Le chef de l’Etat burkinabè, Blaise Compaoré a, ce vendredi 20 septembre, partagé son expérience de médiateur dans les crises qui ont secoué plusieurs pays du continent africain. Au centre Wilson de Washington, dans une salle pleine comme un œuf, il a réaffirmé ses convictions pour un monde de paix. Pour lui, le dialogue intercommunautaire, les échanges interculturels constituent un impératif à la construction d’une Afrique nouvelle et d’un monde nouveau.
Blaise Compaoré présenté comme un faiseur de paix en Afrique a expliqué sa démarche pour ramener la paix dans le règlement pacifique des différends. S’inspirant de la tradition africaine dans laquelle les problèmes trouvent leurs solutions à travers les palabres et la concertation, Blaise Compaoré a insisté sur les vertus du dialogue dans la recherche de solution. Selon lui, « La fin des conflits, c’est aussi notre capacité à prévenir ». « Ce qui suppose que nous devons nous impliquer fortement dans la recherche de solutions aux conflits en partant de la prévention. Or prévenir c’est d’abord travailler à créer la confiance entre les populations, les administrations et les populations et aussi entre les différents gouvernements du monde », a indiqué M. Compaoré.
Il se dit convaincu que la prévention des conflits passe par le dialogue et le compromis. « Dans un conflit, on ne cherche pas à avoir tout pour soi et rien pour l’autre », a-t-il souligné. « Dans notre tradition, on dit que lorsque deux adultes se battent pour une somme d’argent, c’est qu’il y a un qui veut plus que l’autre », a lancé Blaise Compaoré, suscitant ainsi des éclats de rires et des acclamations de son auditoire. Cela pour insister sur l’importance du compris dans le règlement des conflits.
Les diplomates et la diaspora africaine venus à cette conférence ont pu échanger avec le président Compaoré sur le développement économique et démocratique du continent noir. Celui-ci les a invités à s’organiser pour participer efficacement au développement de leurs pays.
Les organisateurs de la conférence ont salué le rôle que joue le chef de l’Etat burkinabè dans la recherche de paix en Afrique. Pour eux, Blaise Compaoré est tout simplement « un héros ».
Enok KINDO à Washington
Source: Sidwaya
Je pense pas ce soient les américains qui le traitent de héros. C’est le titre qui se trouve en forme de commentaire du journaliste qui crée la confusion.
La médiation est une stratégie de survie pour Blaise, et il fait bien son jeu. Il lui reconnaître au moins cette intelligence. mais comme on le dit, on peut tromper les gens pendant un temps mais jamais tout le monde tout le temps. Wait and see!
Un assassin traité de héro par les états unis, c’est le comble.
qu,ils le conseil de partir en 2015. si non ya drap .
En 2015, on saura si c’est un homme de paix. 😉
BLAISE est un putschiste,et maintenant il se défini comme MEDIATEUR,FAISEUR DE PAIX en manipulant un talisman…LE COMPROMIS: (« Dans un conflit, on ne cherche pas à avoir tout pour soi et rien pour l’autre »)
Ainsi donc, il grugé tout le monde à OUAGA en tentant de concilier un ETAT ET DES BANDITS ARMES à base de palabre traditionnelle…TROP fort ce BLAISE.
PRIX NOBEL DE LA PALABRE
Bref, en résumé : “faites ce que je dis et pas ce que je fais”.
Blaise Compaoré “héros” de la paix?
Mais vous plaisantez ou quoi?
En assassinant Sankara on ne peut plus devenir un héros en Afrique, ça c’est fini Blaise.
Mais ce sont des cancres maliens à l’image de Sanogo, ATT et autres Dioncounda et Tiebilé Dramé, qui donnent par leur nullité crasse, l’illusion au monde entier que Blaise Compaoré a une quelconque utilité en Afrique alors qu’en réalité il est l’inutile premier.
Le jour où le brave peuple frère du Burkina se réveillera nos amis américains sauront la vérité.
Donc Wait And see!
Comments are closed.