Suite à notre article paru dans l’édition n° 320 sur une affaire de fausse identité judiciaire, nous apprenons que la première victime, M. Cissé, secrétaire particulier du directeur général de la police nationale, a reçu une notification portant prolongation de sa durée de détention à l’école de police. Alors que sa peine devrait prendre fin hier, 1er juin, M. Cissé ne quittera sa prison que le 15 de ce mois. Ses geôliers lui reprochent d’avoir «parlé à un journaliste». Que plaisanterie !
La rédaction du journal Liberté tient à préciser, sur l’honneur, qu’aucun de ses membres n’a rencontré M. Cissé ni sur sa demande ni sur celle d’un homme que nous croyons à présent désabusé et trahi par les siens. Nous avons procédé à un recoupement d’informations au cours duquel nous avons tenté de joindre le directeur de la police, sans y parvenir. C’est dire que si M. Cissé doit continuer à souffrir, ce serait parce que d’aucuns veulent se soustraire à la découverte de la vérité. Seulement, ils tapent à côté en pensant trouver un lien physique entre le détenu Cissé et l’information parue dans notre journal. C’est aussi la preuve qu’il est jugé nécessaire, par la hiérarchie de la police, de contraindre l’ancien secrétaire du directeur général au silence. Nous suivrons l’évolution de cette affaire jusqu’au bout et nous y reviendrons dans notre prochaine parution.
La rédaction
Affaire de l’identité judiciaire à la direction de la police :
Délai de détention prolongé pour Cissé
Suite à notre article paru dans l’édition n° 320 sur une affaire de fausse identité judiciaire, nous apprenons que la première victime, M. Cissé, secrétaire particulier du directeur général de la police nationale, a reçu une notification portant prolongation de sa durée de détention à l’école de police.
Alors que sa peine devrait prendre fin hier, 1er juin, M. Cissé ne quittera sa prison que le 15 de ce mois. Ses geôliers lui reprochent d’avoir «parlé à un journaliste». Que plaisanterie
La rédaction du journal Liberté tient à préciser, sur l’honneur, qu’aucun de ses membres n’a rencontré M. Cissé ni sur sa demande ni sur celle d’un homme que nous croyons à présent désabusé et trahi par les siens. Nous avons procédé à un recoupement d’informations au cours duquel nous avons tenté de joindre le directeur de la police, sans y parvenir. C’est dire que si M. Cissé doit continuer à souffrir, ce serait parce que d’aucuns veulent se soustraire à la découverte de la vérité. Seulement, ils tapent à côté en pensant trouver un lien physique entre le détenu Cissé et l’information parue dans notre journal. C’est aussi la preuve qu’il est jugé nécessaire, par la hiérarchie de la police, de contraindre l’ancien secrétaire du directeur général au silence. Nous suivrons l’évolution de cette affaire jusqu’au bout et nous y reviendrons dans notre prochaine parution.
La rédaction