LE DIRECTEUR REGIONAL DE L’OMATHO RELEVE !
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Il fallait s’y attendre ! Et nous l’avions prédit dans ces colonnes. La démission surprise du CNID au RPM de Monsieur Madani Niang, Professeur de Lettres, à l’époque Directeur Régional de l’OMATHO (Office Malien du Tourisme et de l’Hôtellerie) de Ségou en pleine campagne des législatives lui vaut aujourd’hui d’être relevé de ses fonctions. Et surtout de retourner à la craie. Depuis quelques jours, c’est Mr Alassane Maiga, certainement un cadre bon teint du parti du soleil levant, précédemment à la Direction Régionale du District de Bamako qui dirigera désormais l’OMATHO de Ségou.
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L’institutionnalisation d’un concours pour Directeurs de CAP en 2003 par le département de l’éducation avec forte coloration MIRIA (du reste il n’a vécu qu’une seule fois) avait été fatale pour bon nombres de cadres de l’enseignement qui dirigeaient ces Centres d’Animation Pédagogique, surtout ceux d’obédience ADEMA ou URD. C’est ainsi que dans notre livraison N° 06 du 13 Décembre 2003, nous titrions que l’Académie d’Enseignement de Ségou est devenue un Garage pour cadres relevés, avec pas moins de 3 Directeurs de CAP et un certain nombre de Proviseurs et Censeurs qui rongent leur pouce dans ce local. Eh bien ! Plusieurs d’entre eux ont pris une revanche sur l’histoire. Zacharia Dembele, Conseiller National est aujourd’hui la 2eme personnalité de cette institution qu’est le Haut Conseil des Collectivités Territoriales. Siga Bouaré, élu Député à Ségou, dirige depuis des semaines la Commission Développement Rural de l’Assemblée Nationale du Mali. Namory Keita s’active désormais au Projet Millénaire de Ségou.
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MODIBO NDIAYE NOUVEAU COMMANDANT DE LA REGION MILITAIRE DE SEGOU
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C’est finalement une promotion pour le Lieutenant Colonel Modibo Ndiaye, longtemps assurant les charges d’Adjoint ou d’Intérimaire du Commandement militaire de la Zone de Défense de Ségou. Apres le départ du Colonel Salif Koné pour une mission de maintien de la paix des Nations Unies au Rwanda, Modibo Ndiaye vient d’être confirmé à ce poste.
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Yeelen Kura n’arrive pas à honorer ces engagements vis à vis de la population. Après acquisition de 2 groupes de 100 KVA et 300 KVA, toujours la vraie lumière se fait désirer à Bla. Les nouvelles extensions que sont Diourala, Flawère sont équipées en compteur mais sans fusible et ne sont donc pas encore alimentées. Il parait qu’il y a crise de fusible et de transformateur sur le marché et pourtant l’argent des compteurs a été récupéré et le KW se vend à 175 F sans aucune explication n’ait été donnée à la population qui commence a s’impatienter.
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AMADOU SIMAGA DE L’HOPITAL DE SEGOU CREE UNE TEMPETE DANS UN VERRE D’EAU
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Notre livraison dernière a vraiment crée des vagues à l’Hôpital de Ségou et la houle qui s’en est suivie a failli particulièrement emporté Monsieur Amadou Simaga du service financier. Qui a paniqué des jours durant. Comme si l’homme se reprochait quelque chose. Dans la publicité des titres du journal, serinée par notre radio, deux articles diamétralement opposés ont pourtant intéressé notre financier : Vol à l’Hôpital de Ségou, des agents interpellés et Amadou Simaga déféré en prison.
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Le premier écrit, sous forme de bulle, n’a cité aucun de ces agents qui ont défilé chez les pandores tandis que le second traite plutôt de notre corporation d’où un certain Amadou Simaga a pu s’infiltrer pour arnaquer des chefs de service avant d’être écroué. Le financier de l’hôpital a pu « se reconnaître » dans les écrits sans jamais lire le journal. Il a déversé sa bile sur plusieurs confrères de la radio (l’hôpital n’étant distant de notre Groupe de Presse que de 50 m) avec le genre de propos qui ne fait d’ailleurs peur à personne : « Je vais porter plainte ! Voilà ! Ce qu’on dit des radios libres est juste… ».
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Le jour de la distribution du journal, il s’en est fallu de peu pour que ses envoyés, se disant délégués par l’Hôpital de Ségou ne nous arrachent les exemplaires avant l’heure et cela avant que le Directeur du Nianankoro Fomba ne convoque une réunion de crise pour aplanir une situation qui pouvait aller à la dérive tant notre voisinage en rajoutait et le suspense aussi garantit quant au jour légal de parution. Le morveux Simaga n’aura pourtant pas le cœur net à la lecture des deux articles, lui qui a juré que si le journal traite d’un Amadou Simaga en prison, ça ne peut être que lui puisque dans tout Ségou, ils ne sont que trois, le patron de la SOMATRA, un de ses homonymes de Médine qui ne sort jamais et lui même ! Se transformant en détective, le financier de l’hôpital alla se rassurer auprès des surveillants de prison si un Amadou Simaga n’y était pas détenu !
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LE PRESIDENT DE LA BAD A BLA
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Le président de la BAD (Banque Africaine de Développement) le Docteur Donald Kaberuca à la tête d’une importante délégation a visité l’ouvrage du Seuil de Talo le Samedi 22 Septembre 2007. Dans une brève allocation le Maire de Fani (commune abritant le Seuil) a exprimé toute la joie des bénéficiaires quant aux bienfaits de l’ouvrage. Pour lui ce qui préoccupe actuellement la population de la zone c’est la poursuite de l’aménagement des plaines rizicoles. Le Maire en guise de solidarité a émis le vœu de voir la BAD examiner avec la plus grande attention le dossier de construction du Seuil de Djenné.
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C’est un Donald Kaberuca visiblement satisfait qui a exhorté les populations à protéger et entretenir les installations afin d’en tirer le maximum de profit avant de poursuivre que l’objectif est de faire en sorte que les générations futures puissent bénéficier des impacts positifs de cet ouvrage hydro agricole, pour asseoir par eux mêmes des services sociaux de bases tels que l’éducation et la santé, sans avoir recours à la main tendue. La visite a pris fin dans la cour de World Vision où des associations féminines, bénéficiaires des actions du P.M.B avaient exposé leurs produits de transformations composés de couscous à base de riz, jus de « zeguene » (rônier) jus de « zaban » etc.…
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LES MUSULMANS DE SEGOU BERNES : LA NOUVELLE GRANDE MOSQUEE N’ABRITERA QUE 1500 PLACES AU LIEU DE 3300
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Le Vendredi 7 Avril 2006 fut un grand dans la vie des musulmans de Ségou. Ce jour, Ségou a accueilli son Excellence Amadou Toumani Touré et son homologue Libyen le Guide de la révolution Mohamar Kadhafi. Kadhafi venait d’honorer une promesse tenue aux musulmans de Ségou à travers l’AMAI (Association Mondiale pour l’Appel Islamique). Il s’agit de la construction d’une mosquée moderne. Une mosquée de référence au niveau de la sous région. Mosquée de référence non seulement par son architecture mais aussi par sa capacité d’accueil car l’ancienne grande mosquée de Ségou ne pouvait plus contenir les fidèles les vendredis et les jours de grande prière. Cette nouvelle mosquée venait à point nommée combler un déficit. Lors des cérémonies de la pause de la 1ère pierre, la Libye a promis devant Dieu et les hommes que cette mosquée aura une capacité de 3.300 places ; le rez-de-chaussée pour les hommes et l’étage pour les femmes.
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Assurément, une mosquée de 3.300 places est une mosquée de référence sous régionale. Le Président de la République, le Gouverneur de la Région de Ségou, Le Président du Haut Conseil Islamique de Ségou, de l’AMUPI (Association Malienne pour l’Unité et le Progrès de l’Islam), le Chef religieux et l’Imam ont tous rendu grâce à Dieu et ont vivement remercié le Guide de la révolution, le frère Mohamar Kadhafi pour ce geste à l’endroit de la communauté musulmane de Ségou. Les travaux ont démarré le 1er Mars 2007 pour un délai d’exécution des travaux de 12 mois. Avec 7 mois de travaux, le constat est général. La mosquée ne pourra désormais abriter que 1.500 fidèles. Ce qui l’écarte du titre de grande mosquée. Le Président du Haut Conseil Islamique de Ségou et Président de l’AMUPI, Cheick Mohamed Hachim HAÏDARA nous a exprimé ses inquiétudes et s’apprête à réunir les fidèles autour de la question car dit il « c’est une honte et c’est inadmissible ce qui se passe ».
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Le chef religieux Bassedou TALL est aussi inquiet car avec une capacité de 1.500 places on ne peut pas parler de grande mosquée. Le Gouverneur de Ségou Abou SOW, lors de la visite sur le terrain, a été attiré par l’étroitesse de la mosquée et avait même fait une proposition de solution pour qu’on augmente sur la capacité : il s’agit par exemple de fermer l’espace aérien réservé pour l’aération et la lumière du jour. Au lieu que la nouvelle grande mosquée accueille le triple de l’ancienne l’on se demande maintenant qui aura le nom de grande mosquée entre les deux, certains trouvant que la capacité de la mosquée des libyens est inférieure à celle qui se situe au Grand marché. Que s’est il passé ? À quel niveau se situent les responsabilités ?
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Première remarque : selon Cheick Hachim HAÏDARA et Bassedou TALL la mosquée qui est entrain d’être construite n’est pas la photocopie de la 1ère maquette (Voir Photo de la Une) qui leurs avait été montrée. Où est-elle passée ? « Quand le plan de la mosquée était venu de la Libye, il était incomplet » explique l’ingénieur des travaux de construction, Mamadou Traoré. C’est donc dans cet état qu’il a été remis à l’Entreprise CHECEC, choisit pour la construction par l’AMAI l’Association Mondiale pour l’Appel Islamique (maître d’ouvrage). L’entreprise CHECEC a revu et corrigé le plan dans les normes de la construction. Cette correction n’avait rien à voir avec la capacité ou l’architecture.
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L’ingénieur a attendu 1 mois sur le terrain avant de mettre la main sur le plan et démarrer les travaux. Où se trouvait le plan en ce moment ? En tout état de cause on n’a pas besoin d’un montant de 1 Milliard et demi pour bâtir un complexe de 3200m² y compris mosquée, administration, école coranique et logement de l’Imam. En somme les 1 Milliard et demi débloqués par la Libye n’ont pas été, avec efficience, utilisés pour la cause mais ne nous demandez pas quelle direction le reliquat du montant a pris car c’est une mosquée généreuse qui a été offerte à Ségou et même là, l’islam interdit de berner son prochain.
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Le 3 Octobre dernier, aux environs de 16 h 20, un car de la Compagnie de Transport SATRACOM, immatriculé R 1249 MD, en provenance de Fangasso, dans le Cercle de Bla s’immobilisa au poste de contrôle de la douane de Bla en direction de Ségou. A la question des douaniers de savoir le contenu du car, le chauffer expliqua qu’il ne transportait que des passagers. Or, à vue d’œil, les agents ont constaté que là haut du car, il était surchargé de gros sacs que le chauffeur dit ne contenir que du « Fakouhoye », plante utilisée dans la préparation d’une sauce très prisée chez les sonrhaïs.
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Doté d’un excellent flair, les douaniers ont décidé de vérifier les allégations du chauffeur. Le constat routinier s’avéra fructueux puisque la fouille des bagages s’est soldée par la découverte d’une importante quantité de chanvre indien intelligemment dissimulée dans les sacs de « Fakouhoye ». La cargaison comprenait 73 briques de 2 kg chacune, soit 146 kg de drogue. Le chef de bureau de douane, le Contrôleur Moulaye Haidara et ses hommes ont immédiatement sollicités la gendarmerie pour l’arrestation des dealers qui avaient tenté de prendre le large, mais heureusement les hommes du Major Sabou Ag Samango furent prompts.
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Le Contrôleur Moulaye Haidara exhortera ainsi les populations de Bla et environ à collaborer avec eux pour démasquer ceux qui nuisent à l’économie de notre pays et à la santé publique de nos concitoyens par le trafic de drogue. Le véhicule et son contenu sont sous bonne garde au poste de contrôle. Quant au chauffeur, il se trouve entre quatre murs en attendant de s’expliquer devant le juge. Bravo au Contrôleur Moulaye Haidara et ses hommes qui viennent pour la énième fois de débarrasser les populations de fossoyeurs sans vergogne.
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Sidi Bertele Correspondant à Bla
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