La Division de la Formation de la Police nationale est sous tous les projecteurs ces derniers jours. En effet, selon des sources proches de l’institution policière, l’ancien directeur de l’Ecole nationale de la Police (Enp) devenu directeur de la Formation, le Commissaire divisionnaire Mamby Sylla, est soupçonné de vouloir attribuer « illégalement » à son fils, le sergent-chef de police, Salia Sylla, une bourse d’étude pour une formation en Russie.
Selon nos sources, le sergent-chef de police, Salia Sylla est en service actuellement à la Division des Renseignements généraux et de la surveillance du territoire de la police nationale. Et de poursuivre que dans le cadre de la coopération policière, la Russie met à la disposition de l’Etat malien cinq bourses d’étude pour les sous-officiers de police. Aussi, à la fin de leur formation qui s’étale sur cinq ans, ces sous-officiers intègrent le corps des commissaires de police. « En attribuant l’une des bourses à son rejeton, il réussira à l’intégrer dans le corps des commissaires de police, alors qu’il a tout fait pour que son fils intègre le corps des inspecteurs lors du dernier concours professionnel », ont martelé nos sources.
A les en croire, tous les regards sont désormais tournés sur la gestion de ces cinq bourses d’étude offertes par le pays de Vladimir Poutine surtout que celle-ci est confiée au directeur de la formation qui est soupçonné de vouloir trafiquer l’une des bourses pour son fils, le sergent-chef de police, Salia Sylla.
Selon ces indiscrétions, le Commissaire Mamby Sylla n’en est pas à sa première tentative. Car, lorsqu’il était le directeur de l’Ecole nationale de la police, il avait réussi à domicilier le salaire de 2200 nouvelles recrues de la police à la BSIC contre le recrutement de sa fille dans ladite banque.
Joint par nos soins, le Commissaire Mamby Sylla a nié toutes les allégations. Aussi, il estime que ces bourses ne correspondent même pas au profil de son fils. Selon lui, le directeur général de la Police nationale est la seule personne habilitée à gérer la question des bourses d’études. A ce titre, il donne des instructions que la Direction de la Formation ne fait qu’exécuter. « Sinon, pourquoi pas si les bourses correspondant à son profil, mon fils est un Malien comme les autres policiers », a-t-il laissé entendre.
Les prochains jours dévoileront les dessous de la gestion des bourses accordées par la Russie. Nous y reviendrons
Monsieur SYLLA ,bonne réponse.
Ton fils est malien, il est policier il est sous officier.
Donc il répond à tous les critères, doit-on pénaliser Ton fils par le simple fait de sa filiation ?
Si jamais le fiston n’a pas cette bourse on va te tirer les oreilles.
AU Mali on a ouvert une EMIA spéciale ici pour certains rejetons et personne n’en a pipé mot.
Très bien dit. Au Mali quand on veut chasser un chef de service on s’achete Un journaliste médiocre pour dénigrer. En plus d’Emia spécial il y’a eu aussi magistrature spéciale.
Vora$$e
Ces Crapul€uropéens prédat€urAtlantistes
sont-ils en train de miser le tout pour le tout
afin de diviser pour mieux régner avec leurs pipo$ ?
Ces U$Atlantistes detestent les asiat sauf quand il s’agit de profiter de leurs femmes
Comme le prédat€ur de Sophie le Tan ou Bruno Gollnich et sa femme malaisienne!
NE SOYONS PAS EGOISTES. SALIA SYLLA N’EST IL PAS MALIEN COMME NOUS ? N’est il pas POLICIER ? ALORS ? IL N’A AUCUN DROIT ? MAMBY, FAITES TOUT VOTRE POSSIBLE POUR QU’IL participe à cette formation. NE BAISSEZ PAS LES BRAS. NE PENALISEZ PAS VOTRE FILS IL A LE MEME DROIT QUE NOUS AUTRES.
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