Quand un militaire force notre admiration : Le Colonel-Major Mary Diarra, une référence

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Dans cette rubrique que nous consacrons aux porteurs d’uniforme, nous avons décidé de nous intéresser au Colonel-Major Mary Diarra, un homme pétri de compétences qu’il a mises au service de son pays depuis son incorporation au sein de l’Armée nationale.

Né en 1955 à Ngalamado dans le Cercle de Kolokani, région de Koulikoro, le Colonel-Major Mary Diarra est un ancien de l’Ecole Normale Supérieure de Bamako (ENSUP). Sa passion pour le métier des armes le contraint à quitter l’ENSUP en 1976 pour l’Ecole Militaire Interarmes (EMIA) de 1977 à 1979. Admis à l’Ecole Militaire d’Administration (EMA), de 1980 à 1981, il obtient un stage d’intendance des Palais en Algérie en 1988.

Il faut noter que le Colonel-Major MaryDiarra a gravi tous les échelons de l’administration militaire. Ainsi, de 1981 à 1986, il fut Commandant du Centre administratif de l’Armée de Terre avant de devenir, de 1987 à 1988, Adjoint Intendant Corps des Troupes. De 1989 à 2003, il devient l’Intendant titulaire des Palais.

A partir de 2003, commence une carrière fulgurante au niveau du Cabinet du ministère de la Défense et des anciens combattants comme Directeur Administratif et Financier jusqu’en 2011.

De 2011 à 2012, Mary Diarra est Inspecteur à l’Inspection Générale des Armées et Services. De 2012 à 2013, il est Chef de Cabinet du Ministère de la Défense et des anciens combattants.

De 2014 à nos jours, il est le Directeur des Finances et du Matériel du ministère de la Défense et des anciens combattants.

De 1980 à 2011, Mary Diarra a connu sept grades : Sous-Lieutenant, Lieutenant, Capitaine, Commandant, Lieutenant-Colonel, Colonel et Colonel-Major.

A son actif, on peut citer plusieurs décorations dont la Médaille du Mérite Militaire, la Médaille Commémorative de Campagne, la Croix de la Valeur Militaire et Chevalier de l’Ordre National.

Le Colonel-Major Mary Diarra qui est marié et père de deux enfants est décrit par ses chefs comme un militaire aux compétences extraordinaires d’une fidélité et d’une loyauté irréprochables. Pour ses subalternes, il incarne un modèle de chef.

La Rédaction

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6 COMMENTAIRES

  1. Cher journaliste c’est bon de faire l’éloge d’un cadre preféré,je te demande d’être un peu réaliste.Le cv ,né en 1955 ,s’il est inscrit à l’école en 1960 cinq ans après , pas évident d’ailleurs,en 1976 il ne peut pas être à l’ENSUP mon cher .(revoir la copie pour l’interêt du cadre en question).

  2. Sikasso, toi qui est professeur agrégé en critique, tu fais quoi pour ton Mali ? tu trop haineux et pas d’initiative, à par le critique, courage pour ton job.

  3. Très bonne initiative. Mais si vous ajoutez une photo de la personne, on le reconnaitra partout ou on va le croiser.
    Il faudra que notre pays fasse comme les américains en donnant des badges aux fils exemplaires de ce pays pour leur permettre de se faire reconnaitre partout ou ils passent.

  4. mon cher journaliste arrêté de faire le griot.Tu peux aller le chanter chez lui .Dans tous ce que tu as dis on ne voit pas ce qu’il a fait pour le Mali.
    Un colonel a du passé par lieutenant vraiment économise notre temps STP

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