La scène se passe le 1er août 2013. François Hollande reçoit les professionnels du cinéma à l’Elysée en présence de la ministre de la Culture Aurélie Filippetti, celle qui avait proposé le nom de la comédienne pour la Villa Médicis, Michel Sapin, mais aussi une certaine Julie Gayet, une jeune femme ravissante qui “prend la parole” pour ne plus la lâcher. La journaliste Elise Karlin auteur d’un livre sur la vie du chef de l’Etat raconte la scène et l’émotion non dissimulée du chef de l’Etat sidéré par l’élue de son coeur : “d’autres souhaitent s’exprimer. Rien à faire : le chef de l’Etat l’écoute avec attention et concentration. Il n’a d’yeux que pour elle, ce qui n’échappe à personne “. En effet si en août 2013, larumeur est connue dans Paris rares sont ceux qui ont osé en parler au président, et pour cause… il l’a déjà démentie la rumeur, au maire de Tulle le 19 juillet de la même année… mais aussi àValérie Trierweiler. Des dénégations qui ne convainquent pas.
Un président amoureux
Surtout ses amis savent que le président n’est pas très à l’aise sur ces questions “le président de l’Assemblée nationale Claude Bartolone s’est déjà fâché une fois avec François Hollande, qui l’a soupçonnée, au moment du début de sa relation avec Valérie Trierweiler, d’avoir évoqué publiquement sa vie privée“, rapporte la journaliste dans son livre. Chat échaudé craint l’eau froide… Pourtant Michel Sapin, son copain de 30 ans, dont l’épouse Valérie Senneville est très amie avec Valérie Trierweiler “finit pas lui envoyer secrètement un petit sms sarcastique, lui enjoignant de reprendre ses esprits avant qu’il ne prévienne qui de droit”,une allusion on ne peut plus claire à la first girlfriend, et à sa jalousie légendaire. Touché “le président a rougi” ajoute la journaliste, comme un aveu…
Retrouvez cet article sur CloserMag.fr