A, la faveur d’une conférence de presse tenue, le samedi 28 janvier 2017 au siège de la direction général de la police sise à Hamdallaye le Directeur Général est monté sur ses grands chevaux. S’exprimant en français et ensuite en langue nationale il a battu en brèche les informations selon lesquelles il délivrerait des faux laissez passer dans le but de favoriser ses proches. Ses détracteurs l’accusent même de l’ingérer dans la gestion de la circulation routière. Le flic en chef adjoint dénonce un coup fourré d’un certain syndicat dans l’unique but de salir sa réputation d’homme intègre.
Au Mali la convoitise pour des postes juteux poussent certains à se livrer à des pratiques peu orthodoxes. Tel semble être le cas du Directeur général adjoint de la police. En effet il a décidé de rompre d’avec la langue de bois pour dire aux hommes de medias toute la vérité sur toutes les fausses accusations portées contre lui. Dans ses propos l’officier de police reconnaitra sans détour que la carte de visite à laquelle un confrère de la place fait allusion est bel et bien la sienne. Certains syndicalistes veulent se servir de cette simple carte pour m’abattre. Et, lui de poursuivre les yeux rouges de colère à la police on se connait : « j’ai gravi tous les échelons à commencer par le grade de gardien de paix et à tous les concours j’ai passé major de la promotion ». Pour lui en Afrique et au Mali les relations humaines sont tels qu’on ne peut ne pas accorder certaines facilités mais dans la légalité surtout s’il s’agit de cas de force majeure. Le contrôleur général de police a martelé que c’est un ami de longue date qui est venu lui dire que sa maman est gravement malade à Ségou qu’elle doit être transportée de toute urgence à Bamako. Pour des cas de ce genre même si on a un cœur de pierre on ne peut pas refuser. Mieux son véhicule était déjà dédouané mais seulement il n’était pas encore entré en possession des documents de dédouanement. « A ma connaissance c’est la seule carte que j’ai délivré à cet ami pour qu’il puisse évacuer sa maman à Bamako », a précisé Mohamadou Z Sidibé. Quand mes détracteurs n’ont décelé aucune faille ils ont décidé de fouiller pour trouver des cartes similaires puisse qu’ils n’ont rien trouvé ils ont décidé d’explorer d’autres fausses pistes. Pour cette sale besogne ils ont approché la presse en fournissant des faux documents. Le Directeur général adjoint de la police nationale dit avoir la conscience tranquille.
Badou S. Koba
il est temps que les accusés traduisent la presse en justice. La tactique de la presse est de salir et s’excuser après. A ce rythme, il risque d’avoir des règlements de compte
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