Pourquoi le gouvernement du Mali a décidé de créer à Djalakorodji une zone industrielle alors ? Dès lors, on ne comprend pas la construction d’une usine de fabrique de savon (Barikatigui) à Sotuba qui sera dans les mois à venir un des quartiers chics de Bamako. Ce qui est compréhensible pour le Malien lambda, c’est que le pouvoir de l’argent est passé là malgré l’existence d’une étude de faisabilité convaincante faite par un commis de l’Etat.
Comme ce fut le cas de l’hôtel Kimpeski, construit dans le lit du fleuve Djoiliba ou de l’usine d’engrais Toguna, situé à Banankabougou. Pourtant, un industriel libanais de la place avait récemment comparé la vénalité du cadre malien à un dogue à la recherche d’un os. Pou qui connait le promoteur de cette usine de fabrique de savon, il aurait tout simplement mis en jeu des espèces sonnantes et trébuchantes pour avoir un titre foncier récent à Sotuba et l’accord des départements ministériels concernés.
Beaucoup d’usines de la zone industrielle du quartier Sans fil ont mis la clé sous le paillasson, pourquoi ne pas racheter une et la redémarrer ? Au lieu d’aller empoisonner l’atmosphère à Sotuba résidence ?
S’il est un mal dont beaucoup de Maliens souffrent, c’est sans doute celui des pieds. Les spécialistes dans ce domaine sont rares dans la médecine moderne. Les longues marches et la vieillesse seraient les principales causes de la maladie des pieds.
Au Mali, elle est devenue presqu’une endémie. Généralement, les malades font recours à la médecine traditionnelle. Là aussi, les chances de guérison sont minimes. Que faut-il faire alors ?
Depuis le changement de nom de
Informé, le directeur régional de la société Transrail s’est mis en colère en dénonçant le chargement des véhicules dans leur enceinte. Avant d’ajouter que ces chargements sont à la base de la baisse des recettes de Transrail.
Mécontents des propos du patron des lieux, les transporteurs auraient adressé une correspondance au ministre de l’Equipement et des Transports pour toute fin utile.