La grande disette de recettes fiscales de 2019 commence à se faire ressentir durement sur le portefeuille des importateurs. Car il revient au service des douanes, semble-t-il, la lourde corvée de combler le gap annuel occasionné par la consommation de l’assiette des impôts par anticipation. En tout cas, pour atteindre les missions budgétaires assignées par les hautes autorités financières, les gabelous sont à la manœuvre. Rien n’a filtré pour l’heure pour les autres produits d’importation mais les acheteurs de voiture seront sans doute les premières victimes de la nouvelle donne. Les droits de douane sur cette catégorie de marchandises ont connu une hausse assez vertigineuse pour jouer conséquemment sur les prix, au risque de les rendre inaccessible aux acheteurs. Or leur écoulement sur le marché est aussi la condition sine qua non de leur importation, donc de l’atteinte des proportions de recettes sur lesquelles tablent les autorités.
«Sheraton» licence à tout-va
Sans doute conçu comme une structure propice à l’emploi, l’hôtel Sheraton est sur le point de s’illustrer plus comme une boîte à licenciement. Selon nos sources, il se passe rarement un mois sans qu’un employé ne soit mis à la porte, après avoir nourri l’espoir d’une stabilité socioprofessionnelle. Nos sources rapportent par ailleurs que la pratique consiste à ne jamais passer directement un contrat de travail avec les demandeurs d’emploi dès le départ. Il nous revient en clair que près deux-tiers d’entre eux passent par un essai et peuvent être virés pendant cette période d’exploitation temporaire. Ceux qui sont renvoyés sont systématiquement remplacés parmi le lot des centaines de demandeurs en attente et qui sont passés par le même test de recrutement que les premières vagues de retenus. En définitive, rapporte notre source, rares sont les travailleurs rassurés par des engagements solides du directoire. L’hôtel avait été pourtant présenté à tous au départ comme un projet porteur d’emploi, dans un contexte marqué par les grandes promesses présidentielles dans ce domaine.
La Rédaction
C’est comme “tonton Trump” le bobo blanc,
il surtaxe les marchandises et les denrées, mais ce sont les plus pauvres qui en patissent! Car si lui et ses bobo peuvent se le permettre, les plus modestes, non!
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