Le CNID Faso Yiriwa ton a fêté mercredi son 25è anniversaire. 25 ans, c’est peu et beaucoup à la fois. Tout en souhaitant un nouveau souffle au parti qui a joué un rôle immense dans l’avènement démocratique dans notre pays, il faut espérer que son fondateur, Me Tall, tire enfin les enseignements de ses échecs, de son altérité. Car, en voyant aujourd’hui les Yoro Diakité (BARA), Tièbilé Dramé (PARENA), Modibo Kadjoké (APM Faso Kô) et même Oumar Mariko (dans une moindre mesure car y ayant flirté aussi ), on peut se dire sans doute que le CNID originel regorgeait de nombreux cadres valables. Qui, ensemble, auraient pu modifier en mieux la destinée de notre pays. Premier dans le combat démocratique, le CNID n’est quasiment plus que l’ombre de lui-même. A cause, dit-on, d’un président fondateur semblable à celui du Gonduana de Mamane sur RFI. Me Tall va-t-il pouvoir enfin se remettre en cause, se surpasser et songer au seul intérêt supérieur de la nation ? C’est souhaitable, car, comme disait R. Wright : «L’homme est une promesse à laquelle il ne doit jamais manque». Mais à côté de cette vérité légendaire, il y a ceux qui pensent que «la nature humaine est la même partout, qu’elle ne change jamais». D’autres soutiennent que «seuls les […] ne changent pas». Comme quoi chacun a sa vérité. Aussi souhaiterions-nous que le leader historique du CNID et l’un de ceux au plan national ne soit pas comme celui que décrit un autre penseur : «Comme tous les hommes faibles, il tenait absolument à ne pas changer d’avis». C’est fou d’imaginer le CNID originel ressuscité, mais le rêve est permis. Pourquoi pas après tout ! «Yes, we can», disait Obama.
La Rédaction
Le ridicule ne tue plus, en tout cas pas au Mali. Mountaga tall, un fossoyeur de la démocratie, un vrai celui là se présente au publique à travers la presse pour donner des leçons _ l’opposition Malienne.
Ils sont lointains ces jours où il traitait Maitre GAKOU de « fatigués de l’opposition », lui-même était KO du système politique. Cette fois il a decidé de rentrer au gouvernement après avoir été ejecté du parlement par le brave peuple de segou. N’eut été la pitié du Président il croulait sous une énorme dette. Une fois au Ministère de l’Enseignement supérieur il a créé un réseau d’extraction des ressources du département en créant divers sociétés en mettant les neveux comme gestionnaires ainsi que certains membres de son parti. Les ressources des structures comme le CENOU et la DFM sont siphonnés a travers ce cette mafia au vue et au su de tous. Il est perpétuellement en voyage de traitement aux frais de l’état malien sous forme de missions à l’étranger. On croirais qu’il est le ministre des affaires étrangères. Son parti était moribond mais grâce à son entrée au gouvernement il multiplie depuis 2014 des conférences et congrès du parti. Avec lui le département s’est transformé en un champ d’orpailleurs qui ne laissent trous et désolations après eux.
Le CNID a vu beaucoup de cadres plus valeureux que mountaga passer mais personnes ne peut durablement et sérieusement travailler avec lui, l’homme qui fuit toujours quand c’est difficile et est toujours du bon coté juteux. Qu’il sache que l’argent mal acquit servira uniquement a le soigner lui et les siens, malheureusement c’est toujours comme ça mais il ne le comprend pas encore. Ses sous là finissent toujours dans les caisses des cliniques tunisiennes.
Il est temps, pour une democratie interne, que les premiers responsables se remettent en cause et quittent la tête du parti. Dans tous les cas le CNID ne pourra paas presenter ed candidat en 2018. La raison? chacun se mastu_be à sa façon
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