Le SPN menace de porter plainte contre sa hiérarchie pour abus. L’annonce a été faite hier au cours d’une conférence de presse animée par le SG du SPN Sergent-chef Daouda Cissé qui a protesté et démonté les arguments de la hiérarchie qu’il qualifie de mensongers. Il était entouré du Sergent-Chef Diakaridia Diarra SG du Comité CCR et de Coumba Traoré Chargée de la Promotion Féminine du SPN.
Suite à un rapport du Commandant du GMS, le Directeur national de la police a demandé et obtenu du Ministre de la sécurité intérieure et de la protection civile, le Colonel- Major Salif Traoré, la traduction de 8 policiers syndicalistes dont le SG du SPN Sergent-chef Daouda Cissé et du SG du Comité GMS, Sergent Fadiala Maïga. La décision fait suite à l’arrêté n 1330/MSPC-SG 17 Mai 2016.
Les raisons évoquées sont très légères et surtout montées de toute pièce par le Commandant GMS Commissaire Principal Cheickna Magassouba. Ainsi le Syndicat de la police nationale envisage « une plainte contre le Commandant en Chef GMS Commissaire Principal Cheickna Magassouba et le DG de la police Moussa Ag Infahi pour diffamation avant d’attaquer l’arrêté ministériel devant la Cour suprême».
Dans son propos, le SG Sergent-chef Daouda Cissé a laissé entendre que cette décision de traduction devant le conseil de discipline viole toute la procédure « Non seulement, nous n’avons pas été entendus, aucune demande d’explication .Et encore, nous avons agi dans un cadre purement syndical. Un sit-in de quelques heures le 21 Mars 2016, jour de la grève de la CSTM à laquelle appartient notre syndicat. Cette décision, selon lui, est jugée inopportune par les responsables du syndicat qui s’estiment victimes de leur statut de syndicalistes.
Une traduction devant le conseil de discipline suppose l’existence d’une sanction du premier degré puisque le conseil de discipline suppose l’existence d’une sanction du second degré .L’Article 31 du décret n°10 395 portant code de déontologie de la police nationale dit « Les sanctions du premier degré sont prononcées par l’autorité hiérarchique ».
Dans le cas d’espèce, aucune sanction de premier degré n’a été notifiée aux personnes incriminées, l’absence de toute sanction préalable suppose qu’il n’y a pas de faute et rend du coup abusif l’arrêté du ministre ». La hiérarchie avait été bel et bien informée du sit-in à travers une lettre adressée le 18 Mars au Ministre de la sécurité intérieure et de la protection civile avec ampliation à la DGPN. C’était pour protester contre la lenteur dans l’adoption des primes et indemnités allouées à la police qui est devenu aujourd’hui une réalité. «C’est la direction qui a organisé toutes ces manigances pour nous déstabiliser. Les armes n’ont jamais été saisies par le syndicat», dit-il.
En effet la correspondance du Directeur général de la police nationale fait ressortir la mention suivante :«les renseignements recueillis font ressortir que ce sont les éléments du Syndicat national de la police SPN du GMS –MO dirigé par le Sergent de police Fadiala Maïga qui ont orchestré ce sit-in, suite à la non satisfaction des revendications relatives aux primes et indemnités. Le Lundi 21 Mars 2016 vers 8h ils ont mis en œuvre leur mot d’ordre de grève en organisant un rassemblement et une conférence de presse au sein du GMS. Aussi de poursuivre qu’à 11h le même jour, les syndicalistes ont fait le tour de certains postes pour récupérer soit par menaces, soit physiquement les armes dans certains postes de garde à savoir : l’Aéroport, la Direction générale de la police nationale, l’Ambassade du Canada, l’Ambassade de Russie et l’Ambassade de Chine et l’ONAP. L’Administration du GMS, selon son Commandant, s’est attelé à restituer les armes saisies par le syndicat aux hommes de garde de tous les postes».
La note précise que « les fonctionnaires de police du corps des sous-officiers ci-dessous désignés sont traduits devant le conseil de discipline pour faute grave .Il s’agit de : Sergent –Chef Daouda Cissé, Sergents : Fadiala Maiga, Ibrim Dembélé, Bandjougou D. Diarra, Fousseyni Diakité, Nouhoum Traoré, Mahamadou Traoré, Idrissa Berthé.
En réponse le SG Cissé dira qu’en aucun cas il n’y a eu faute grave .C’est généralement dans les cas de vol, abus de confiance et trouble grave à l’ordre public .Le sit-in est un moyen de pression syndicale .Nous avons fait un sit-in et non une grève, mais malgré tout, on a prélevé la somme de 11.000FCFA sur les salaires du mois de Mai des victimes et certains membres du SPN.
Le conseil de discipline se réunira le 15 Juin prochain sur convocation de son président et déterminera leur sort.
Pour un sit-in de quelques heures relatif aux primes et indemnités, le Commandant GMS a transformé en grève et prélevé 11.000FCFA sur les salaires de 23 syndicalistes.
Bref, pour les membres du syndicat, la hiérarchie a dit des contrevérités. «Nous sommes prêts à défier quiconque de prouver que nous avons retiré des armes aux policiers en faction comme le prétend le Directeur général de la Police Moussa Ag Infahi», conclut-il.
En réaction à la décision de la hiérarchie, le Syndicat dans une correspondance n°017 /SPN a sollicité l’annulation de l’arrêté en question. Elle fait ressortir qu’une analyse du rapport du Commandant en Chef GMS et de celui du Directeur Général permet de mettre en exergue le caractère erroné des allégations tenues par ces deux autorités.
Les activités syndicales menacées à la police
Le droit de grève est reconnu par le statut et le code d’éthique et de déontologie de la police nationale, notamment dans l’article 38 qui stipule que «les fonctionnaires de police jouissent du droit syndical» que «le droit de grève est reconnu aux fonctionnaires de police».
Pour le Sergent-Chef Coumba Traoré « la traduction des camarades leaders devant le Conseil de discipline n’affecte point notre moral, elle constitue d’ailleurs une source de motivation dans notre lutte. Parce que nous sommes convaincus que la hiérarchie veut nous intimider après son échec à vouloir nous infiltrer .Mais nous sommes sereins et nous resterons toujours confiants et vigilants .Une chose est sûre, la hiérarchie trouvera le SPN sur son chemin dans la légalité et cela en vertu de l’article 20 de notre constitution qui stipule que « la liberté syndicale est garantie .Les syndicats exercent librement leurs activités sans contrainte et sans limite autre que celle prévue par la loi ». Autrement dit le SPN continuera sa lutte et la relève est assurée pour continuer le combat.
Des mutations abusives pour déstabiliser le syndicat
La mutation de 3 commissaires de police membres influents du SPN continue de faire des vagues .La décision date du 04 Avril 2016 et émane du Directeur Général de la Police Nationale, le Contrôleur Général Antafaye Ag Infahi.
En effet les Commissaires Yaya Niambélé, Secrétaire aux revendications a été affecté à Bandiagara, Moussé M’Baye, Secrétaire Administratif à Gao et Mamadou Youba Diarra, Secrétaire aux relations extérieures à Tombouctou. Par contre tous les autres commissaires sont restés à Bamako et environnants.
Donc pour dire que le syndicat affilié à la CSTM est actuellement dans le viseur des autorités pour leur lutte pour l’amélioration des conditions de vie et de travail des policiers.
Massassi
Il faut que les responsables de la police prennent leur responsabilité.Il ne faut pas accepter des cas d’indiscipline dans le corps.Ces policiers qui sont en cause doivent être sanctionnés.Le syndicalisme doit être interdit dans les corps pour que la hiérarchie soit respectée.
Je suis entierement d’accord avec votre analyse. Je suis membre d’un syndicat et je sais que sans ledit syndicat, plusieurs de mes droits auraient pu etre viole’s. J’ai une tres bonne comprehension du role d’un syndicat. Quand nous parlons d’un corps arme’, les choses deviennent complique’es car nous pouvons facilement passer des negociations et/ou du dialogue avec les mots aux negociations et/ou au dialogue avec les armes!
Lorsque Abdou Diouf etait au pouvoir au Senegal, il a tout simplement radie’ tout le corps de la police pour indiscipline. Je suis contre les solutions extremes, je prefere les solutions intermediaires. Je conseillerais les elements suivants au President IBK et son equipe charge’e de la securite’:
1- Etudier attentivement le cas senegalais pour en tirer des enseignements
2- Repondre positivement a’ certaines doleances pour montrer la bonne volonte’
3- Faire passer une nouvelle loi pour interdire le syndicalisme au sein des corps arme’s
4- Se rassurer que toute la chaine de commandement des FAMAs est compose’e d’hommes et de femmes qui font du morale de leurs troupes leur priorite’ numero 1 et qui font tout ce qui est humainement et materiellement possible pour mettre les hommes et les femmes sous leurs commandements respectifs dans de tres bonnes conditions.
5- Soyons patients. Attendons la fin du mois de RAMADAN MOUBARAK POUR prendre les mesures qui s’imposent. Avec des ventres vides du mois de Ramadan et la chaleur, soyons prudents dans nos actions!!!!!. S’il s’agit de repondre positivement a’ certaines doleances, nous pouvons agir immediatement!!!
ALLAH KA BE’ SON HAKILI GNOUMAN NA!!!!!!
Je pense qu’il faut pas tolerer ce genre de comportement d’indiscipline au sein de la police.Il faut blâmer ces agents qui créent le désordre ce corps.Les policiers en grève c’est ici au Mali on voit cela et nul autre par ailleurs.
Les policiers qui sont en cause doivent répondre de leur acte de désobéissance à la hiérarchie.C’est la discipline qui est censée caractérisé la police.Mais si cette hiérarchie n’est pas respectée,c’est le désordre assuré.
C'est vraiment honteux de voir des policiers se comporter de la sorte.Ce qui caractérise la police est la discipline.Mais ces policiers grévistes ne font rien de ça et disent du n'importe quoi.Je pense que la direction générale de la police doit prendre des sanctions contre ces éléments perturbateurs pour les ramener sur le droit chemin.
C'est vraiment honteux de voir des policiers se comporter de la sorte.Ce qui caractérise la police est la discipline.Mais ces policiers grévistes ne font rien de ça et disent du n'importe quoi.Je pense que la direction générale de la police doit prendre des sanctions contre ces éléments perturbateurs pour les ramener sur le droit chemin.
Le syndicalisme est devenu du n’importe quoi dans ce pays.Sous prétexte que c’est leur droit chacun fait ce qu’il veut en ignorant leur devoir.Ces policiers quand ils rackettent les populations sont ils dans leur droit?Du n’importe quoi.Il faut que ces policiers récalcitrants soient blâmés.
Je pense que la police malienne doit faire preuve de retenu, sur la chose, si tu fais une faute tu dois être sanctionné par ton supérieur hiérarchique, les syndicats de la police malienne sont manipulé par les hommes politiques de mauvaise foi.
Je trouve tout ça une manque de communication au niveau de la police et de ces supérieurs, mais une chose est claire, il faut les polices indisciplinés se traduit devant le conseil de discipline. Les syndicats sont dans leur droit mais surtout pas de désordre.
Le SPN est manipulé par les hommes politiques qui veulent coûte que coûte, semer la panique au sein de la population malienne, je crois que ce problème sera résolue par le ministre en charge de la sécurité intérieur.
Le SG du SPN Sergent-chef Daouda Cissé qui a protesté et démonté les arguments de la hiérarchie qu’il qualifie de mensongers. Est ce on doit traité son supérieur de menteur, je pense que la police malienne, se ridicule par ces actes.
Il faut que les syndicalistes doivent chercher à comprendre pour quoi ces 8 policiers sont traduits devant le conseil de discipline. S’il n’y a pas de sanction dans l’administration, dans la fonction publique, je pense que ça sera de l’anarchie total.
Les syndicalistes de la police national doit savoir une chose, c’est eux qui sensé à maintenir l’ordre publique, si c’est eux qui veulent semer le désordre, je trouve ça absurde, je pense qu’il y a des procédures pour ça.
Que la justice soit rendue dans cette nouvelle affaire qui risque de porter un coup dure à notre sécurité intérieure. La Police est le symbole de la sécurité intérieure. Les 08 policiers doivent relater exactement les faits sans réserves. C’est ce que nous voulons de la part du SPN comme pression sur ces policiers en détention.
Le sit-in en question a été manigancé par le SPN qui manifestait contre des promesses qui n’ont aucun caractère obligatoire et immédiat. Les primes ne sont que des promesses faites. Avant toute manifestation, il y a aussi des procédures à suivre et c’est ce qui a fait défaut dans cette affaire.
Si les faits évoqués par le directeur national de la police sont vrais, les policiers qui sont actuellement en détention ainsi que d’autre complices dans la nature doivent payer pour leur acte compromettant la sécurité intérieure de ce pays. Le SPN doit faire preuve de sagesse à ne pas aller trop vite avec cette affaire pour ne pas s’humilier d’avantage.
Je pense que cette affaire est une sorte de compte à régler entre certains policiers appartenant à de syndicats différents. Tout compte fait la justice fera son travail dans cette affaire. Si les 08 policiers n’ont aucun liens avec ce qui leur sont reproché, et bah ils seront libérés sans doute.
La grève de CSTM a été un échec et voilà ces policiers en payer les pots cassés. O ne marche pas pour le simple plaisir de le faire mais pour revendique quelques chose de normale. Le SPN doit laisser la justice faire son travail.
Je pense que la police malienne doit faire preuve de retenu, sur la chose, si tu fais une faute tu dois être sanctionné par ton supérieur hiérarchique, les syndicats de la police malienne sont manipulé par les hommes politiques de mauvaise foi.
Le policier doit avoir une conduite exemplaire selon le code de son métier,l’étique et la déontologie.
Mais s’il s’écarte de ces règles de conduite il n’est plus digne de se faire appeler policier.
C’est d’ailleurs la raison du conseil de discipline et si ces policiers se retrouvés devant ce conseil c’est on violé le code de leur travail…
Le gouvernement malien doit essayer de trouver une solution aux problèmes syndicales car ce probleme commencé a monter de tendance,surtout les force de l’ordre ne devrait en aucun cas rentrer dans cette danse là.
Les journalistes maliens doivent maintenant arrêter de créer des polémiques autour de tous les problèmes.
Un policier est une personnes qui est sensé faire respecter les lois.
Alors si cette personne se met hors de la loi il est important de le lui faire savoir.
Je pense que c’est pour cette raison que ces policiers se sont retrouvés devant le conseil de discipline.
Et répondront de leurs actes….
Cet genre de probleme peut être régler en nous en toute discrédite sans que la population ne rend compte de rien du tout.Mais si vous décidez de le faire autrement voici les conséquences alors.
Syndicalisme ne peut pas rimer avec non respect des lois en vigueur.
Alors,si ces policiers sont devant le conseil de discipline aujourd’hui c’est qu’ils sont coupables de quelque chose.
Alors arrêtez de créer des polémiques partout…
Faire partir du groupement syndicale ne veut pas dire qu’il faut créer du désordre ou faire ce qu’on veut dans organisation paramilitaire telle que la police nationale du Mali.
Ces genres de comportement sont indignes de la parts de ces policiers.Ils doivent répondent a leur actes en conseil de discipline.Ils ne devraient pas agir de la sorte.Après leur sanction ils apprendront de leurs erreurs.
Même si certains de vos primes ne sont pas payés vous devez pas agir comme des simples civiles tout essayer d’arracher des armes aux autres qui sont en gardes dans les différents ambassades dans la capitale.
Syndicalisme en danger au Mali : 8 policiers traduits devant le conseil de discipline 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯
Il faut vraiment que les journalistes arrêtent d’extrapoler les choses. Ce n’est pas parce que 8 personnes ont failli et que leur hiérarchie a pris des mesures qu’on va sortir ce genre de choses.
Sinon qu’en est-il des personnes comme Amion guindo et autres soumaïla cissé qui ont violé l’état d’urgence pour organiser leurs manifestations?
C’est juste pour dire qu’il y a des domaines où le désordre ne doit nullement être toléré.
Force de maintien de l’ordre ne doit jamais se transformer en force de création de désordre. Si nous partons du fait que nous sommes dans une situation d’état d’urgence où ce genre de manifestations ne sont pas autorisées; ces policiers ont violé la loi et pour cela ils doivent s’expliquer subir les sanctions qui s’imposent.
Il ne faudrait pas que le directeur de la police nationale se laisse intimider par ses policiers qui ne méritent pas la tenue qu’ils portent en posant de telles actions. Nous savons de lui un grand travailleur rigoureux et juste. Ainsi les policiers qui iront contre l’éthique et la déontologie policière devront en subir les conséquences.
Quelques soit les divergences de nos points de vue; nous ne devons jamais accepter que l’anarchie s’installe au sein de la police nationale. Toutes les personnes qui créeront le désordre devront en payer le prix fort.
La police est un corps même étant civile où on n’a pas besoin de désordre. Le droit de revendiquer de meilleures conditions de vies et de travail n’est dénié à personne. Mais les policiers qui doivent maintenir l’ordre sont ceux même qui sèment le désordre, il ne peut avoir de réactions que la sanction.
Nous voulons une police disciplinée prête à servir son pays et des agents manipulés pour ternir tête à la hiérarchie. Toute cette manière doit être bannie de notre police et autre corps.
Ces agents ont-ils oublié le code de bonne conduite et de la déontologie de leur métier pour se comporter ainsi? Ils doivent répondre de ces actes afin que cela sert de leçon aux autres syndiqués. Le président a initié le projet un habitat pour les policiers et encore doté de la police des moyens matériels pour leur mobilité.
C’est tout à fait normal que les 11.000 frs soient omis de leur salaire. Ils n’ont pas travaillé donc je pense que le syndicat à qui ils ont servi, leur donnera cette somme. On peut bien revendiquer mais surtout à ce moment où le pays a besoin d’union de toutes les couches solaires, messieurs les indisciplinés trouvent à marcher.
Avant de participer à la marche, ces policiers n’ont pas posé de lettre signifiant cela. D’ailleurs avec ce qui est fait par le président de la république pour l’amélioration de vie et de travail, ces idiots osent marcher?. Il faut mettre fin à ces incivismes
Il est temps de dire aux indisciplinés qu’aucune action ne sera tolérée si nous voulons être un pays développé avec une police consciente de son rôle régalien. C’est vraiment intolérable que des agents de police manquent de respect à leur hiérarchie.
il faut dire si tout le monde veut faire ainsi comme les éléments du Syndicat national de la police SPN du GMS –MO dirigé par le Sergent de police Fadiala Maïga cela ne permettra pas de maintenir l’ordre au pays surtout si tous les corps le font. c’est dommage de voir ces genres de chose qui sont faites pas les agents qui sont censés maintenus l’ordre.
avec tout le boulot qui est fait actuellement les syndicales devront patienter pour les revendications. lorsque que nous revendiquons, nous devons savons qu’il est possible que les revendications soient acceptées tous ou encore à moitié et pour cela nous devons rester les engagements pris par nos hiérarchies afin d’éviter tous débordements.
une faute très grave qu'(ils ont commis ces policiers car le fait d’aller désarmer des postes par des menace et physiquement sous-entend qu’ils plus à maintenir l’ordre et empêcher les autres de travailler. je donne raison au Commandant GMS Commissaire Principal Cheickna Magassouba de les traduire en conseil de discipline.
je pense que le fait d’être traduit en conseil de discipline ne permet pas aux huit policiers de porte plainte contre sa hiérarchie cela dire qu’ils sont indisciplinés et pourront avoir de lourdes sanctions. je pense que cela pourrait être évité par les huit policiers.
monsieur le journaliste êtes vous sure de ce que vous avancez? cela dire que le Commandant GMS Commissaire Principal Cheickna Magassouba ne veut plus plus ces personnes car vous dites qu’il a monté de toutes pièces les preuves contre ces huit policiers. je pense qu’il serait mieux d’éviter d’avancer certains propos si vous n’aviez pas de vrais informations.
Ce Sergent-chef Daouda Cissé oublie que l’armée ce n’est pas du désordre mais la discipline. Il serait mieux pour lui de présenter des excuses à sa hiérarchie afin que cela se fasse tranquillement mais s’il insiste de porter plainte parce qu’il a raison donc qu’il le fasse mais il le regrettera.
je pense qu’avant de porter plainte contre quiconque il faut être en mesure de se présenter avec les vrais preuves. je demande au Sergent-chef Daouda Cissé de se calmer car il s’agit de l’autorité et de hiérarchie.
Quand les porteurs d’uniforme prendront conscience qu’il y a une différence entre l’IDEE qu’ils se font des LOIS et REGLES ….et l’OBSERVATION DES LOIS ET REGLES ….
…..il est certain que la société Malienne recommencera à mieux vivre ………! ! ! ! 🙂 🙂 🙂 🙂 🙂 🙂 🙂 🙂 🙂 🙂 🙂
Nous ne pouvons tolérer l’anarcho-syndicalisme dans la police. La plupart ne savent rien de ce quest le droit ou le devoir .
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