1er congrès ordinaire du parti YELEMA : Moussa Mara rempile pour 3 ans

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Moussa Mara

C’est la salle « Lamissa Bengaly » de la capitale du kénédougou, symbole de la fierté et de la résistance, 3ème  région administrative du Mali qui a abrité les travaux du 1er  congrès ordinaire du parti « le changement » – YELEMA. L’événement était placé sous la haute présidence de Moussa Mara, non moins Premier et président du parti. C’était en présence des militants, délégués, sympathisants et partis amis.

Un bureau de 82 membres a été mis en place pour 3 ans en plus de deux commissions de travail, à savoir, la commission finance et la commission d’arbitrage et de réconciliation, dirigée par l’actuel Premier Ministre Moussa Mara.
Ils étaient nombreux,  militants et sympathisants du parti Yelema et amis du premier ministre et président du parti  à prendre d’assaut les locaux de la salle mythique Lamissa Bengaly de kénédougou.
La cérémonie d’ouverture a enregistré la présence d’éminentes personnalités politiques, administratives et coutumières du Mali et du monde dont des ambassadeurs accrédités dans notre pays. On pouvait aussi noter la présence d’artistes comme Nèba Solo et son groupe et Abdoulaye Diabaté du kénédougou qui ont,  tour à tour émerveillé le public.
Situation du pays,  l’actualité oblige   
La lutte contre l’épidémie de la fièvre hémorragique à virus Ebola et les efforts inlassables consentis par le gouvernement du Mali et  ses amis étaient au cœur des débats. Selon le président du parti, c’est grâce à l’implication des partenaires dont l’OMS que  cette lutte aura été un succès et avec l’ensemble de la communauté internationale.
Moussa Mara invite ses camarades de la majorité présidentielle à se mobiliser sans calcul autour du président de la république.
Accord ou pourparlers d’Alger
Ces pourparlers ont été fortement décriés pour la plupart par les intervenants issus des partis amis ou invités. Les congressistes souhaitent cependant  qu’ils aboutissent à un accord de paix définitif pour notre pays.
La relance économique
La reprise de la coopération économique et financière avec les bailleurs de fonds, au premier rang desquels l’on peut citer la Banque mondiale, le Fonds monétaire international (FMI), la France, l’Union européenne, les USA, témoigne des efforts du gouvernement dans ce sens ont indiqué les congressistes.
Au cours de ces assises, les militants se sont penchés sur la relecture des textes pour l’adapter au contexte. Comme on pouvait s’y attendre, le président du parti, Moussa Mara a fait le bilan de quatre années d’existence de Yelema et les efforts déployés par le comité exécutif central (CEC).
Ce congrès a été mis à profit par le parti YELEMA pour confirmer son appartenance pleine et entière à la majorité présidentielle, son soutien indéfectible au chef de l’Etat dans la conduite de son mandat de redressement pour l’honneur du Mali et le bonheur des maliens.

Envoyé spécial à Sikasso Amadou N Camara ANC

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1 commentaire

  1. Un dicton de chez nous dit que le mensonge ne construit pas un toit. Que faire alors de dirigeants qui mentent et endorment leur peuple ?
    Le Premier ministre Moussa Mara a dit le 28 avril 2014, lors de la présentation de la Déclaration de politique générale du Gouvernement, devant les élus de la Nation et le peuple malien à travers la radio et la télévision (ORTM): « Nous organiserons les élections communales et régionales courant dernier trimestre 2014 pour doter nos collectivités d’organes exécutifs forts et légitimes à même de faire franchir à notre système de décentralisation une étape majeure d’approfondissement. » On est en fin d’année 2014. Foyi (Rien).
    Les opérations d’achèvement et de pérennisation du RAVEC lancées le 1er octobre 2014 pour un mois, brandies comme un trésor caché, piétinent. Elles se déroulent d’ailleurs sans aucune assise légale, avec une prolongation d’un mois supplémentaire. Cherchez aujourd’hui la Loi électorale qui doit encadrer les élections communales au Mali. Même le site du Ministère de l’intérieur et de la sécurité ou si vous voulez du Ministère de l’administration territoriale sensé l’accueillir, ne fonctionne pas. Aucune transparence. Foyi (Rien).
    Le Premier ministre Moussa Mara a dit le 18 juin 2014, lors des débats autour de la motion de censure déposée par l’opposition contre le Gouvernement, devant les élus de la Nation et le peuple malien à travers la radio et la télévision (ORTM) : « L’avion de ATT est sans papier. L’avion de IBK appartient au peuple malien. » Et puis, on se rend à l’évidence que c’est Marc Gaffajoli, l’homme de confiance du parrain des parrains Michel Tomi ; l’ami de longue date de El Hadj IBK, qui a fait l’expertise de l’avion de ATT. Cet avion de ATT appartient bel et bien au peuple malien. Et c’est bien l’avion d’El Hadj IBK, qui appartient à la mafia.

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