Le 29 mars dernier, des soldats français de l’Opération Barkhane ont lancé un raid contre un véhicule à bord duquel se trouvaient des éléments proches d’AQMI. C’était près de la localité de Tékroumé, située à environ 120 km au nord de Tombouctou.
Après de violents échanges de tirs, il y a eu 2 morts et 1 prisonnier côté djihadistes. L’examen des corps de l’un d’eux a permis l’identification du Marocain Saïd Dagdag dit Abdourahmane Al Maghrebi. Ce dernier est bien connu par les services de renseignements pour être connu comme un redoutable formateur dans le maniement d’armes lourdes et des explosifs.
Tombouctou :
Echec aux braqueurs
Deux individus armés ont tenté, dimanche 01 avril 2018, de braquer une boutique à Hamabangou, un quartier de Tombouctou. Selon des témoins, les assaillants étaient en train de menacer le boutiquier, quand des habitants du quartier sont intervenus.
Ils auraient tabassé ces deux présumés voleurs. L’un d’entre eux aurait été remis à la police et l’autre grièvement blessé serait admis à l’hôpital.
Médicaments par terre :
De plus en plus utilisés
Les médicaments de la rue communément appelés « yala yala foura » sont de nos jours très prisés par les populations. Cependant, ils sont, selon les médecins, extrêmement dangereux pour la santé publique. Pourtant, ceux qui les achètent estiment que ces médicaments sont moins chers, disponibles partout et efficaces. Malgré les vagues de sensibilisations menées par les autorités sanitaires sur la dangerosité des médicaments de la rue, les populations continuent de s’approvisionner régulièrement à la « pharmacie par terre ». Ceux qui payent ces médicaments contrefaits sont convaincus de leur efficacité et de leur accessibilité. Selon eux, c’est la cherté des produits de la pharmacie qui les obligent à payer ses médicaments de la rue.
Libre circulation dans l’Uemoa /
Le ministre ivoirien du commerce plaide la réciprocité
Le ministre du commerce, de l’artisanat et de la promotion des Petites et moyennes entreprises (PME), Souleymane Diarrassouba a invité, lundi dernier, les pays de la sous-région, à la réciprocité en facilitant la libre circulation des marchandises.
Le ministre s’exprimait face à des cadres de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), venus lui présenter les activités du Système ouest-africain d’accréditation (SOAC) qui sera basé à Abidjan.
Selon Souleymane Diarrasouba, qui assure également l’intérim du ministère de l’industrie et des mines, «il faudrait que la libre circulation soit effective aussi bien dans l’UEMOA que dans la CEDEAO», insistant sur le respect des textes signés « librement ». Le ministre a par ailleurs salué le choix de la Côte d’Ivoire pour abriter le siège de la SOAC.
La Rédaction