Le dés… ordre des Forces de l’ordre

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Vols à main armée, viols, rackets, meurtres, escroqueries braquages de Banque…Autant de pratiques déshonorantes, dont nos Forces de l’ordre se sont rendues coupables. Au nez et à la barbe de leurs supérieurs hiérarchiques.

« Si ceux-là qui sont chargés d’assurer notre sécurité sont devenus source d’insécurité, alors, il y a péril en la demeure », grommelait, un vieux sexagénaire. Il venait d’écouter les infos au journal télévisé. Le présentateur parlait du démantèlement d’un réseau de malfrats. A la tête de ce gang, un élément… de la gendarmerie.

 

Les actions de banditisme dans lesquelles sont impliqués des « porteurs d’uniforme », alimentent notre quotidien. Cela ne rassure guère. Dans un environnement devenu hostile à cause des agissements d’individus malintentionnés, les populations ont besoin d’être rassurées et sécurisées. Seulement voilà : le ver est déjà dans le fruit. Les voyous, on ne les trouve plus seulement dans les rues. Mais au sein de nos Forces armées et de sécurité. Ce est loin de rassurer nos concitoyens.

 

 

Le braquage d’une banque de la place, la semaine dernière, par un agent de

la Garde nationale, a mis la population en émoi. Cet élément de la Garde Républicaine était censé assurer la sécurité de cette banque. Mais, il change d’avis. Avant de s’emparer de la caisse contenant 40 millions CFA. Ce n’est pas un cas isolé. Plusieurs Agences bancaires, ont fait l’objet  d’un braquage, par des agents « habillés ».

 

Revoir le système de recrutement

            Beaucoup pensent que le recrutement dans les différents corps de l’armée, ne se fait plus selon les règles de l’art. On recrute, aujourd’hui, n’importe qui, sans, parfois, tenir compte de son niveau d’études. Ni de sa moralité. Il suffit que le candidat soit sous- couvert d’une personnalité influente.

          

  « On recrute, malheureusement, aujourd’hui, dans les différents corps de notre armée, d’individus à la moralité souvent douteuse. Or, on ne devrait pas permettre à de tels individus d’intégrer notre corps armé. Le permettre, c’est accepter que nous soyons en insécurité », fustige, un chef de famille.

 

Aimé

 

 

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