L’opposition malienne est en ordre de bataille, débout et déterminée à sauver la République. Une République menacée par une situation sécuritaire préoccupante, une mauvaise gouvernance mortelle, des dérives multiples et moult réalités révoltantes entretenues par le régime en place. Ainsi, après son retrait, avant-hier, du cadre de concertation entre l’Administration et les partis politiques, elle entend battre le pavé le samedi 23 avril prochain pour exprimer son désaccord avec le régime sur des sujets aussi brûlants que la gestion de la crise du nord et la mise en place des autorités intérimaires. La grande marche prévue à cet effet mobilisera de milliers de militants de l’ensemble des partis politiques de l’opposition. L’information a été donnée hier, à la Maison de la presse, au cours d’une conférence de presse co-animée par Djiguiba Keïta dit PPR du Parena et Boubacar Karamoko Coulibaly de l’Urd.
Fidèles à son devoir d’informer l’opinion nationale et internationale sur ses prises de position, les partis membres de l’opposition Républicaine et démocratique ont partagé avec la presse quelques sujets qui les préoccupent sérieusement. Il s’agit du cadre de concertation opposition/majorité ; de la saisine de la cour constitutionnelle aux fins de contrôle de constitutionnalité des du nouveau code des collectivités territoriale ; de leur retrait du cadre de concertation ministre de l’administration territoriale/présidents des partis politiques ; et l’organisation d’une marche de l’opposition.
Ces points à l’ordre du jour de la rencontre, ont été épluchés par Djiguiba Keïta, secrétaire politique du Parena. S’agissant du cadre de concertation Opposition/Majorité, le conférencier rappela que c’est vers la fin du dernier trimestre de l’année 2015 que des acteurs politiques (de l’opposition et majorité) avaient projeté de se rencontrer dans le cadre d’un dialogue permanent afin de proposer des solutions aux préoccupations des Maliens. Un premier pas, franchi le 2 décembre 2015, avait conclu à l’introduction dans l’ordre du jour proposé de la question vitale de la gouvernance dans notre pays. Et compte tenu du fait que la majorité présidentielle n’était pas suffisamment préparée, les débats ont été reportés. Ainsi le 28 février dernier, à l’initiative de l’opposition, une rencontre a regroupé la classe politique, la société civile et les groupes armés. Cette réunion a décidé de la création d’un mécanisme (coordonné par le président de la mouvance présidentielle) de suivi des engagements des signataires dans le cadre de la mise en œuvre de l’accord de paix issu du processus d’Alger. Depuis…rien de concret. Pire, le secrétaire général du Rpm a délibérément choisi de mettre les pieds dans le plat, en accusant (lors d’une de ses sorties fracassantes) l’opposition d’être en train de préparer « un coup d’Etat contre le président de la République et les institutions pour le 26 mars 2016 ». Une « accusation gravissime qui constitue une sérieuse entorse au dialogue républicain que nous voulons instaurer et un danger pour la paix et la quiétude de notre pays », juge Djiguiba Keïta. Qui précise que l’opposition a notifié, à travers un écrit, son indignation au président de la mouvance présidentielle. Aujourd’hui, l’opposition conditionne la reprise du dialogue à l’administration de la preuve du complot et de l’identification de ses auteurs par l’accusateur, ou à défaut, la présentation d’excuses publiques à l’opposition. Le conférencier a, dans la foulé, rappelé que l’opposition ne s’est jamais départie de son attitude légaliste et républicaine, notamment durant les heures sombres de 2012, « au moment où ceux qui siègent à Koulouba se sont totalement confondus et compromis avec les auteurs du coup d’Etat ».
La deuxième préoccupation de l’opposition a trait à la loi portant modification du code des collectivités pour y introduire l’institution des autorités intérimaires dans les régions du nord. Déjà à la veille du vote de cette loi, le chef de file de l’opposition avait éloquemment élucidé les dangers de cette modification sur l’unité de notre nation. Ce qui n’a pas empêché son adoption, le 31 mars dernier, par l’Assemblée nationale. Ce jour-là, pour ne pas cautionner cette partition de fait du pays, les députés de l’opposition avaient quitté la salle. Pour autant, l’opposition ne s’avère pas vaincu. Ainsi a-t-elle saisi la Cour constitutionnelle aux fins de contrôle de constitutionnalité de ladite loi. De l’avis des membres de l’opposition, cette loi est en porte-à-faux avec certaines dispositions de la constitution malienne. « Nous considérons que les articles 11, 12, 86, 87, 152 et 153 (nouveau) violent le principe constitutionnel de la libre administration des collectivités territoriales posé par l’article 98 de la Constitution ; l’article 86 (nouveau) viole l’article 70 de la Constitution…; nous considérons également que la loi a été adopté en violation de l’article 99, alinéa 3 de la Constitution. Le principe de la libre administration des collectivités territoriales est posé par l’article 98 de la Constitution qui dispose : les collectivités s’administrent librement par des conseils élus et dans les conditions fixées par la loi », a expliqué le conférencier. Aussi, précise-t-il, le fait d’avoir substitué les autorités intérimaires aux délégations spéciales de la loi en vigueur ne saurait valablement faire obstacle à la déclaration d’inconstitutionnalité des nouvelles dispositions instituant ces autorités intérimaires en ce qu’il est constant qu’une disposition inconstitutionnelle dont il n’a pas été demandé au juge de déclarer la non-conformité à la Constitution se maintient dans le droit positif. Preuve plus palpable : en application de l’article 99 de la Constitution, le gouvernement devait saisir pour avis le Haut conseil des collectivités territoriales. Cela n’a pas été fait. Vous avez dit amateurisme ?
En tout cas l’opposition, convaincue que des dispositions (articles 204 et 206 de la loi n°06-044 du 4 septembre 2006 portant loi électorale modifiée) permettaient la prise en charge de toutes les éventualités mises en avant pour justifier l’institution des autorités intérimaires, s’en remet à la Cour constitutionnelle. Sa décision est attendue ! Quoi qu’il advienne, l’opposition rassure qu’elle restera légaliste dans sa lutte.
Autre sujet abordé lors de la conférence? Le départ des représentants des partis de l’opposition de la salle de réunion du cadre de concertation ministère de l’administration territoriale/présidents des partis politiques. C’était le 12 avril dernier. En effet, convoqués comme tous les autres partis politiques, les membres de l’opposition devaient se prononcer sur loi électorale, la charte des partis, l’agenda des élections, le chronogramme des élections etc. Mais, les choses ont pris une autre tournure, pour le moins inattendu, puisque l’opposition a estimé que l’ordre du jour proposé était une manifestation du refus du gouvernement de tirer les leçons des tentatives antérieures d’organiser les communales et les régionales en faisant fi de la situation sécuritaire générale du pays et des engagements pris par ce même gouvernement dans le cadre de l’Accord de paix. Toute chose qu’elle qualifie de fuite en avant. Ainsi, les partis politiques de l’opposition républicaine ont décidé de quitter la salle, et par conséquent le cadre de concertation. Leur retour tient à la prise en compte des vrais problèmes politiques et institutionnels du pays. en clair, les opposants demande que le gouvernement honore ses engagements, relatifs notamment l’adoption de textes réglementaires, législatifs voire constitutionnels ; la révision de la loi électorale de manière à assurer la tenue d’élections au niveau local, régional et national permettant la mise en place et le fonctionnement du nouveau cadre institutionnel prévu par l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali issu du processus d’Alger. Par ailleurs, les partis exigent la résolution immédiate des questions relatives aux 900 000 cartes NINA qui, selon le Vérificateur Général, sont de trop; et l’introduction de la biométrie dans le système électoral comme c’est le cas dans la plupart de nos pays voisins.
Signalons que le cadre est convenu de la date du 25 septembre prochain pour l’organisation des élections régionales et communales. L’opposition participera-t-elle à ces joutes électorales ? La question reste posée, car elle n’est pas encore à l’ordre du jour. Cependant Bocar Karamoko Coulibaly estime que le ministre de l’administration aurait dû sursoir à la réunion du 12 avril, et voir comment faire revenir les uns et les autres à la table afin d’adopter un calendrier consensuel. Aussi s’est-il interrogé sur le sort réservé aux 900 000 cartes Nina vierges payées par l’Etat : est-ce qu’elles ont été utilisées lors des élections partielles en commune V ou encore à l’occasion des élections partielles d’Ansongo ? Si elles existent encore, alors à quelles fins sont-elles destinées ?
La mauvaise gouvernance
Le 23 avril prochain marquera une nouvelle étape dans le combat de l’opposition contre la mauvaise gouvernance. En effet, après de multiples sorties médiatiques pour dénoncer les mauvaises pratiques devenues la marque de fabrique du régime en place, l’opposition a décidé de passer à la vitesse supérieure en initiant une grande marche prévue pour le 23 avril. Tous les Maliens épris de paix, de justice et qui aspirent à la quiétude dans la solidarité y sont invités. À l’occasion, les marcheurs crieront leur ras-le-bol, en dénonçant la mauvaise gestion du dossier du nord, les autorités intérimaires, la mauvaise gouvernance, la corruption généralisée, la dilapidation des maigres ressources de l’Etat. Aussi et surtout, ils exigeront la paix et la quiétude dans un Mali uni et prospère.
Pour boucler la boucle, Nouhoum Togo du Pdes a indiqué que l’opposition va désormais mettre un accent particulier sur la communication afin d’informer constamment l’opinion nationale et internationale sur ses prises de position.
I B Dembélé
Ce projet de loi est sensé d’unir le peuple malien afin de parler le même langage et nous irons au développement tranquillement. Il faut saluer le président de la république qui fait des efforts pour le retour de la paix au pays.
la mise en place des autorités intermédiaires n’est pas une partition du pays mais de la représentation de l’administration malien afin de conquérir tout le nord. le drapeau malien sera vu de tous dans la partie occupée par les ex-rebelles.
selon le projet de loi, les membres des autorités intérimaires seront désignés par le gouvernement, la CMA, la plateforme et les autorités traditionnelles, mais pas un partage de pouvoir. tout cela est bon pour vue que nous ayons la paix et que les ex-rebelles déposent les armes afin que le mali soit unifié.
Il faut dire qu’il est plus facile de faire la guerre que de faire la paix, que l’opposition sache que le processus de paix est en marche et de laisser le président travailler. il fois que l’administration malienne représentée au nord cela est une victoire pour le mali.
Pour la mise en place des autorités intermédiaires, les opposants cherchent à conserver leur communes c’est tout le problème voilà pourquoi les opposants s’opposent à cette loi car ils ne pensent pas un peu à la souffrance du peuple malien mais à leur bonheur.
Certes il est vrai que nous sommes dans l’opposition mais pensons un peu à ceux qui sont derrière nous. Il ne faut pas être prisonnier de l’opposition en voyant tout en mal. Les mains dans les mains nous vaincrons l’ennemie. Soutenons les actions du président même si nous sommes opposant car c’est pour la nation.
Entant que le chef de fil de l’opposition, il devrait chercher à résoudre le problème dont le pays confronte, le seul problème qui existe au sein du gouvernement est l’œuvre des opposants et certains journalistes qui ne souhaitent pas le développement du Mali.
L’OPPOSITION MALIENNE FAIT LE CONTRAIRE A CE QUE LES DISPOSITIONS DU STATUS DE L’OPPOSITION DISPOSE
Dans le respect strict de la souveraineté nationale, des lois et règlements, les partis politiques de l’opposition peuvent établir et entretenir des relations de coopération avec des partis politiques étrangers ou associations politiques internationales. L’accès aux médias publics et privés est garanti
Les partis politiques de l’opposition peuvent être consultés sur les grandes préoccupations nationales sur lesquelles ils se prononcent.
. De ce fait, selon l’esprit de la Loi, tout parti politique qui décide de participer au Gouvernement devient un parti de la majorité présidentiel et perd ainsi le droit de militer dans l’Opposition.
Selon le texte, le droit à l’Opposition politique est reconnu à tout parti politique ou groupement de partis politiques. Ainsi, Tout parti politique de l’Opposition peut participer au gouvernement ou soutenir l’action gouvernementale
Malgré tous ceux qui lui a été fait par le président IBK, pour que l’opposition soit à la mesure, et capable d’accomplis sa mission en faisant bien son travail ? Mais on constate que c’est le contraire à ce que l’opposition fait actuellement.
notre gouvernement ne prendra aucune décision qui ne va pas être en faveur du peuple mali c’est en cela que nous devons penser. il ne faut pas commencer à rejeter cette loi comme si ça n’en vaut pas la ,peine. pensons un peu au peuple malien qui souffre.
on peut ne pas être d’accord, s’opposer à tout mais s’il s’agit de la survie de la nation s’ils aiment vraiment le bonheur du peuple malien il faut que les opposants ne regardent pas que leur bonheur mais celui des maliens. ce n’est pas un problème personnel à régler.
LE CHEF DE FIL DE L’OPPOSITION EST UN VERITABLE REBELLE, J’AI LA PREUVE CONCRETE CONCERNANT SON DOSSIER.
AU MALI L’OPPOSITION A PERDU SON SENS COMPTE TENU DE SA REACTION VIS AVIS AU GOUVERNEMENT.
Le retour de la paix n’arrange pas certaines personnes, le président IBK veut un mali unifié, réconcilié pour un développement propice. Ce monsieur a une bonne vision pour le maliba, nous peuple malien se doit de le soutenir.
l’opposition ne veut un retour à la paix dans notre pays car cette crise il y a des opposants qui en bénéficient pleinement. C’est dans le désordre que d’autres personnes s’enrichissent. il ne faudrait pas se laisser manipuler par des politiciens qui ne pensent qu’à soit et non au peuple malien la mise en place des autorités intermédiaires arrangerait le mali car il s’agit d’une sortie de crise.
C’est à tout a fait normal qu’il y ait une opposition dans un régime démocratique afin de critiquer et faire des propositions pour permettre l’essor du pays à tous les niveaux. Mais force est de constater de nos jours que nous sommes de plus en plus déçu de notre opposition qui ne cherche qu’à mettre ce pays à feu. Après avoir été à la base des problèmes que nous connaissons aujourd’hui; elle est celle qui trouve tous les moyens pour rejeter sans aucune analyse toutes les propositions faites par les autorités en place. Qu’ils arrêtent ce genre de comportement qui ramène toujours notre pays en arrière pendant que nous avons besoin de le tirer vers le haut.
Le président IBK était l’homme dont le pays avait besoin. Son élection est la traduction des populations de sortir de la crise et des maux qui minaient les pays. IBK a dit: “Je serai le président de la réconciliation nationale, une réconciliation nécessaire pour répondre aux exigences légitimes de la population : reconstruction de l’État de droit, redressement de l’armée et de l’école, lutte contre la corruption, développement économique et social (…) Je serai le président de la refondation nationale”, a-t-il ajouté. Et il pose des actes dans ce sens.
C’est pourquoi il place pleins d’espoir en l’accord d’Alger car elle est la prérogative aux actions de son programme de gouvernement.
Quand on sait d’où vient notre pays on ne demanderait pas l’impossible.
Le problème dans notre pays c’est notre opposition qui manipule la presse et certaines personnes afin de jeter le discrédit sur la gouvernance d’IBK.
Ces opposants font bien de quitter le cadre de concertation établit par le gouvernement car ils n’y ont pas d’importance. Toujours des scandales pour la moindre bêtise et vous voulez que ces gens apportent quoi au développement du pays si ce n’est des embrouilles ?
L’opposition même est souvent à la base des différents scandales fictifs qui secouent toujours la société malienne car ils n’ont pas de preuves de ce dont ils parlent. Comment peuvent-ils aider à la résolution des problèmes de notre pays ?
Tout pouvoir normal a besoin impérativement d’un contre-pouvoir mais jusqu’à présent nous n’avons pas d’opposition dans notre pays. Des personnes qui sont dénudés d’objectivité, des spécialistes de la critique politicienne. Mais comme on le dit: on ne peut pas cacher le soleil de la main. Ils peuvent bien faire leurs manigances mais les faits parleront!
L’attitude l’opposition ces jours-ci se comprends aisément. Au niveau de la mise en place des autorités intérimaires; elle a boycotté le projet de loi simplement parce qu’elle suppose que cela va détruire ses bases mais quand on est sûr de sa popularité cela ne doit pas être un problème et c’est cette même situation qui motive leur refus de participer aux discussions sur l’organisation des élections locales parce qu’elle est en manque de popularité. Il n’y a pas d’autres justifications. Comment cette opposition peut mettre en avant ses intérêts au détriment du retour de la stabilité politique?
C’est bien de faire de la critique pour l’avancement d’un pays mais il faut de la critique constructive. Force est de constater que dans notre pays sur 20 déclarations de la part des opposants 18 sont des déclarations diffamatoires. Dans ce cas ça devient de la critique politicienne qui n’est pas du tout objective et c’est ce qui est de nos jours l’apanage de notre opposition et des “organisations farfelus”.
De nos jours nous pouvons tous constater que ce sont les opposants qui manquent de responsabilité et font de la fuite en avant en faisant obstacles à tout ce que le gouvernement décide de faire. Il faut que le gouvernement puisse les écarter de la gestion des affaires et faire avancer les choses. Ils rentrent dans la tergiversation car ils n’ont rien à dire.
La démocratie est le meilleur modèle de gouvernance qui existe car il permet de prendre en compte les aspirations de toutes les couches de la société mais vu les agissements des politiques surtout des opposants on se demande si les états africains sont prêts pour le jeu démocratique. On peut être dans l’opposition mais quand il s’agit de la nation on doit tous regarder de manière objective dans la même direction mais ce n’est pas le cas avec nos opposants qui ne voient que leurs intérêts pour lesquels ils sont prêts à employer tous les moyens.
Cette opposition après avoir échouée à tous ces coups fourrés du mois de mars se lancent dans une autre campagne de déstabilisation du pays. J’ai mal au cœur quand je vois ces personnes qui prétendent aimer ce pays et défendre nos intérêts communs se lancer même dans des actions qui ne nous profitent guère. Pendant que l’on prends des dispositions sécuritaires pour répondre à la menace terroriste; c’est le moment que des personnes choisissent pour organiser des marches afin de pouvoir semer le désordre. Le pouvoir dans notre pays ils pourront l’avoir mais seulement dans les urnes car nous n’accepterons jamais des coups d’états dans notre pays.
Nos opposants n’ont absolument plus rien à dire ni à défendre raison pour laquelle ils s’adonnent à des boycottent de part et d’autres. Si le gouvernement a décidé de faire revenir l’histoire des élections communales sur la table; c’est pour permettre de trouver des solutions aux blocages et cela ne peut pas se faire sans prises en compte des aspects sécuritaires. Le Mali avancera avec ou sans eux!
Les maliens sont très dessus des résultats de leurs opposants. Ils ne sont que programmer à critiquer et attaquer, mais ne propose jamais de solution plus concrète. Les maliens sont insatisfait et très en colère contre leur opposition. Nous en n’avons assez des critiques et attaques contre le régime en place, le pays n’à point besoin de cela.
Contrairement aux dénonciations faites par l’opposition, je pense que la présente loi a des avantages certains. Elle favoriserait par exemple le retour de l’administration et des services de l’Etat dans le nord du pays ; la fourniture des services sociaux de base (santé, éducation, hydraulique…) aux populations ; la préparation et la facilitation du retour des personnes réfugiées et déplacées ; la participation à la préparation des futures élections ; la gestion de l’aide et des questions humanitaires et la coordination des actions de développement.
Tu as raison, «ce comportement de l’opposition, qui se dit républicaine, est peu constructive au moment où le pays a besoin du concours franc de tous ses fils pour la réconciliation et la cohésion nationale. Toute chose qui représente l’intérêt de tous».
Le projet de loi sur la mise en place des autorités intérimaires est vraiment salutaire et avantageux pour notre pays. L’opposition est en train de raconter toute sorte de balivernes en particulier en faisant croire à la population malienne de la répartition du pays suite au vote de la loi portant sur la mise en place des autorités intérimaires.
Je lance un vibrant appel à tous les acteurs politiques notamment ceux de l’opposition, si les critiques pouvait régler la situation politique au MALI, nous n’en serions pas là. Nous devrions passer à d’autres étapes celui de soutenir le régime ou de même de proposer des idées neuves.
J’invite l’opposition à participer à la gestion du pays. Le faite de s’adonner aux critiques ne signifie pas faire de la construction du pays ou de boycotté les rencontres n’est pas une solution. L’opposition malienne utilise la mauvaise manière pour ce faire entendre, l’opposition empêche le pays aller de l’avant.
Tu as raison, cette du concertation du ministère de l’Administration est dans le cadre de l’avancement de notre pays dans la crise dont elle traverse. Les discussions sur la relecture de la loi électorale et la charte des partis politiques et les discussions sur l’agenda électoral sont des sujets brulant dont l’opposition devrait vraiment affronter le gouvernement pour trouver ensemble une solution.
Quand la sureté ou l’intégrité de l’Etat est menacée, la constitution ne peut plus s’appliquer comme si on était dans une situation ordinaire. C’est la nécessité qui sert de loi dans une situation exceptionnelle. Le Mali est dans la crise et la loi sur les autorités intérimaires est une nécessité pour que les services de l’Etat retournent au nord et conduisent le processus de paix pour le retour de la stabilité et de la paix dans le pays.
L’intégrité territoriale du Mali est en jeu par l’occupation de la partie nord du pays par des groupes djihadistes. L’accord signé par le gouvernement et ces groupes tend à assurer l’unicité de notre nation. Si l’opposition veut marcher contre cette loi, et bah je suis navré pour elle.
Les opposants de cette nation n’ont absolument aucun sens de l’État. Au lieu d’aider et accompagner, en cette période exceptionnelle, les teneurs du pouvoir, ils préfèrent s’isoler dans leur camp d’opposition véreuse et affameuse du pouvoir. Peu importe les conséquences de leurs actes, la seule chose que ces opposants veulent, c’est le pouvoir.
Je crois que la loi instituant les autorités intérimaires au nord du Mali et modifiant la loi sur les collectivités territoriales, n’est pas anticonstitutionnelle d’autant plus que c’est la constitution qui impose au président de la république comme à tout autre citoyen de sauver l’intégrité territoriale si seulement elle est menacée. La loi adoptée par l’Assemblée Nationale institue des autorités intérimaires qui conduiront le processus de paix de l’accord d’Alger qui sauvera cette intégrité territoriale.
Je ne sais où je me trouve quand je vois Soumaïla Cissé et sa bande d’incapables en train de critiquer les actions du président de la république et de son gouvernement ? C’est ce Cissé, chef de file de l’opposition politique et non moins président de l’Urd, qui a plongé notre industrie dans le chaos sous Alpha et ATT. La marche qu’ils veulent organiser le 23 avril ne sera pas la solution pour obtenir l’annulation d’une loi qui doit sauver notre pays de cette calamité.
Voilà que le gouvernement appel les partis politiques de l’opposition républicaine et démocratique sur des sujet brulantes comme les discussions sur la relecture de la loi électorale et la charte des partis politiques et les discussions sur l’agenda électoral, et l’opposition ce permet de boycotté la concertation du ministère de l’Administration territoriale. Je me demande si l’opposition malienne veut vraiment voir le Mali sortie de cette crise.
Le moment choisi n’est pas bon pour que l’opposition fasse une marche dans la capitale ou autre partie de la nation. Que tu sois opposant ou pas, ensemble unissons-nous derrière le régime en place pour sauver le Mali de la calamité. Cette marche doit être annulée pour le bien de la nation.
Le projet de loi instituant les autorités intérimaires n’est pas ce que les opposants en pensent. La constitution malienne n’est pas contre la mise en œuvre de l’accord de paix issu du processus d’Alger. La cour constitutionnelle ne peut pas statuer pour anti-constitutionnalité dudit projet déjà adoptée. Car l’accord de paix n’a pas été sanctionné comme étant anticonstitutionnel.
De nos jours l’opposition à faillir à son devoir. L’opposition malienne a perde toute sa crédibilité car elle ne fait que attaquer le régime en place mais ne propose rien de concret. L’opposition ne doit pas que critiquer mais proposer des solutions pour une sortie de crise et bonne gouvernance du pays.
les partis politiques de l’opposition républicaine et démocratique ont boycotté cette rencontre tout en quittant la salle, ce n’est pas ainsi qu’on pourra trouver des solutions aux multiples crises dont travers le pays. Si l’opposition est aussi patriotique qu’elle le prétend elle devrait rester dans la concertation du ministère de l’Administration territoriale pour défendre ses idées.
J’ai été déçu par cette opposition qui est actuellement amateur à cause de ses actes politiques. Une opposition est tout d’abord au service de la nation comme la majorité ou autres politiques. Si notre opposition est consciente de cela, elle doit savoir que le temps n’est pas avec elle pour organiser une quelconque marche en ce moment.
Je pense que l’opposition n’appelle pas à la concertation nationale mais plutôt à la haine et à la violence. Le gouvernement ne fait rien sans que la population ne soit imprégner de la situation, nous sommes dans un État démocratique avec le régime le plus démocratique que le pays n’est jamais connu.
L'opposition malienne croit que le pays est pour elle. Le cadre de concertation à laquelle elle s'est retirée comme elle l'a fait lors des votes sur la loi modifiant la loi électorale et mettant en place des autorités intérimaires. Après avoir été amatrice sur ces deux sujets, cette opposition veut organiser une marche en cette période d’insécurité et d’avancée dans la mise en œuvre de l’accord de paix.
L'opposition malienne croit que le pays est pour elle. Le cadre de concertation à laquelle elle s'est retirée comme elle l'a fait lors des votes sur la loi modifiant la loi électorale et mettant en place des autorités intérimaires. Après avoir été amatrice sur ces deux sujets, cette opposition veut organiser une marche en cette période d’insécurité et d’avancée dans la mise en œuvre de l’accord de paix.
La constitution du 25 février 1992 devrait être révisée pour que l’accord de paix d’Alger ne soit pas violateur d’un texte fondamental. Mais les choses ont fait que cette révision ne pouvait pas avoir lieu au temps voulu, voilà pourquoi l’accord a été adopté malgré la présence de cette constitution. Mais une fois que les choses seront mises en place, on procédera à cette révision. Donc les autorités transitoires seront mise en place dans les régions du nord pour faciliter l’application de l’accord de paix. La Cour Constitutionnelle déboutera cette opposition ‘’républi-conne’’, républicaine je voulais dire. Une marche est bien mais il faut attendre le moment opportun pour le faire.
Le moment choisi par l’opposition pour marcher contre le régime d’Ibrahim Boubacar Keïta n’est pas propice. Le processus de paix est en passe de nous conduire à la paix et à la réconciliation nationale. On ne doit être l’obstacle au retour de la paix dans son propre pays.
L’opposition dénonce une mauvaise gouvernance contre laquelle elle veut lutter.Mais ce qu’elle oublie c’est que son existence et les propos de diffamation qu’elle tient tout temps sont tolérés au nom de la bonne gouvernance.En quittant le cadre de concertation l’opposition malienne facilite T’elle la bonne gouvernance?
L’opposition quitte le cadre de concertation entre la majorité présidentielle et la dite opposition.Je pense que cela n’est pas très sage de sa part.On ne résout pas les problèmes en étant ailleurs outre que le lieu de la prise de décision.Comme on le dit une décision prise derrière toi est contre toi.
Nous sommes en temps de paix et de réconciliation, alors le pays actuel a besoin la contribution de tout un chacun.Je pense donc que l’opposition malienne ferait mieux de se mettre avec le gouvernement pour la construction du pays.
Le gouvernement malien fait tout cela pour les populations maliennes.Tout développement est illusoire sans paix.La paix conditionne toute activité économique.L’Etat malien fait pour qu’on ait la paix.Mais l’opposition fait tout pour saboter le travail du gouvernement.
L’opposition quitte le cadre de concertation.Cela ne surprend guère car elle a toujours été contre tout ce qui va dans la bonne marche du pays.Je pense que le pays peut bien fonctionner sans elle.On avance donc.
Ces opposants ne sont que des irresponsables qui sabotent toujours les actions du gouvernement.C’est parce que le gouvernement les concerte qu’ils se font le malin plaisir de dire et de faire du n’importe quoi.Je pense qu’il ne faut pas les associer dans les prises de décision de notre pays.
De toute les façon notre opposition telle qu’elle se comporte est semblable aux ennemi de la paix dans notre pays.Les autorités intérimaires est une une disposition spéciale et non définitive.Je vois donc pas où se situe le problème dans cette loi.
Toujours des critiques inutiles, toujours le même slogan, vraiment cela fait la honte de l’opposition, un mauvais patriote, un ingrat, toujours fuir quand il faut construire le pays.
L’opposition malienne s’est mise toujours au travers des actions susceptibles de faire avancer le pays.C’est pourquoi elle tient des propos aussi ignorants qu’irréels.Cette loi a été votée par l’assemblée nationale et sera mise en oeuvre pour le bien être de notre pays.
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