Histoire de vie : De frigoriste à promoteur culturel

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11ème édition du festival sur le Niger : Oumou Sangaré, Fatoumata Diawara, Cheick Tidiane Seck, Amadou & Mariam attendus
Mamou Daffe

Quand le responsable du plus grand festival du Mali déposait ses valises à Ségou dans les années 80, en tant que frigoriste, rien ne prédisait qu’il allait, une trentaine d’années plus tard, devenir le super homme d’affaires de la région. Au fil des années, il a eu l’idée, avec ses camarades, de mettre en place un festival. C’était sans pour autant savoir que sa vie changerait grâce à cet événement.

Hé oui ! Aujourd’hui, bien que son atelier soit toujours fonctionnel à Ségou et désormais géré par ses pairs, notre frigoriste quant à lui, continue son petit bout de chemin dans l’industrie culturelle et se  veut désormais être appelé homme de culture par excellence !

En tout cas, pour ceux qui ne croient pas au destin, l’histoire de la vie de ce Monsieur est une raison qui colle parfaitement à ce mot, il suffit de croire en soi !

  Clarisse

 

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10 COMMENTAIRES

  1. C’est vrai, quand un homme se marie, c’est le couple. Vous faites tout ensemble.

    Bravo! A son épouse hollandaise qui est aussi à saluer. C’est elle l’initiatrice et l’architecte de tous ça. C’est son époux qui parle, la face visible. Il n ya rien d’anormale en ça mais il faut dire correctement les choses.

  2. LA VIE A BEAUCOUP DE LENDEMAIN
    CROYONS EN DIEU ET NOTRE PROPRES CAPACITES ET LE RESTE VIENDRA

  3. Le combat qu’à mené notre compatriote pour atteindre ce niveau est à féliciter. Mais je ne suis pas convaincu que si ce monsieur croyait en la théorie du destin, il serait arrivé à ce stade. La théorie du destin, emporte l’idée que nous sommes juste comme des acteurs dans le film de la vie. Nous sommes venus au monde avec des rôles pré-destinés (et nous ne pouvons que jouer ce rôle dans le film puis nous disparaitrons de l’écran (mort) quand notre rôle est terminé. Cette théorie du destin, nous accule à accepter notre sort avec résignation. J’entend plusieurs personnes dire: c’est le destin je n’y peux rien contre. Si notre Ami avait dit la même chose, il serait resté frigoriste. Il a plutôt cru en ses capacités et a combattu pour avancer. (il n’a pas jeté la manche après les 1ères difficultés). Il n’a pas accepté le rôle d’acteur frigoriste dans le film de la vie avec résignation. Il a pris sa vie en main en ne la laissant pas au gré d’une prétendue destiné. Nous sommes responsable dans la construction de notre histoire de vie. Je préfère plutôt la théorie des choix et conséquences qui nous motive et nous pousse à agir, plutôt que cette théorie de la destinée. Je sais qu’en écrivant ces idées je touche à la corde sensible de notre société; oui je viens de jeter le pavé dans la marre.

  4. Ha! Jeunesse malienne. Quelle honte! On dirait que ce n’est pas le français que la journaliste à écrit. Chacun vient raconter sa vie. Où faire du griotisme. Le texte est écrit en français facile et je dis chapeau pour de tel portrait qui galvanise. Mais comme le franc parlé du journaiiste vous dérange, vous vous jetez dans des commentaires inutiles. Vraiment c’est ridicule!

  5. 😆 😆 😆 😆
    Madou petit aigri n’à rien trouvé à dire que de dénigrer le travail de fond qu’abat cette jeune et dynamique journaliste. Bien qu’étant camerounaise les habitués de grandes scènes dans la sous région connaisse combien ses analyses sont pertinentes (ce n’est pas d’ailleurs pour rien qu’ elle travaille avec pas mal d événements et est la correspondante de 2 grands magazines) Se cacher derrière les pseudo pour pointer du doigt les autres, c’est facile pour exprimer sa faiblesse et c’est pourquoi nous n’ avançons pas.

  6. je suis de segou et je connais parfaitement daff son frere et cousin mamaye sow qui etait mon prof au ceti segou 1ere promo ….je sais qu il a viser aujour dhui malgre son hadicap c est homme feliciter…sinon les kaysiens sont de nature intelligent…bravo a mamou bravo a mamaye bravo au pti frere de mamaye ….madou etc….

  7. En plus le rôle d’ un journaliste c’ est de chercher la bonne information pour les lecteurs et non de raconter du n’ importe quoi .Renseignes toi bien sur ce Monsieur au parcours extraordinaire,1- quant il venait à Ségou ce n’ était pas dans les années 80 c’ est vague,précises l’ année ,stp ,2- pas pour dépanner les frigos malgré qu’ il avait fait la section Froid à l’ ECICA mais il est venu dans la cité des balanzans comme jeune entrepreneur avec son Vidéo Club que les gens connaissent très bien et peuvent en témoigner,ensuite créa son entreprises de froid,ensuite devint hôtelier et Homme de Culture….A chacun son destin,longue vie à Mr Daffé et que la jeune génération puisse se servir de son exemple….

  8. Hey, kolo wèrè tè nin na ka tè yèlèma; le samedi passé seulement cette même Clarisse dénigrait ce Festival,son promoteur et son communicateur.Et aujourd’hui tu jettes des fleurs à Mr Daffé ??? pour quelle raison ??? espèce de journaliste alimentaire ,tu fais chanter les gens pour de l’ argent .

  9. …………Frigoriste, chauffeur, mécanicien, maçon. ……….il n’y a pas de sous métier. On peut choisir un métier au départ pour vivre de son travail même si, une autre idée vous anime plus. Ce monsieur fait parti des rares personnes qui ont pu mettre en pratique, cete idée et c’est ça le plus important. On a plein de gens en Afrique qui n’ osent pas se lancer et préfèrent laisser mourir leurs idées. C’est un gâchis pour notre continent et pour l’humanité. Bonne continuation DAFFE!

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