La grande ruée vers les lieux saints de l’Islam pour l’accomplissement d’un devoir religieux a commencé avec le 1er vol de l’agence Al Umra le 22 novembre dernier.
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Le pèlerinage à
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En fonction de critères préalablement fixés et après l’examen des demandes soumises par les différents agences ou groupe d’agences, elle a procédé à la répartition des 6 000 pèlerins entre la filière gouvernementale et la filière privée. La filière gouvernementale dont le 1er convoi a pris le départ le 26 novembre dernier est composée officiellement de 1250 pèlerins. Le reste, les ¾ ont été repartis entre les 29 agences ou groupement d’agences en fonction des demandes et des antécédents des différents postulants.
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Ainsi, le quota minimum de 50 pèlerins a été retenu et le maximum est de 600 selon Aliou Maïga, membre de la commission nationale d’organisation. Les agences Al Umra et Al Madina qui constituent les plus grosses pointures du privé ont officiellement bénéficié de 600 pèlerins chacun. Alors que Tam voyage, le groupe Delta, le Caho (Collectif des agences pour
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Selon Boubacar Tangara, l’assistant de direction, Al Madina a signé un contrat de transport avec Ethiopian Airlines qui atterrit systématiquement à Djeddah. Des bus sont alors affrétés pour conduire les voyageurs à Médine où l’ensemble des pèlerins devront séjourner une semaine durant avant de regagner
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« Nous sommes dans le pèlerinage depuis quelques années, mais cette année nous nous sommes investit pour valoriser le transport des pèlerins » nous a confié Boukary Sidibé, le Pdg de Azur voyage qui tend à raffermir son contrat avec Erythrean Airlines. En attendant, la compagnie est en train de respecter ses délais. C’est pourquoi, Azur voyage est alors sollicité par d’autres agences dont Delta voyage qui est confronté à un problème de transport. C’est simplement dire que de façon globale, le pèlerinage malien souffre d’un problème de transport. Ce qui fait dire M. Maïga « tant que nous n’aurons pas une compagnie pour assurer notre transport de façon courante, nous serons toujours tributaire des autres ».
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L’explication est trouvée pour les nombreux faux rendez-vous dont sont victimes les pèlerins de certaines agences. « Les faux rendez-vous sont monnaie courante dans les voyages du pèlerinage, l’essentiel c’est d’arriver à
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Après avoir été inscrit contre la somme de 1 .750 millions pour les privés et 1 .7 million pour la filière gouvernementale, les pèlerins ont, pour la plupart suivi des formations dispensées sur les pratiques du voyage.
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Souleymane Diallo
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