien Président A.T.T. Il savait aussi, que cet avion n’était pas assuré. Dans l’avion du pilote aveugle, Marra a pu savoir, qu’il n’y avait pas eu de surfacturation dans l’achat des chaussettes, en lieu et place des armes, destinées à l’armée Malienne. De l’avion du pilote ignorant sa destination, Moussa Marra ne voulait pas descendre. Il l’a dit et répété devant les parlementaires présents dans l’avion, qu’il ne quitterait pas son siège. Le pauvre, il s’y est accroché comme il pouvait, serré la ceinture, mais a fini par être éjecter contre son gré. A l’atterrissage, il a compris qu’il venait de prendre un goût immodéré aux voyages en première classe. Depuis, il en veut à mort à ses éjecteurs, qu’il ne ménage plus dans ses propos, devant ses militants, à la télé, à la radio et même dans la rue. Il ne rate aucune occasion pour se défoncer sur eux. Il commence à être atteint par une sorte de déficience mentale, qui si elle n’est pas soignée par son retour au pouvoir, risque d’être irréversible. Le pilote de l’avion ressemble à un P.M, qui ignorait ce qui lui arriverait à Kidal, à sa destination.
« Le Mali ressemble à un avion dont le pilote ignore sa destination »”
Vraiment Moussa, en plus d’etre menteur, tu n’as pas honte.
Thomas en parlant sa ne veux pas dire quil n aime.pas l Mali IL parle des circumstances actuel
Il a été copilote ce monsieur, mais sa médiocrité qui n’a d’égale que son égocentrisme l’a fait éjecter de la cabine avec du sang de nos soldats et administrateurs sur les bras.
Il commence vraiment à disjoncter notre Mara. IBK a vraiment monter la tête à ce comptable de campagne en le nommant PM sans aucun mérite. Il est devenu fou, vraiment fou cette fois ci
Votre combat pour construire un Mali aux valeurs qui ont fait sa grandeur sa fièrté et son estime dans le monde sera gagné
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