Ségou Ntené :Le Rectorat de l’Université de Ségou à l’immeuble CNAR

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Le Rectorat de l’Université de Ségou devrait avoir pignon sur rue à l’Immeuble CNAR en plein centre commercial de Ségou. C’est ce qu’on apprend de sources provenant de cette compagnie d’assurance. Qui fera libérer dans quelques semaines certains occupants des locaux et qui a ouvert une manifestation d’intérêt pour la réhabilitation de l’immeuble.

BBM promu Directeur adjoint
Pressenti un moment pour diriger le CAP de Ségou (ce poste a été dévolu à un revenant Zacharia Dembélé), Boureima Bocar Maiga alias BBM vient d’être nommé Directeur Adjoint de l’Académie d’Enseignement de Ségou, un poste vacant depuis le départ de Malamine Togora, promu à l’Académie de San et perdant vite son fauteuil de D/AE pour Diolokoro Diallo alias Diol. Ancien D/CAP dans la région de Mopti, BBM était jusque à sa nomination chef de section à l’Académie de Ségou.

Une citerne de la Somayaf prend feu à Tené
Il y a eu plus de peur que de mal vendredi dernier à Tènè (40 km de San sur la route de Mopti). Une citerne pleine de carburant, appartenant à la Société Yatassaye et Fils a pris feu toute seule aux environs de 21 heures ce 29 avril créant une panique dans cette agglomération avant de se consumer totalement. On se rappelle qu’il y a quelques années, entre Tènè et Tominian, l’incendie spectaculaire d’un camion citerne avait crée une hécatombe : 30 personnes brulés vives et une quarantaine de blessés graves.

Dioro : Zou tue son père
Les populations de Dioro se sont réveillées ce 26 avril avec un crime digne de ce nom. Zoumana Dembélé, 23 ans, domicilié à Ngoa s’est emparé d’une houe pour assener des coups à son père. Dianguiné Dembélé n’a pas survécu au forfait de son fils, succombant quelques heures après de ses blessures. Zoumana Dembélé ne devrait pas avoir toute sa lucidité au moment des faits, mais le parricide était déjà consommé ; il s’expliquera bientôt alors devant un juge sur les vrais mobiles.

La maîtresse était-elle à l’origine du décès de son élève ?
C’est l’interrogation qui vibrait sur les lèvres de plusieurs élèves du Groupe Scolaire Thierno Hady Kontao de Ségou, non loin du Camp Militaire de Ségou. Passées les funérailles de l’enfant, la pauvre maitresse qui a paniqué serait désormais blanchie par les parents du petit Bakary Doucouré, un tantinet maladif qui a reçu ce matin du mois d’avril 2 coups de fouet, comme d’ailleurs beaucoup d’élèves de sa classe en terme de punition, avant de piquer une crise dont il ne se relèvera plus. Si Mme Keita, l’enseignante s’en sort indemne de ce tragique destin qui s’abat sur la famille Doucouré, il faut espérer que certains maîtres devront faire attention à l’avenir au châtiment corporel qu’interdit désormais le règlement intérieur de l’école qui plus est, si on connait l’état de santé de ses élèves

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