Dans notre parution du 4 Juin 2012, nous dénoncions le laisser-aller des forces de l’ordre à travers un article intitulé : “Insécurité à Bamako. Les forces de l’ordre jouent-elles leur rôle ?”. Et bien ! Cet article a eu l’effet escompté. Pour preuve, au lendemain de notre parution, nous avons été heureux de constater que la police nationale a renforcé son arsenal de sécurité pour le plus grand bonheur de la population de Bamako.
Nous concluions notre article en ces termes : ” Que chacun s’assume pour la restauration de l’Etat dans un Mali rayonnant de bonheur. “. Cela après avoir mené des enquêtes sur la sécurité dans notre capitale. Il nous était revenu de constater que depuis le coup d’Etat du 22 mars dernier, la sécurité des populations bamakoises était mise en branle et chacun, comme dans une anarchie totale, faisait sa loi.
Pour preuve, nous n’oublierons jamais les propos d’un automobiliste qui avait renversé un motocycliste au niveau du rond point de la colombe. Le motocycliste exigeant un constat de la police pour avoir réparation du préjudice causé, son interlocuteur lui lança ces mots : “La Constitution est suspendue et les Institutions sont dissoutes et toi tu demandes un constat de la police. Va au diable ! ” Quelle anarchie !
Cependant que la Constitution est rétablie et que les Institutions fonctionnent normalement, l’atmosphère est restée morose du point de vue de la sécurité.
La liberté de la presse étant une façon pour nous de nous assumer à travers nos plumes. Parce que notre pays en a besoin en ces temps qui courent. Il est bon de dénoncer les bavures de quelqu’un, mais reconnaître ses bienfaits est encore mieux. C’est pourquoi nous venons par le présent article tirer le chapeau à la police nationale qui, à la lumière de notre investigation, utilise les gros moyens pour la sécurité de notre cité.
Faites un tour par exemple au niveau du Pont FADH pour vous en rendre à l’évidence. Dans notre parution du 04 Juin nous écrivions : ” Sur le Pont FADH, nous avons assisté à une impunité totale des motocyclistes qui circulent sur la voie principale, ce qui est interdit. “. Mais, au cours de nos investigations ces derniers temps, nous avons constaté qu’il y a un nombre important de policiers pour empêcher les usagers à enfreindre aux interdits.
Aussi, nous avons constaté que dès 22 heures, des patrouilles circulent pour permettre aux Bamakois de dormir tranquillement, sans crainte d’être cambriolés.
Abou BOLOZOGOLA
Ces sois disant jourliste me fond mourir de rire, a croire qu’ils jouent dans la troupe theatrale du district. Vous investiguez hein!!!!!!!!!!!!! Hahahahahah je suis mort de rire. Soyons serieux, si votre investigation s’arrete au niveua des deux ponds je vous dit un grand bravot!!!!!!!!!! vous etes vraiment un tres grand journaliste.
Chapeau!!!!!!!
Pour faire plus de raquette simplement
Si vous avez fait des investigations, pourquoi renoncer au plaisir de les partager? Apercevoir la police un soir sur un pont n’est pas tout-à-fait du journalisme d’investigation.
Si vous voulez rassurer les Bamakois, il va falloir faire y mettre plus d’énergie!
Peut-être que le journal s’est fait taper sur les doigts!
Policy ka bagaba yé aou ta déh !
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