Faut-il vraiment continuer à payer des milliards pour se construire une maison dans le paradis en se rendant au pied du Mont Arafa pour seulement quelques heures d’invocations ? Cette question a son pesant d’or vu le nombre élevé des agences de voyage et le grand business autour du pèlerinage.
Il est important de se poser la question de savoir si le prophète Mahomet (PSL) aurait approuvé tout ce business que les musulmans se font autour de ce rituel à but spirituel qu’est le “Hajj” ; tout ce luxe dans les hôtels et les lieux de prière ; tous ces menus délicieux dans les “fast-food” ou les restaurants à proximité…Il semblerait même que la sécurité des pèlerins de cette année aurait été confiée à la filiale locale de la société de sécurité israélienne G4S.
Et puis surtout le coût des gadgets “made in China” qu’on offre au retour en guise de cadeaux et le coût total du voyage pour s’y rendre qui ne fait que grimper chaque année. Étant donné que la plupart des pèlerins vient de pays très pauvres où leurs frères et sœurs musulmans n’ont pas accès à l’eau potable, à l’enseignement de base, aux soins de santé primaires, à l’énergie et souffrent parfois même de malnutrition chronique,…vous comprendrez aisément pourquoi le “Hajj” est devenu un rituel ostentatoire dont les retombées économiques ne profitent seulement qu’aux organisateurs.
A-t-on vraiment besoin de payer des milliards pour aller chercher le paradis au pied du Mont Arafa en Arabie Saoudite ?
Avant la conquête arabo-musulmane, le culte des idoles et des anciens, morts ou vivants, avait une importance particulière dans nos sociétés dites animistes. Les classes d’âge donnaient les repères. L’âge donnait la légitimité. On choisissait le dirigeant en fonction de l’âge, le plus âgé étant celui qui se rapprochait le plus des anciens. Le pouvoir se transmettait de frère en frère, par ordre de naissance. Une assemblée d’adultes formalisait le choix. Elle pouvait décider de faire régner un frère plus jeune si l’aîné, pour une raison ou une autre (maladie, débilité, incapacité évidente), n’était pas en mesure d’assumer la charge. Le choix des dirigeants était trop important dans nos sociétés, pour que tout le monde y participe. Il était réservé à une élite gérontocratique minutieusement sélectionnée. N’importe quel vieux ne pouvait accéder au pouvoir. Il devait appartenir à l’élite qui tient sa légitimité soit de la conquête, soit de l’appartenance à la descendance des dirigeants.
Le pouvoir restait toujours dans la même famille et le même clan. Toute velléité de changement provoquait une crise. La conquête arabo-musulmane a profondément modifié la gouvernance dans nos pays. Elle est à l’origine de la création des États esclavagistes.
En effet, l’arrivée de l’islam a influé sur tous les secteurs de la vie, y compris le secteur politique. Le pouvoir ne se transmettait plus exclusivement par voie collatérale, mais de père en fils. Ce changement de légitimité et de légalité a été à l’origine de crises de succession dans les États qui ont adopté la nouvelle religion, avant que la transmission du pouvoir de père en fils ne s’impose à tous, avec son enracinement. Dans les empires du Mali et du Songhaï, l’islam a marqué, de façon indélébile le fonctionnement politique, social, économique et culturel de l’État.
Du fameux pèlerinage à la Mecque du roi Kankou Moussa à nos pèlerins du 21ème siècle, nous continuons à gérer les conséquences néfastes de l’arabisation de nos cultures qui ne fait que nous appauvrir en nous dépouillant de nos ressources en contrepartie de la félicité d’un paradis qui n’existe qu’après la mort. Au moment où les pays les plus peuplés au monde comme les États-Unis, la Chine, l’Inde, le Brésil, …et qui enregistrent très peu de musulmans, consacrent leurs ressources au bien-être de leurs populations, nous continuons à enrichir chaque année les rois saoudiens à coup de milliards au nom de la satisfaction du cinquième pilier d’un islam dont la pratique quotidienne dans nos pays laisse à désirer. Paradoxal non? Si la satisfaction de ce pilier pouvait garantir le paradis à leurs populations, les Chinois ou les Américains allaient tout entreprendre pour annexer l’Arabie Saoudite afin qu’elles puissent en être les premiers bénéficiaires.
Soyons réalistes! Nous sommes devenus musulmans pas à cause de la Foi, mais simplement parce que nos ancêtres ont été vaincus par les conquérants arabes. Après cette défaite, le vainqueur arabo-musulman nous a imposé sa langue, sa religion, sa monnaie et même sa culture.
Si le paradis existe réellement, on n’a vraiment pas besoin de payer des milliards pour aller le chercher au pied du Mont Arafa, en Arabie Saoudite. Consacrons nos ressources à la construction de l’avenir de nos progénitures en investissant dans des projets qui feront qu’elles n’iront plus mourir dans le Sahara ou la Méditerranée, à la recherche d’un eldorado européen. Faisons en sorte que dans nos pays, les femmes ne meurent plus dans les hôpitaux en donnant la vie. Donnons la chance à nos enfants de se former dans nos villages afin qu’ils ne se retrouvent pas un jour dans les bras des pseudos djihadistes. C’est à ce prix que nous aurons la paix et la sécurité. C’est à ce prix que nous vivrons dans un paradis terrestre en attendant le paradis.
Tientigui
Rien que la niaiserie cette article , il te reste beaucoup à apprendre .
ET GRAND MERCI AU GRAND PATRIOTE NOIR “COMBATS IDÉOLOGIQUES” POUR AVOIR INITIALISÉ LA DÉSISLAMISATION DES TERRES NOIRES D’ AFRIQUE.
LES ARABES CONSTRUISENT LEURS MAISONS ICI SUR TERRE ET NOUS OBLIGENT Á CONSTRUIRE LES NOTRES Á L’AU-DELÁ DANS UN SUPPOSÉ “PARADIS-DIVIN”-ARNAQUE.
PLUS RIEN ICI-BAS NE SAURA ARRETER LA LIBÉRATION DES TERRES DES GRIFFES SATANIQUES DE L’ ISLAM.
Ça enrichie surtout ces gourou$…
Excellent article.
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