“Valérie, n’aurais-tu pas cédé à l’orgueil et à la vanité?”

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Le journaliste français Augus­tin Trape­nard s’en est pris ouvertement à l’ancienne première dame Valérie Trierweiler dans une lettre ouverte pour le moins incisive.C’est à l’issue de l’émission “Le Tube” diffusée ce samedi sur Canal +, qu’Augus­tin Trape­nard a lu son courrier personnel à Valérie Trierweiler, une femme qu’il connaît bien pour avoir longuement discuté avec elle au cours d’un dîner, il y a quatre ans de cela.

“Nous avions longue­ment parlé de litté­ra­ture, de l’art de s’effa­cer pour la mettre en avant, la litté­ra­ture, se souvient-il. “Aujourd’hui, au lieu de porter les livres des autres, tu défends le tien dans le monde entier”, regrette-t-il ensuite. “Certes, cela t’a sans doute offert un peu de récon­fort, mais aussi de la renom­mée puis quelques deniers, il ne faut pas l’oublier”.

“Mais à quel prix l’as-tu écrit, ce livre assas­sin, Valé­rie?”, poursuit-il. “Au prix de la crédi­bi­lité du président que tu pour­fends dans le monde entier… Au prix de la crédi­bi­lité de la culture française aussi que tu égra­tignes avec ce témoi­gnage, conve­nons-en, de piètre quali­té… Et puis au prix de la gloire de nos roman­ciers enfin que tu as quelque peu éclip­sés cette rentrée si je me souviens bien”.

“Ah Valé­rie… sous couvert de liberté, n’aurais-tu pas cédé à l’orgueil et à la vanité”, accuse-t-il. “Où diable est passée ta passion des beaux livres? Cette passion que tu sais si bien parta­ger et qui a permis notre rencontre”, lance-t-il encore avant de conclure par la citation de George Sand. “À la passion, il n’y a de remède que la passion… à toi d’y remédier”.

Par  7sur7.be

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