Un véhicule de l’armée fait un tonneau avec des prisonniers jihadistes à bord : 1 mort et 2 blessés

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La semaine dernière, l’armée a fait des prisonniers jihadistes dans la zone de Ménaka comme l’a révélé, d’ailleurs les médias. Au cours du transfert de ces prisonniers à Gao, le véhicule de l’armée a fait un accident et le bilan est lourd : 1 gendarme tué sur le coup et deux militaires blessés. Transférés à Bamako, ces militaires ont été admis à l’hôpital du Mali, sis à Yirimadio. Selon les dernières informations, l’un des blessé serait toujours en réanimation et l’autre, qui  n’a reçu que des égratignures devait rejoindre hier son domicile. Contrairement donc à une rumeur qui avait circulé, ces patients bénéficient de toute l’attention des autorités militaires et médicales. Prompt rétablissement à ces braves soldats qui donnent leur vie pour la patrie. 

 

 

Un motard de l’escorte présidentielle percute un véhicule   

L’incident s’est produit dimanche non loin du marché de Sébénikoro entre 10 et 11 heures: un motard de l’escorte présidentielle a violement percuté une voiture avec au volant une dame, blessant grièvement sur le coup le conducteur de l’engin. Celui-ci, d’après notre source a été   immédiatement transféré dans un hôpital de la place. Il faut rappeler que juste après son élection à la magistrature suprême, des services du ministère des transports ont aussitôt enlevé tous les ralentisseurs qui se trouvaient sur la voie du domicile du président jusqu’à la cité administrative, pour permettre à l’escorte présidentielle de passer sans encombre.  Cependant, la nécessité d’une barrière de sécurité pour épargner la vie des riverains se pose avec acuité.

 

Un chef de fraction touareg assassiné dans les environs d’Ansongo

Selon de sources  concordantes, le chef de la fraction touareg de N’Tikabarte, une localité située à 44 km d’Ansongo dans la région de Gao et sa fille ont été assassinés dans la nuit du dimanche à lundi par deux bandits armés, qui ont blessé son épouse.

 

 

Agé d’une cinquantaine d’années,  il a été tué, selon ses mêmes  sources par deux hommes armés qui lui aurait   demandé un montant  de deux millions de FCFA. N’ayant pas été en mesure de débourser ces sous,  le patriarche qui se nommait    Erzagani a été tué du coup avec sa fille par ses bourreaux.

K THERA,  B SEGBEDJI

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1 commentaire

  1. Mr le journaliste,aites un tour à Sébénicoro et vous verrez que le marché est situé après la résidence de IBK en allant vers KANADJIKILA et il n’ya pas de ralentisseurs entre woyowoyanko et le marché de sébénicoro.
    Pour le chef rebel tué au nord, il récolte ce qu’il a sémé. Desolé pour sa famille

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