Les pirates modernes (bandits armés) cherchent un ou des repreneurs agréés pour la Bande de l’Azawad, donnée «zones humides fortement convectives» à vendre !
Chose bizarre, on dirait qu’il ne se passe rien, il ne s’est rien passé et rien n’est entrain d’arrivé au pays tout entier. Pourquoi cette occultation volontaire ? Elle se conjugue au présent à la peur collective qui habite tout un chacun, conscient du degré de fragilisation de l’État et eu égard à la grande désorganisation de l’armée nationale. On a honte, mais on vit le «spectacle de la rareté» ! Hélas ! Même si tout ce long parcours ne nous a mené nulle part (dixit, Dr. CMD)
Livre d’or sur le social au Mali
Qui d’autres les citoyens et citoyennes maliennes ont-ils donc comme personnes morales ou physiques, entité politique (État) ou géographique (Cedeao, Uemoa) pour prendre en charge leurs intérêts matériels et moraux, et les aider à défendre leurs vies en péril et leurs territoires des localités du nord ? Personne ne viendra à notre secours. Ce qu’on sait le mieux du reste. Mais qui va être là, à part le capitaine Sanogo Amadou Haya (SAH), après M. le Président de la République par Intérim, l’honorable professeur Dioncounda Traoré, pour aider le peuple à sauver la face ? Devra-t-on encore attendre plus longtemps que la situation ne se décante d’elle-même, ou quoi faire camarade Lénine ? Lui, qui s’appuyant sur la théorie et la méthode de Marx et d’Engels, a développé leurs idées, en fonction de la nouvelle donne de l’époque.
Il donna réponse ainsi aux cruciales questions du développement social, questions qui, à l’heure actuelle, agitent le monde entier et dont la solution détermine les destinées du mouvement révolutionnaire mondial, les destinées du genre humain. D’où il n’est pas du tout étonnant que le mouvement «trop c’est trop» des femmes de Kati et de leurs enfants, aie fini par renverser le pouvoir dévitalisé d’Amadou Toumani Touré, ce mercredi 21 mars 2012.