“Le crack était partout, c’était impossible d’y échapper”, se souvient l’artiste. “Je sens encore cette odeur putride dans les couloirs de mon école.” Jay Z n’en a jamais fumé mais il en a vendu. S’est-il senti coupable? “Seulement par après, quand je me suis rendu compte de l’impact que ça a eu sur la communauté. Mais au début, non. Je pensais seulement à survivre, à avoir une vie meilleure, à acheter des vêtements.” Malgré sa réputation de bad boy, il a conquis le coeur de Beyoncé. Jay Z confirme qu’il parle d’elle dans sa chanson “Part II (On the run)” issue de son dernier album, “Magna Carta… Holy Grail”.
On peut l’entendre dire: “Elle était une fille bien avant de me connaître”. Elle ne l’est plus à présent? “Nan, maintenant elle est gangsta”, plaisante le mari de la chanteuse. Il évoque la petite Blue Ivy: “Ma fille aime regarder les concerts de sa mère et elle aime mon dernier album. Elle met une chanson et puis quand ça s’arrête elle me dit: Encore, papa, encore! Elle est ma plus grande fan et ça me procure une joie immense.” Il en profite pour démentir une “rumeur ridicule” selon laquelle Beyoncé a eu recours à une mère porteuse.
“Je ne sais même pas comment répondre à ça. C’est tellement stupide. Vous savez, moi je n’y ai pas prêté attention mais il faut penser à elle. Je veux dire, nous vivons une belle vie, pas de quoi se plaindre, mais nous restons des êtres humains. Je n’ai pas compris pourquoi tous les blogs même dans le milieu du hip hop ont relayé cette rumeur.”
Auteur: 7sur7.be
