1er congrès ordinaire de ASMA/CFP : Le Parti affiche des ambitions d’une force politique émergente

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Situation au Nord : L’éclairage de Soumeylou Boubeye Maïga
Soumeylou Boubeye Maïga

Le Parti, Alliance pour la Solidarité au Mali- Convergence des Forces Patriotiques (ASMA CFP) tient, du 6 au 7 décembre 2014, son 1er congrès ordinaire. Une rencontre statutaire qui intervient 18 mois seulement après la création du parti, le 19 mai 2013.  

 

Membre de la Coalition de la majorité présidentielle (Cmp), ASMA CFP, apporte toujours un soutien sans faille au président de la République IBK.

 

En présence du président du Parti, Soumeylou Boubeye Maïga, les travaux ont ouverts, ce samedi 6 décembre, dans une salle du palais de la culture qui étouffait de monde. Par milliers, les militants et sympathisants sont venus de partout. Des huit régions du Mali. Mais également de l’extérieur, avec la participation des sections du Togo, de la Cote d’ivoire, du Ghana et du Niger.

 

La cérémonie ponctuée de prestation d’artistes de renom de la place, a démarré avec la projection d’un film, retraçant le parcours du parti, depuis le congrès constitutif du 19 mai 2013. Une date à partir de laquelle, le parti a affiché les couleurs en se positionnant derrière le candidat IBK, qu’il a accompagné dans toutes les péripéties de la campagne pour les élections présidentielles de 2013.

 

Grande manifestation, ce 1er congrès l’aura été, avec également une participation remarquée des représentants des partis amis (Rpm, Udd, Adema, Mpr, Ufdp, Ps Yelen Kura, Rds, APM Mali Kô…).

 

Le secrétaire général du Parti, Amadou Baba Cissé a remercié les militants pour leur grande mobilisation. Il a ensuite évoqué le travail titanesque abattu depuis le congrès constitutif pour implanter le parti jusqu’à l’imposer aujourd’hui comme l’une des formations politiques les plus puissantes, à l’hémicycle avec 5 députés. Mais ce n’est pas tout. Le parti ASMA/CFP revendique aussi 200 conseillers communaux dont 24 maires.

 

A l’issue de ces assises, il s’agit surtout pour les congressistes de procéder à un toilettage des textes et doter le parti d’une nouvelle direction.

 

En remerciant chacune et chacun des militants ayant fait le déplacement, Soumeylou Boubeye Maïga, a insisté sur les valeurs de confiance et d’espoir qui les lient à leur parti.

 

S’adressant aux militants, il a insisté sur les défis qui restent toujours importants. «Notre congrès se tient à un moment crucial de notre histoire. Les épreuves que nous avons subies au cours des deux années précédentes et les difficultés que nous rencontrons encore aujourd’hui font que le tissu national demeure fragile, que notre société reste dominée par des tensions et des rancoeurs», a déclaré le président de ASMA CFP. Dans cette période de difficultés, d’interrogations et de doutes, a-t-il poursuivi, nous devons plus que jamais rester convaincus de la validité de nos choix et préserver dans l’engagement.

 

Evoquant la question du nord et les négociations avec les groupes armés, le président de la Convergence des Forces Patriotiques, a insisté sur l’engagement de son parti en faveur de la recherche de solutions qui permettraient d’éviter l’enlisement des discussions.

 

«Dans les négociations engagées, nous avons déjà obtenu un acquis essentiel. Depuis l’Accord préliminaire de Ouagadougou, l’intégrité territoriale,  l’unité et la souveraineté de l’Etat, ne sont plus remises en cause», souligne Soumeylou Boubeye. Sa conviction est sans aucune ambiguïté : Le futur accord de paix devrait être basé sur les actions à mener pendant la période transitoire, et en ce qui concerne la gestion maîtrisée des évolutions institutionnelles.

 

S’agissant particulièrement de la période transitoire, SBM estime qu’elle doit d’une part mettre l’accent sur les arrangements sécuritaires qui facilitent le redéploiement de la puissance publique et de l’autre, porter sur l’adoption de mesures transitoires de confiance et de coordination, en vue de faciliter le redéploiement des forces armées (Famas).

 

Papa Sow

 

Le  discours  prononcé par Soumeylou Boubèye Maiga :  

 

«La création de l’ASMA-CFP le 19 mai 2013 s’inscrit pour nous dans la logique d’un engagement politique qui se caractérise avant tout par sa confiance. Certes notre parti est jeune. Certes la page que nous écrivons est nouvelle. Mais la lutte que nous menons est ancienne et elle est marquée par la fidélité aux valeurs et aux idéaux qui fondent depuis toujours notre action au service de notre nation. Notre combat se mène autour d’idées simples et fortes, réunies dans notre devise ‘’liberté, unité, solidarité’’.

 

Nous nous sommes toujours investis pour défendre notre proximité avec le peuple ; pour créer les conditions permettant de rendre possible ce qui est nécessaire ; pour convaincre chaque citoyen qu’il est lui-même porteur de solutions et acteur de changement ; pour redonner confiance à nos compatriotes ; et pour insuffler à ceux-ci la conviction que nous sommes toujours capables de bâtir ensemble une société juste, solidaire, qui va de l’avant au bénéfice de plus grand nombre.

 

Notre congrès se tient à un moment crucial de notre histoire. Les épreuves que nous avons subie au cours des deux années précédentes et les difficultés que nous rencontrons encore aujourd’hui font que le tissu national demeure fragile, que notre société reste dominée par l’anxiété, par l’incertitude, par la perte de confiance et, ne nous le cachons pas, par la déception.

 

Dans cette période de difficultés, d’interrogations et de doutes, nous devons, plus que jamais, rester convaincus de la validité de nos choix et préserver dans notre engagement. Il nous faut préserver ce que nous avons acquis et poursuivre notre action aux côtés de nos alliés pour restaurer la confiance en notre capacité à bâtir la société de justice et de progrès qu’attendent les Maliens.

 

La conjoncture présente nous impose de procéder à des interrogations intelligentes, car la générosité d’un projet politique ne suffit pas à elle seule à en assurer la mise en œuvre réussie. Mais cette conjoncture ne nous fait pas douter de la justesse des options majeures que nous avons faites. Je tiens à rappeler que dans cette même salle nous avions exprimé notre soutien à Ibrahim Boubacar Kéita pour les élections présidentielles. C’était un choix que nous maintenons sans réserve, car nous demeurons convaincus de la validité et de la pertinence du projet présidentiel «le Mali d’abord».

 

Je voudrai avec votre permission partager avec vous mes réflexions sur questions capitales pour l’avenir de notre pays.

 

La première concerne le retour à la paix et la réussite de la réconciliation nationale.

 

Comme nous en avons tous conscience, notre pays est confronté à l’hypothèque que la situation des régions du nord fait peser sur tous les efforts de redressement et de réconciliation. Nous saluons ici les efforts déployés par la médiation internationale avec l’Algérie comme chef de file pour aboutir à un accord de paix global et définitif entre les différents protagonistes de la crise. Mais nous devons aussi faire le constat des grandes divergences qui subsistent toujours entre les positions des parties que sont le gouvernement du Mali et les groupes armés.

 

Je propose donc que notre parti s’engage de manière résolue dans la recherche de solutions qui permettraient d’éviter l’enlisement des discussions.

 

Dans les négociations engagées nous avons déjà obtenu un acquis essentiel. Depuis l’accord préliminaire de Ouagadougou, l’intégrité territoriale et l’unité nationale, donc la souveraineté de l’Etat, ne sont plus remises en cause.

 

A partir de cette donnée intangible, la conclusion d’un accord de paix juste et durable est certes difficile, mais possible. Difficile en raison de la complexité de la situation que nous affrontons et de la présence de multiples facteurs de crise internes et externes. Possible si la sauvegarde de la nation et la recomposition de notre vivre ensemble demeurent la priorité des parties.

 

Le futur accord de paix devrait être basé sur une appréhension consensuelle de deux grands points : les actions urgentes à réaliser dans une période transitoire et la gestion maitrisée des évolutions institutionnelles.

 

Les actions à mener pendant la période transitoire intègreraient les initiatives suivantes :

 

-des arrangements sécuritaires pour permettre le redéploiement de la puissance publique en vue d’apporter les prestations nécessaires aux populations ;

 

-des mesures transitoires de confiance et de coordination pour faciliter le redéploiement des FAMA ;

 

-la mise en œuvre d’un vaste programme de réconciliation intra et intercommunautaire, visant à réinstaurer la concorde civile, notamment par le désengagement de tous ceux qui renoncent à la violence ;

 

-l’identification et la réalisation des actions prioritaires de développement, notamment en matière d’infrastructures et de relance des économies locales.

 

Les évolutions institutionnelles, qui consacreront tout à la fois la reconnaissance de la pluralité de notre nation et notre attachement à préserver le caractère démocratique et unitaire de notre Etat, seront expliquées à travers un dialogue approfondi et fécond. Dialogue qui sera organisé sur tout le territoire national et qui impliquera toutes les forces vives maliennes. Cette approche patiente et pédagogique me semble incontournable pour reconstruire un pays apaisé dans l’unité et dans la stabilité.

 

Edgar Pisani, facilitateur pendant les négociations de 1991-1992 et avec lequel j’ai beaucoup travaillé à l’époque en tant que conseiller spécial du chef de l’état disait, je cite ‘’il n’y a pas d’unité possible qui ne respecte la diversité, (mais) il n’y a pas de diversité viable et pacifique qui ne soit en quête d’unité’’.

 

La deuxième réflexion que je voudrai partager avec vous se trouve au cœur du projet présidentiel. Aucun Etat ne peut être viable s’il ne se donne pas les moyens d’assurer sa sécurité, de garantir à tout moment l’intégrité de son territoire, de protéger ses citoyens et leurs biens. Au-delà de l’affrontement par les armes, l’engagement militaire est avant tout une confrontation de volontés, de ressources morales et psychologiques.

 

J’ai toujours considéré que l’armée est le creuset de notre renaissance en même temps qu’elle incarne l’ambition de la nation. Fort de cette conviction et en application rigoureuse des directives et orientations du président de la République, chef suprême des armées, j’ai inlassablement œuvré avec volontarisme et fermeté à l’équipement de nos forces armées et l’assainissement de leurs rangs. C’est le lieu pour moi de rendre aujourd’hui hommage à l’engagement patriotique de nos miliaires, à leur sens de l’honneur et du sacrifice.

 

Ma troisième conviction découle tant de mon vécu citoyen que de l’exercice des responsabilités confiées par l’Etat. Aucune nation ne peut se relever dans la dissension permanente, l’anathème et la désunion. La reconstruction du Mali doit prendre appui sur une des principales forces de notre pays, l’unité dans la diversité. Nous sommes une République certes une et indivisible, mais aussi diverse et plurielle.

 

Nous sommes un pays carrefour, une terre de brassages, une société de partage, une culture d’enrichissement mutuel. Chaque malien, à quelque ethnie qu’il appartienne, porte en lui une parcelle des autres ethnies.

 

En tant que force politique, l’ASMA-CFP a devant elle un immense chantier, celui de la renaissance nationale, de la reconstruction de notre unité et du renforcement de notre solidarité. Ce chantier est aussi celui du président de la République. Je suis de ceux qui pensent que le quasi plébiscite exprimé en faveur de Ibrahim Boubacar Kéita par les citoyens en 2013 a donné à celui-ci le mandat de jeter les bases d’un Mali nouveau.

 

Dans la conjoncture actuelle, nous devons à l’ASMA CFP faire preuve de courage, de constance et de sang-froid. Ainsi seulement, nous pourrons corriger les erreurs et rectifier les trajectoires. Ainsi, nous pourrons surtout rester fidèles au mandat, aux attentes et aux aspirations de nos concitoyens.

 

Par notre itinéraire commun de lutte et d’engagement, nous avons donné la preuve que notre parti est une force de mobilisation et de rassemblement, une force démocratique et de changement.

 

De notre parcours, nous avons tiré la leçon et la conviction que nulle part, l’avenir ne s’écrit de lui-même. Je l’ai dit il y a quelques années, je le répète aujourd’hui : la force du changement réside en chacun de nous.

 

L’ASMA CFP, notre parti, travaille à ce que de l’épreuve naisse le renouveau. Nous sommes profondément persuadés que la situation va changer. Parce que nous savons que les Maliens aujourd’hui désorientés ne succomberont pas au fatalisme. Parce que nous savons que nos compatriotes ont conservé la capacité de reprendre en mains leur destin. Parce que nous savons que nos concitoyens restent déterminés à construire un Mali de progrès et de justice, un Mali d’égalité de chances pour toutes ses filles et pour tous ses fils.

 

C’est pourquoi aujourd’hui comme depuis toujours, je vous invite à rester debout. Sans montrer ni faiblesse, ni renoncement ».

 

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21 COMMENTAIRES

  1. ENFIN BOUBEYE, TE VOILÁ !!
    C’EST DÉJÁ FINI, TA BRILLANTE CARRIERE INTERNATIONALE, SINON INTERPLANÉTAIRE DE MÉDIATEUR DÉSIGNÉ PAR LA FRANCAFRIQUE !!!
    LES SMS ET LES ÉCOUTES TÉLÉPHONIQUES ENRÉGISTRÉS SE SONT ÉGARÉS PENDANT TON “LONG” ET “FANTASTIQUE” PARCOURS INTERNATIONAL , PARDON INTERPLANÉTAIRE, DANS LA PEAU DE MÉDIATEUR. ….
    QUE PENSES-TU DE LA CARRIERE DE MÉDIATEUR EN CHEF Á LA PRISON CENTRALE DE BAMAKO ??? ELLE SERA AU MOINS UN PEU PLUS LONGUE….
    WAIT AND SEE .., BYE “BÓBA” !!

  2. ce mr a ete e est tjr 1politicien du ventre. Maintenant il est grillé e doit prendre sa retraite politique avant qu‘il ne rejoingne sa chambre au lycée tranquile 2 bko coura. Bon debaras

  3. Excellent travail Papa Saw.Brilliant article. Il s’agit du Mali. Rendez-vous dans tres peu de temps.

  4. madou, IBK le mafioisi est cite dans les affaires et il continue d’etre president sans etre inquiete et KK continue de divaguer a l’Assemblee Nationale sans se soucier de quoi que ce soit et Ben Barka et Mahamadou Camara continuent d’etre Ministres sans perdre sommeil, alors on est ou la, il ya deux poids et deux mesures ici. Sur toutes les affaires SBM a parle et les autres IBK s’assume pas, Ben Barka fuit, Mahamadou Camara est devenu Jihadiste contre l’ORTM, Moussa Joseph Mara a perdu toute credibilite depuis qu’il a jete l’armee malienne dans la gueule des Jihadistes et du MNLA a Kidal, KK raconte des inepties, etc.

  5. Il aurait dû aller dans l’opposition car la majorité ne lui fait pas vraiment confiance.

    Un ministre de la défense qui lâche son premier ministre pour ne pas l’accompagner à Kidal, et qui se fait démettre par le président de la république parce qu’il n’a pas pu justifier son acte, n’est pas du tout crédible.

    Le drame de Soumeylou c’est qu’il est le pur produit de la politique malienne. Beaucoup de phrases creuses dont on se demande si l’auteur en saisit le sens.

    Qui va faire confiance à ce qui est devenu la spécialité malienne: de beaux discours, mais pas d’actes concrets/efficaces.

  6. C’est ridicule, c’est au Mali que cela se passe. Des voleurs en première ligne toujours. Soumeylou Boubey est un magouilleur de grand calibre. Nous pouvons dire que les tenants du pouvoir sont complices.

  7. Boubeye est fin stratège et sa stratégie il l’a mis à la disposition du Mali.
    Son plan d’équipement de notre armée était ambitieuse,il sait sauver son pays des pièges de l’autre.
    Essayons de nous comprendre certaines choses ne sont pas faciles à comprendre.
    On avait imputé 100% des problèmes du nord à ATT pour plus tard qu’il comprendre qu’il avait 40% de responsabilité.

    Que la lumière soit faite sur toutes les situations et que le peuple malien soit édifié.

    • Walati
      “Son plan d’équipement de notre armée était ambitieuse,il sait sauver son pays des pièges de l’autre”

      😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 J’adore ton terme de “plan d’équiment de notre armée” (il fallait y penser!), et j’adore aussi ton qualificatif …”d’ambitieux”!

      Quand à au fait de “sauver le pays”, là, tu t’es carrément surpassé! 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

      Ceci dit, c’est vrai qu’il a “sauvé” nos armées des ampoules aux peids avec des chaussettes supersoniques à 30 000 cfa la paire ( 😛 😛 😛 !) et qu’il a “sauvé” nos armées des intempéries avec 150 imperméables par soldat! 😛 😛 😛 😛

      Et comme nulle part sur la planète, aucun ministre des armées n’avait jamais osé de telles conneries, finalement, c’était effectivement….”audacieux” de sa part!

      Sacré Walati, tu es trop fort pour nous! 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

  8. Au Mali il n y a pas de partis politiques à vocation nationale mais des partis à vocation personnelle donc familiale ou amicale.Comment voulez vous qu un tel système puisse garantir une gouvernance de qualité dans un pays.
    IBK RPM
    URD SOUMEILA
    MPR CHOGEL
    CNID MOUNTAGA
    mara yelema
    UDD MBC puis son fils tiema
    ASMA boubèye
    Exeption l’ADEMA qui est en fait plus un GIE qu’un parti.
    Il faut razer cette classe politique qui a failli.

  9. Si Boubeye peut mobiliser encore 10 personnes au Mali, ce que nous devrions être complètement désespéré pour l’avenir de notre Maliba. C’est foutu pour ce pays.

  10. C’est pathétique!… Il n’y a qu’au Mali qu’on voit des choses pareilles! 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄

    Comment ce ministre véreux, “tripatouilleur-en-titre” de la désormais HISTORIQUE escroquerie Kagnassy, ose-t-il encore se faire entendre et s’afficher publiquement??? 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄

    A croire que FIERTE et DIGNITE n’ont plus le moindre sens chez nous! 😳 😳 😳

    Et le plus “drôle”, c’est que ce voleur renouvelle ici son soutien politique……….à son ex-Chef de gang! 🙄 🙄 🙄

    Les policiers Français qui l’ont auditionné pendnat 3 jours à Nanterre doivent être morts de rire de voir que chez nous, même un délinquant “mouillé jusqu’aux yeux” dans une escroquerie d’état sans précédent peut encore bla-blater tranquillement politique comme si de rien n’était! 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄

    • Il n’y a qu’une ligne fine entre le truyant et le voleur.
      Qui contrôle les tuyaux de ces affaires douteuses????
      En quelques mois de règne ils ont ruiné le pays avec leurs mensonges et ils s’arrangent toujours en importants.Chacun a eu son morceau en toute impunité alors que le peuple malien vit sereinement dans l’impuissance.Dans ce pays la corruption est inéluctable.
      Boubeye sait jouer à la carte(ex chief Spy du Mali) et peut tirer son épingle du jeu.Quand ce gourou continue à évoluer dans la mouvance présidentielle, peut-être est-ce là l’une des clès de l’impunité dont il jouit toujours.

    • Boubey peut tres bien reunir tous les mauvais anciens espions qu’il avait recrute’s durant son passage a’ la SE, A LA DEFENSE ET AUX AFFAIRES ETRANGERES! LE PAUVRE SBM A VRAIMENT BESOIN DE VOIR SES AMIS POUR FAIRE REMONTER SON MORALE! PAUVRE BOUBEY! J’AI VRAIMENT PITIE’ DE LUI! IL ETAIT LE PLUS FAIBLE DU GANG, C’EST POURQUOI IL FUT MIS A’ LA PORTE!!! “WHEN THE GOING GETS TOUGH, ONLY THE TOUGH ONES KEEP GOING!”
      SBM, IL FAUT BIEN MEDITER SUR LES DEUX EVENEMENTS QUI ONT EU LIEU ENTRE MAI ET TA VISITE A’ NANTERRE! TU DEMANDERAS PARDON AUPRES DE… MOI POURQUE LES CHOSES REDEVIENNENT NORMALES POUR TOI!

  11. C’est dommage pour le Mali.
    Une personne a qui le Président dit avoir retiré sa confiance dit encore soutenir le Président. Où est la dignité Chez Boubèye MAIGA ?

    • Boubeye et IBK ne sont pas des ennemis politiques contrairement à ce que pensent beaucoup de gens qui se fourvoient.L’un a besoin de l’autre ;et qui s’assemblent se ressemblent.

  12. vraiment incroyable ! les personnalités cités dans les affaires continuent à s’afficher sans être inquiété de quoi que ce soit ! dans ces conditions comment ne pas douter la sincérité de ce président qui semble marcher sur sa promesse de l’impunité ? Le plus grave dans cette histoire de malversation financière , est que les instances internationale savent les présumés coupables et leur degré de responsabilité contrairement les principaux concernés !(les maliens !)

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