L’idylle entre le syndicat de la police nationale et le ministre de la sécurité intérieure et de la protection civile semble avoir déjà pris un sérieux coup. A l’issue de sa marche de protestation vendredi, le syndicat qui a soumis une doléance relative à la relecture du statut particulier des fonctionnaires de police n’est pas allé de main morte et réclame d’ores et déjà le départ du ministre Tiéfing Konaté.
Les militants de la section syndicale de la police nationale ont battu le pavé, le vendredi 16 novembre, pour tenir l’opinion publique à témoin des préoccupations qui leur tiennent à cœur. Cette marche qui a pris son départ au Groupement mobile de sécurité(GMS) a pris fin dans la cour du ministère de la sécurité intérieure et de la protection civile. Sur place, les marcheurs ont remis une déclaration au Secrétaire général, l’inspecteur général, Ibrahim Diallo. Dans laquelle sont consignées les revendications du syndicat de la police nationale.
Et qui portent, entre autres, sur le manque d’équipement ; l’arrêt immédiat et le remboursement des prélèvements au titre de l’assurance maladie obligatoire(AMO) ; la mise en application immédiate du décret n°2012-516 PRM et des arrêtés n°2012-2694/MSIPC-SG et leur élargissement à janvier 2013.
A en croire le secrétaire général de la section syndicale de la police, Siméon Keïta, si leurs revendications ne sont pas prises en compte, ils marcheront sur la Présidence de la République. Le patron du syndicat de la police a déclaré que ses militants sont déçus du comportement du ministre de la sécurité intérieure qui ne semble pas mesurer toutes les difficultés que rencontre la police.
Les marcheurs ont réclamé le limogeage pur et simple de Tiéfing Konaté. Ils ont aussi réclamé leurs armes retenues par la gendarmerie nationale. Et si cette situation n’est pas vite débloquée, les grévistes ont menacé de marcher sur la brigade territoriale de la gendarmerie pour rentrer en possession de leurs armes.
Les limiers réclament l’adoption sans délai du statut particulier de la police.
Boubacar PAITHAO
Et qui portent, entre autres, sur le manque d’équipement ; l’arrêt immédiat et le remboursement des prélèvements au titre de l’assurance maladie obligatoire(AMO) ; la mise en application immédiate du décret n°2012-516 PRM et des arrêtés n°2012-2694/MSIPC-SG et leur élargissement à janvier 2013.
A en croire le secrétaire général de la section syndicale de la police, Siméon Keïta, si leurs revendications ne sont pas prises en compte, ils marcheront sur la Présidence de la République.
VOUS AUSSI, VOUS VOULLEZ FAIRE UN COUP D’ETAT? NE SAVEZ-VOUS PAS QUE KOULOUBA EST VIDE?
HEEEEE ALLAH, AYEZ PITIE DES MALIENS!
Visus_Mali ou quoi, c’est vrai que vous aimez les langue mielleuse, vous n’avez rien compris dit-out, peut-être que vous n’avez pas de défaut physique et morale mais sache que nous n’avons pas besoin de celui qui as l’art de parler mais plutôt d’un homme intègre comme cet homme là. Je vous demande où était le ministre de la sécurité quant le coup d’état a été consommé,c’est pour dire en médecine les infirmiers connaissent 5POUR CENT, les médecins confirmés 10 pour cent et enfin les experts professeurs en médecine 25 pour cent les 75 pour cent sont à l’actif du bon DIEU.
Je ne sais pas que vaut ce ministre beg, qui fait begayer gravement tout l’appareil sécuritaire du pays. Il aurait dû être démissionné depuis l’agression de Dioncounda mais il est toujours là à ne rien foutre. Aucune autorité. C’est vrai quand un général se met au service d’un capitaine, il ne faut rien attendre de lui, surtout le courage.
Nous sommes dans quel pays les gars? C’est vrai que j’ai perdu la raison, mais je reconnaissais le pays Mali. La, je ne me retrouve plus.
Sois tranquille FOU DU MALI, nous non plus! 😥 😥 😥
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