«Le bondage est un terme contemporain qui fait référence à des pratiques sexuelles où l’un des partenaires attache l’autre. Il appartient à l’entité «BDSM», pour Bondage Discipline Domination Soumission, qui utilise la mise en scène de certains fantasmes avec contrainte, domination, douleur et humiliation. Elle nécessite la négociation d’un contrat clair, écrit ou oral, entre dominant et dominé…».
Si vous avez bien compris cette définition du bondage (nous n’en doutons point), appliquez-la au sondage du sieur Sidiki Guindo lequel prétend que 70% des maliens sont satsifaits des actes posés par IBK.
Nominations, limogeages et promotions :
Les directions régionales bientôt touchées
De sources bien introduites, les nominations et limogeages désormais entrepris par les caciques du RPM concerneront très bientôt les directions régionales. Des cadres du parti présidentiel se sont d’ores et déjà partagé les postes. Mais à malin, malien démi ! Les cadres devant être limogés ont compris et ont tout naturellement regagné les rangs du parti ! Qui dit mieux ?
Nomadisme politique
Le maire ADEMA de la commune II rejoint le RPM
De sources bien introduites, le maire Youssouf Coulibaly de la Commune II a lui aussi rejoint les rangs du RPM. Signalons qu’il a été dissuadé de briguer les législatives dans sa commune contre le rejeton du président IBK. Il a séjourné quelques jours au pole économique pour mauvaise gestion et attribution illégale de parcelle. Quelques mois après sa libération, le voilà donc qui demenage avec arme et bagages chez les tisserands. Ainsi la politique au Mali.
IBK en Guinée
Cahier d’un retour au pays natal
Il est de Koutiala ; Peut-être bien ! Mais les origines du président malien remontent en Guinée tout comme, se retrouvent au Mali, celles de son homologue guinéen. Bien entendu, il n’y a pas de quoi fouetter un chat. Il parait d’ailleurs que l’espèce humaine est d’origine extra-terrestre. En somme, nous venons tous de quelque part. Il ne faudra surtout pas s’en cacher à l’image de ce directeur d’un service (censé être l’élite des forces armées et de sécurité du Mali) et recemment promu à ce poste après le limogeage de son prédécesseur pour sa présumée implication auprès de Sanogo. Suivez mon regard ! Vive l’amitié entre le Mali et la Guinée !
L’ex-chef d’Etat-major général des armées inculpé
Ce qu’on lui reproche
Il a été inculpé en fin de semaine dernière mais remis en liberté. Il s’agit du Général Dahirou Dembélé, ex-chef d’Etat-major général des Armées. Le juge d’instruction Yaya Karembé lui reproche d’avoir signé un document de mise à disposition des éléments portés disparus au compte de l’opération BADENKO alors qu’il était censé connaître leur sort. L’anomalie lui a été bel et bien signalée auparavant.
Aussi, il appuyé la thèse «des mercenaires » en affirmant, tout comme le Colonel major Diamou Keïta, que les militaires faits prisonniers et qui seront par la suite exécutés (des éléments bérets-rouges) étaient des mercenaires. Ce dernier aussi (Diamou Keïta) a été entendu pour ce motif. L’on s’attend tout logiquement à son inculpation.
Rappelons que pour sa part, que le Général Yamoussa Camara a été inculpé et écroué presque pour les mêmes motifs.
N’importe quoi.
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