Sur le plan de la santé, à Kidal, non seulement il n’y a aucun médecin de l’Etat, en plus avec cette situation, point de bonne coordination.
Le seul chirurgien de Kidal, n’est pas fonctionnaire de l’Etat. Il travaille pour le CICR. Et même d’infirmier, il n’y qu’un seul (spécialiste dentiste) qui ne dispose pas de moyens matériels pour travailler correctement. Ce n’est pas tout. Dans toute la région, il n’ya ni d’ophtalmologue, ni de pédiatre, ni de gynécologue.
Siège de l’Association des historiens Africains au Mali
Dehors !
Le Mali s’est battu pour avoir et abriter le siège de l’Association des historiens africains. Curieusement, pendant qu’ils sont encore dans le bâtiment, le local a été vendu à l’honorable Niangado.
En effet, dans l’accord de siège qu’il a signé avec l’Association des historiens africains, le Mali s’est engagé à leur donner un siège. Et, effectivement, un bâtiment au confort approximatif a été mis à leur disposition au marché Dibida. Mais, quelle n’a été la surprise des animateurs du siège, quand, le 25 mai, jour de l’Afrique, le nouvel acquéreur est venu pour commencer à tout casser. A noter que l’association des historiens africains avait son siège à Dakar au Sénégal. C’est à la demande des autorités politiques de noter pays que l’Association des historiens du Mali, (ASHIMA) s’est battue pour que le siège quitte le Sénégal pour le Mali.
Terrorisme au grand Sahara
L’EI menace de mort le Général Gamou
Les cellules de Daesch dans le Grand Sahara qui ont récemment revendiqué l’assassinat de plusieurs personnalités dans les localités de Douentza et de Gossi vient d’établir une nouvelle liste d’autres personnes devant subir le même sort. Parmi celles-ci, figure le Général Gamou qui conduit actuellement les troupes du GATIA dans le cadre d’une coalition avec celles du MSA de Moussa Ag Acharatoumane pour traquer les éléments de Daesch dans le Grand Sahara.
Rappelons que ce n’est pas la première fois que le Général Ag Gamou fait l’objet de menace de mort. Le même groupe lui avait adressé une missive dans ce sens, fin juin 2017, et dans laquelle lui et Moussa Ag Acharatoumane ont tous deux été menacés de mort.
11ème promotion de l’ESO
Des sous-officiers privés de leurs primes de logement
Depuis leur affectation le 18 octobre 2017, plus de 60 sous-officiers de l’ESO, (école des sous-officiers) affectés à l’Armée de Terre (AT) n’auraient jusqu’à présent pas bénéficié d’un centime de leurs primes de logement, contrairement à leurs collègues des autres corps. Bonne nouvelle, enfin la hiérarchie leur apprend qu’ils commenceront à avoir leurs dus à partir de ce mois de juin.
Mauvaise nouvelle : il n’y aura pas de rappel des 8 mois précédents.