La décision de faire d’une voie le tronçon EN Sup-pont Fahd participe à la fluidité de la circulation dans le centre-ville et permet d’achever les travaux de l’échangeur dédié aux engins à deux roues.
Mais, les agents de la compagnie de la circulation routière (CCR) ont montré leurs limites par rapport à la réglementation de la circulation dans les environs. Et malgré la présence du directeur adjoint de la CCR, Idrissa Sangaré, pour prêter main forte aux agents, rien n’a changé.
Le triste constat est que la circulation au niveau du rond-point de l’indépendance reste très difficile et les usagers n’ont d’autre choix que prendre leur mal en patience. En réalité, les agents de la CCR qui se montrent très légers ne parviennent plus à réglementer la circulation. Et la suite est connue, circuler ici est devenu un parcours du combat.
Hier, la situation a été plus compliquée et les nombreux usagers qui empruntent désormais l’unique voie en provenance de la rive droite et Djicoroni-Para et autres quartiers ont vécu l’amère expérience. Au regard de l’impact négatif et les désagréments que cause la circulation dans le centre ville, il urge, pour la hiérarchie de la police de la circulation routière, de trouver une solution au bouchon qui se crée aux heures de pointe.
Alpha M. Cissé
ques ce que tu veux faire abruti ?
y a des bouchons dans toutes les capitales
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