Il n’échappe à personne que le régime d’IBK a lamentablement échoué quoiqu’on puisse dire ou faire pour tenter d’embobiner les gens. Les uns et les autres sont suffisamment édifiés sur ce que fut ce mandat de la honte, de la déception, de la désespérance, du désespoir….
Le bilan est négatif avec des échecs impardonnables notamment la question du nord, les multiples scandales politico-financiers qui émaillent la gouvernance actuelle pour ne citer que ceux-là. L’heure est grave et il y a de quoi s’inquiéter pour le Mali qui a aujourd’hui besoin de la prière de nous tous. Au rythme où vont les choses, au lieu d’un léger mieux souhaité par tous, l’on s’achemine dangereusement vers le chaos. L’on sait tous ce qu’il en est du premier mandat d’IBK. Arrêtons une seconde fois cette hypocrisie à la Malienne qui veut qu’on caresse toujours dans le sens du poil. Ayons le courage de dire Non si ça ne va pas ( An ka moussalayadabila) et n’ayons pas peur. Pensons un peu au Mali et aux Maliens et disons les choses clairement : IBK a échoué et ne mérite pas un second mandat à la tête de l’Etat du Mali !
Malgré cet état de fait, en dépit du bon sens et de la manière la plus sournoise qui soit, on manœuvre pour un second mandat. Les Maliens doivent se réveiller, car le pays est pris en otage ! Vous avez tendu une première fois la joue gauche, la claque vous a terrassé. Ne tendez pas l’autre joue au risque de ne plus pouvoir vous réveiller !
On vous avait promis le bonheur et l’honneur, le malheur s’est installé à demeure, le déshonneur aussi. Pour se sortir de cette gadoue, l’actuel Président, avec un tel bilan ne saurait être la panacée. Le slogan « IBK la solution » a été une bonne arnaque. De grâce pas de récidive !
L’espoir déçu d’un peuple qui voulait redorer son blason !
En effet, force est de constater que le régime IBK est l’espoir déçu d’un peuple qui voulait redorer son blason. Les attentes placées en lui ne sont pas comblées. Les maliens sont très déçus de la mauvaise gouvernance instaurée dans les domaines (économie, éducation, sécurité, santé, société…) par les gouvernants actuels. Le pays est au bord du gouffre. Au lieu de chercher la solution aux problèmes des maliens, le régime est allé à la vadrouille. Il s’est adonné aux divertissements avec un semblant de négociation avec des rebelles qui n’ont d’égard que pour le matériel. Au nom de soi-disant pourparlers, les rebelles ont profité de la faiblesse de l’Etat malien. Non seulement ils ont fait perdurer la crise et affamé les maliens qui ont enduré de cette crise. Pour ces derniers, la solution à la crise actuelle ne se trouve pas dans la main du régime actuel, dans la venue aux affaires d’un homme fort. Donc un changement à opérer lors de la présidentielle de 2018 s’impose.
Tous les regards sont tournés vers l’opposition démocratique et républicaine dirigée par l’honorable SoumaïlaCissé. Ils sont nombreux, les prétendants au fauteuil présidentiel déterminés à tourner la page du régime actuel. Qui de Soumi Champion, Modibo Sidibé, Moussa Mara, Oumar Tatam Ly, Hamadoun Touré, Modibo Koné, Dramane Démbélé, KalfaSanogo auront raison d’IBK en 2018. La question reste ouverte.
Tientigui
Vous allez dire autre chose dans ce pays. Les mensonges et autres diffamations n’ont pas ternis l’image de ce cet grand homme d’Etat. Le slogan le Mali d’abord a tout son sens et c’est d’ailleurs dans son application que le président IBK s’est fait beaucoup d’ennemis. La gestion consensuelle est terminée et place au travail pour sortir le pays du gouffre dans lequel cette gestion consensuelle du pouvoir durant 20 ans l’a mis. Ce qui est certain c’est que le président IBK est là et cela jusqu’en 2023.
Sacré IBK. Il est fascinant ce président. Cela fait quatre ans qu’il est à la tête de ce pays. Et cela fait quatre ans que ces détracteurs veulent lui gâcher son pouvoir pour espérer monter à koulouba car 2018 il sera réélu sans problème. Ce qu’on a à leur dire c’est de prendre leur mal en patience car le président IBK est là pour encore 6 ans. Les jaloux quitteront ce pays.
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