Très actif sur les réseaux sociaux notamment Facebook, Moussa Mara a communiqué sur sa récente visite à la Maison Centrale d’Arrêt de Bamako. Sur sa page officielle, l’ancien Premier Ministre indique avoir rendu visite à un détenu de notoriété publique. Il s’agit du chroniqueur radio Mohamed Bathily dit Ras Bath.
A en croire, l’ancien prétendant au palais présidentiel de Koulouba, « son ami », qu’il connaît depuis plus de 23 ans, « sortira grandi de cette nouvelle épreuve ». Car selon Moussa Mara, Ras Bath a toujours fait « preuve de résilience devant l’adversité.
La dernière poignée de main d’Assimi Goïta
A la surprise générale, le Président de la Transition a procédé, le 1er juillet, à un remaniement au sein du gouvernement. Au total, une quinzaine de ministres ont été évincés ou redéployés. Cinq jours après leur départ, les recalés du gouvernement ont été reçus par le Chef de l’Etat le jeudi 6 juillet au Palais de Koulouba pour, dit-on, « les féliciter et leur témoigner la reconnaissance du peuple malien ».
Soit le lendemain du traditionnel Conseil de Ministres auquel ils n’ont pas pris part pour la première fois. Cette rencontre a été aussi une occasion pour les désormais ex-ministres de serrer, pour la dernière fois, la main du Président Assimi Goïta, avant de se dire au revoir voire adieu même s’ils étaient « visiblement ravis » comme l’a indiqué la Cellule de communication de la présidence.
Homicide tous azimuts
Ces derniers temps, les cas d’homicide sont légion au sein des couples. Alors que des enquêtes sur les circonstances de la mort d’un entrepreneur, domicilié à Sotuba-Bamako, sont en cours et que l’épouse de ce dernier est soupçonnée, voilà qu’une autre affaire de tentative de meurtre défraie la chronique.
En effet, d’après des témoignages, un jeune époux s’en est violemment pris à son épouse dont il aurait ôté un œil au cours d’une tentative d’assassinat sur fond de jalousie. « Si tu me quittes, personne d’autre ne pourra te marier », aurait lancé l’agresseur à sa victime avant de prendre la poudre d’escampette de son quartier résidentiel de Banconi. Comme quoi, la violence conjugale n’est pas perpétrée que par les hommes.
Il fallait garder ce farfelu Moussa Joseph a la Maison Centrale d’arrêt ainsi il aurait paye pour les pertes en vies humaines a Kidal!
Comments are closed.