Manque de moyens matériels, manque de carburant, manque d’effectifs…bref les commissariats de Bamako sont actuellement dépourvus de tout.
Conséquence : un relâchement dans l’accomplissement des missions, notamment des patrouilles de sécurisation. Et les policiers ne cachent pas leur colère à l’adresse de la hiérarchie, notamment le ministère de la sécurité qui, depuis l’arrivée de Sada Samaké, ne cesse de multiplier la pression sur la police qui, aux yeux du ministre, n’est plus performante.
La Rédaction
Je suis du même avis avis que M. Katio, l’intervenant precedant. En outre, l’info est tronquée…des Commissaires, mais lesquels? M. Sada n’est pas à sa première experience de gestion des questions sécuritaire. L’homme, bien sur, est rigoureux donc gare au incompétents mais il le sens de la responsabilité. Or, c’est tout ce dont notre pays a besoin aujourd’hui. Courage M. SAMAKE et vivément la culture de l’excellence à la police mais aussi dans tous les autres corps de fonctionnaires de l’Etat. Ne vous laissze pas distriare.
Bonjour le journal l’aube,
Au rythme auquel vous partez dans les dénonciations non fondées, vous risquez de disparaître si la démocratie malienne se renforçait.
C’est maintenant que les commissaires savent qu’il leur manque de moyens humains et matériels pour atteindre leurs objectifs ?
Vraiment, au lieu de mettre de telles informations sur papier, vous pouvez rencontrer le Général Sada Samaké qui, je suis convaincu, est animé de bonne volonté pour faire avancer les choses. Il n’est pas un inconnu. Son niveau intellectuel, ses expériences cumulées dans l’armée et dans l’administration, plaident à sa faveur pour nous faire sortir de tout dysfonctionnement qu’on peut lui reprocher.
A bon entendeur salut !
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