Présidentielle de 2012 : Les grandes familles sikassoises réclament le lancement de l’UMAM à Sikasso !!!

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Avec plus de 300 000 adhérents déjà enregistrés au moment où nous bouclons cette édition, cette association (Union des Mouvements et Associations pour le Mali : UMAM) fidèle à M. Jeamille Bittar et aux multiples visages, cosmopolite puisque composée de mouvements et autres forces vives de la Nation malienne se veut fédératrice de tous les fils du Mali afin qu’en 2012, elle élie son challenger, (le jeune loup qui a révolutionné le secteur économique dans notre pays) à la magistrature suprême de notre pays.

C’est fort de son programme et surtout de la personnalité de son initiateur et camarades, qu’actuellement les familles fondatrices de Sikasso à l’unisson veulent que l’enfant du pays vient lancer l’UMAM chez eux. Les pourparlers sont très bien avancés pour que  le lancement de l’UMAM puisse avoir lieu dans la capitale du Kénédougou. En tout cas à en croire nos sources, toutes les grandes familles de la ville de Sikasso seront heureuses de voir Jeamille Bittar et son équipe venir leur faire honneur en lançant leur mouvement patriotique à Sikasso. C’est-à-dire faire cas aussi de sa candidature pour quoi pas ? En fait, l’UMAM est un mouvement qui a pour objectif de mettre sur orbite la nouvelle génération qui s’est fait découvrir sous l’ère ATT par son ingéniosité, son savoir-faire et surtout, par son pragmatisme. La touche d’ATT en quelque sorte qui se résume à trois mots : pragmatisme, respect de la parole donnée et défense des intérêts du Mali.Le changement dans la continuité. « Et l’une des forces de Jeamille Bittar demeure sa sociabilité, toujours en contact direct avec le peuple avec qui il communique et connait ses problèmes », nous confie un proche. L’appel des Sikassois car de l’avis général, Bittar est un homme fédérateur, bon patriote qui réfléchie et agie comme l’actuel locataire de Koulouba ». « Et c’est là où il risque de faire très mal », nous confie un observateur de la scène politique.

 

B.  Dicko

 

 

 

Chut ! N’Diaye Bah et Séméga  dans la tourmente !

Décidément au PDES, on semble être fort dans l’hypocrisie. Et pour cause, après le semblant de paix montré aux hommes de médias il y a quelques semaines, pourtant la marmite boue à tel point que  le clash tant annoncé n’est plus à écarter si rein n’est fait. Ainsi, donc, depuis quelques temps, le permanent, non moins ex Ministre de son état, s’adonne à envoyer des lettres circulaires tant à l’intérieur du pays, qu’à l’extérieur comme lorsqu’il était au CNID pour une diversion qui ne dit pas son nom, à croire nos sources. Cette attitude de ce vice président qui est connu pour ces pratiques qui lui ont valu une exclusion du parti du soleil levant récemment,  n’est pas du tout apprécié par l’entourage du premier vice président, M. Jeamille Bittar. C’est ainsi que nos sources révèlent que celui-ci l’a rappelé à l’ordre et intime le Président Séméga à ordonner à son acolyte d’arrêter son entreprise de culture de la haine et de la division au moment où les autres formations politiques à travers le pays, travaillent à l’unisson. La bataille pour le contrôle du PDES se poursuit de plus belle. Mais précise une autre source au PDES à l’encontre de Séméga et son groupe : « ils seront très surpris car, nous leur prouverons que nous maîtrisons la situation. Nous serons toujours sans nul doute, devant eux par rapport au parti et à la défense des acquits du Président de la République». En guise de rappel, « lors de la dernière visite du Président Séméga récemment à Paris, il a tenu une réunion avec les cadres du partis sans ceux qu’ils jugent être proches de Jeamille BIttar. Dans ce cas, où est le respect de la parole Monsieur le Président ? », martèle un militant chevronné qui s’inquiète de l’avenir du parti au rythme où évoluent les choses. Aussi, le Président n’a-t-il pas bouclé une tournée à Nioro avec le permanent et les membres fidèles de son Cabinet sans que les autres du CND ne soient associés ?

Ce qui est sûr la paix des braves est loin de voir le jour entre le président Séméga et son premier vice président, Jeamille Bittar. La cause est connue : le contrôle du parti.

 

Congrès du PDES en octobre

 

Pour désigner le candidat du parti…

C’est ce que signalent nos radars. En réalité le Président du parti et ses camarades sentant les choses leur échapper, jouent aux prolongations afin d‘empêcher le cadre le mieux placer pour porter les couleurs du parti. « Vous savez, Séméga sait que M. Jeamille Bittar est le mieux placer pour être le candidat du parti à la présidentielle de 2012. C’est pour cela ses manœuvres dilatoires sont décriées par le camp du premier vice président qui continuent à travailler la base composée à majorité d’associations, de mouvements de jeunes et de femmes fédérés autour de l’UMAM. C’est dire que la cabale de Séméga et consorts a de fortes chances d’échouer et risquera même de l’avis un militant avisé, de diviser le parti du couple présidentiel. Et le choix du mois d’octobre vise à retarder le choix du parti pendant que les autres formations politiques sont déjà en précampagne. Et dans cette affaire le permanent du parti est indexé du doigt d’être celui qui va briser le parti même si un proche dit le contraire.

 

Rassemblés par Hamady


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