Sans doute le président du RPM, Bocari Tréta, ne s’attendait-il pas à incarner le déclin de sa famille politique en se battant becs et ongles pour succéder à IBK. En plus d’être dépourvu de tout moyen de son fonctionnement, avec notamment la disette de financement des partis, la locomotive de l’ancienne majorité se trouve dans le creux d’une vague sans précédent de fausses compagnies. La salve ne s’est pas limitée à défection massive des composantes les plus significatives de l’EPM. A cet isolement relatif du président de cette alliance s’ajoute une saignée interne qui risque fort d’atteindre les proportions d’un esseulement de Bocari Tréta au sein de sa famille politique. La vague, enclenchée avec la démission surprenante de l’influent membre du BPN, Baba Moulaye, s’est aussitôt poursuivie avec celle du non moins influent ancien député Oumar Traoré alias Gaucher. Comme si cela ne suffisait pas, elle vient d’atteindre la loge de gardiens du temple comme le confrère Sambi Touré dont les raisons de départ s’apparentent à celles d’une vague plus ancienne de défections consécutives aux préparatifs des dernières législatives.
Pour leur congrès, les Ademistes tablent finalement sur le mois d’Août
Les motifs de report des assises du PASJ se multiplient et ne se ressemblent pas. A chaque étape franchie succède de nouvelles contraintes insoupçonnées. Aux dernières nouvelles, en effet, le congrès du parti, cumulé à ceux de ses mouvements affiliés, pourrait n’avoir lieu qu’en mi-Août après plusieurs ajournements pour diverses raisons. En cause, le respect d’une disposition en vertu de laquelle les modifications apportées aux textes du parti devraient passer par le toilettage des différentes structures de base avant leur adoption par les assises. Et tenez-vous bien, il ne s’agit point des équipes sortantes mais des sections nouvellement installées. Or, celles-ci étaient à peine renouvelées au tiers à la date initialement annoncée pour la tenue de sélections. De source bien introduite, le processus de renouvellement des structures de base a finalement atteint la masse critique qui permette d’ouvrir la relecture des textes à la base. Ce serait probablement le dernier obstacle à l’installation de la nouvelle équipe dirigeante devant aborder les prochaines joutes électorales.
La Rédaction
Sangare Djeli a ecrit: L’ADEMA PASJ, LE RPM,PARENA,CNID,SADI ne sont pas des personnes physiques, mais des personnes morales. Tu fais rire avec les crimes economiques que ce partis ont commis au Mali, ils ne peuvent representer aucune valeur morale dans ce pays, ce nesont que des enterprises de voleurs, des corrompus et des vrais charognards humains!
C’est dommage pour ce parti, ex-majorité sous le régime d’IBK qui n’a pas su se comporter pour la rétention de ses grands ténors qui ne voient plus leur avenir politique au sein du parti. Après un grand échec comme le départ du grand manitou, aucun parti ne peut survivre à ce secousse grave, une turbulence sans commune mesure et qui déracine les fondements même du parti si les grands ténors n’y prennent pas garde. En pareille circonstance, il faut beaucoup de tacts et d’intelligence pour désamorcer cette situation très dangereuse pour l’avenir même du parti, il faut éviter le cycle infernal des démissions en acceptant certains compromis pour garantir la quiétude au sein de cette entité qui eu de beaux jours devant elle. La bataille ne serait pas facile car les défections actuelles vont à l’encontre des intérêts du parti, dans la mesure où il s’agit de personnages très importants qui étaient à des positions très névralgiques pour l’équilibre du groupe. Aussi, ceux qui désistés vont au sein d’autres entités politiques qui sont des adversaires redoutables contre le RPM dans les prochaines échéances électorales, de plus ils connaissent toutes les grandes stratégies du parti qui serons utilisées contre lui sans aucune équivoque. La bataille du Président du parti n’est pas et ne sera pas facile, il se munir de beaucoup de courage et d’intelligences pour maintenir l’équilibre au sein de sa formation politique; il lui faut: intelligences, courages, dextérités, témérités, esprits d’initiatives créatrices, pro-actifs, sans aucune excentricité. Voici la recette, pour réussir, il lui faut de très bons conseillers. Du courage à vous Président, pourriez parvenir à mener cette difficile lutte.
Kinguiranke le dérangé.
L’ADEMA PASJ,LE RPM,PARENA,CNID,SADI ne sont pas des personnes physiques,mais des personnes morales.
Personne morale veut dire les HOMMES PASSENT,LA STRUCTURE RESTE.
Ceux qui ont animé L’ADEMA PASJ quand il dirigeait le Mali de 1992 à 2002 ne sont pas ceux qui animent actuellement sa direction.
TIEMOKO SANGARE,actuel président du parti,a été un grand opposant de L’ADEMA PASJ aux côtés de son mentor MOHAMED LAMINE TRAORÉ après avoir bataillé pour faire gagner le parti en 1992.
Il est revenu dans le parti après qu’il ait perdu le pouvoir.
Beaucoup qui sont actuellement dans la direction étaient de simples militants,certains des étudiants quand ADEMA PASJ exerçait le pouvoir.
Les hommes viennent dans le parti en espérant pouvoir faire adopter leurs IDÉES,convaincre le maximum de militants de suivre les principes auxquels ils croient.
S’ils réussissent,ils mettent le temps qu’il faut et laissent la place à d’autres.
Certains de part leurs mauvaises gestions peuvent ternir l’image du parti comme ça l’a été avec IBK.
Ses successeurs DIONKOUNDA TRAORÉ,TIEMOKO SANGARE ont mis leurs pas dans ceux d’IBK,non dans ceux du premier président ALPHA OUMAR KONARÉ obligeant trop de cadres à s’éloigner du parti dont Mme SY KADIATOU SOW.
Comme le FLN avec BOUTEFLIKA en 1999,un cadre peut revenir donner à L’ADEMA PASJ son lustre d’antan.
MODIBO KEITA est plébiscité actuellement alors que son parti l’US RDA ne fait plus partie des GRANDS PARTIS de la scène politique malienne.
Ça veut dire que ceux qui animent son parti n’arrivent pas à s’accorder avec les aspirations du peuple.
Si c’est fait le parti peut revenir au pouvoir.
Les partis cités sont des partis qui ont lutté pour la DÉMOCRATIE.
Il serait mieux indiqué,pour ceux qui ne sont pas dérangés,de les respecter et espérer qu’ils vont continuer à lutter pour la consolidation de la démocratie.
OSER LUTTER,C’EST OSER VAINCRE!!!
La lutte continue.
Le Mali ne doit plus tolerer que des voleurs continuent de diriger le Mali, des hommes et femmes sans pudeur et sans honneur doivent partir, tous les crocodiles apatrides et vautours humains de 1992 doivent disparaitre et laisser le Mali en paix, les partis “politiques” ou club des vautours et industriels politiques comme l’ADEMA, RPM, PARENA, CNID, SADI et le MPR doivent disparaitre de la scene politique Malienne!
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