« Dynamisation pour une nouvelle espérance du peuple malien, assumer avec fierté et dignité son bilan ». Tels étaient entre autres, les messages qu’on pouvait lire sur des banderoles lors de la 2ème convention extraordinaire du Parti pour le Développement Economique de la Solidarité (PDES) tenue le 1er et 2 novembre 2014 dans la salle de 100 places du CICB.
Au cours de la cérémonie d’ouverture, le bilan du régime d’ATT a été très applaudi.
C’était en présence du président par intérim du PDES, Hamed Diané Sémega, de la présidente des femmes et celui des jeunes du Parti.
Des présidents des différents partis de l’opposition étaient aussi présents. Il s’agit de Soumaila Cissé, président de l’URD, de Modibo Sidibé, président des FARE-AN KA WILI, de Iba N’Diaye, de l’ADEMA, de Amadou Koita, président du parti YELE KURA et Djiguiba Keita, secrétaire général du PARENA.
En effet, parmi les grands enjeux de cette 2ème convention du Parti pour le Développement Economique et la Solidarité (PDES), on notait le renouvellement du bureau de la formation politique des héritiers du président Amadou Toumani Touré et la relecture des textes.
Ce renouvellement est d’autant plus important que l’actuel leader, l’ancien ministre Ahmed Diané Séméga propose de prendre du recul en devenant président d’honneur. Ce qui a ouvert la voie de la présidence du parti à deux cadres : l’ex-ministre Amadou Abdoulaye Diallo et l’inspecteur des impôts de classe exceptionnelle Mohamed Dibassy.
« Je prends la décision de ne pas me présenter comme président du Parti pour des obligations personnelles, mais mon engagement politique reste intacte », a déclaré Ahmed Diané Séméga. Selon lui, cette convention est le signe de reconstruction et de réhabilitation du PDES.
Ainsi, tour à tour, les présidents des partis politiques amis du PDES se sont succédés au micro pour souhaiter bon vent au parti des héritiers du Président ATT.
Adama DAO
PDES= ADEMA + RPM + URD + FARE ANKAWILI; des partis qui ont dirigé le MALI dans les 20 dernières années au MALI, pour ces partis, les impôts des maliens détournés sont cachés, sans passer par la banque et déterrer pendant la campagne pour distribuer à la population analphabète afin de voter pour eux, en un mot des tricheurs de campagne. Pour nous diaspora, la vérité finira par attraper la population et le désordre est plus grave que la rébellion actuelle, que dieu sauve le mali
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