Ce sont deux nouveaux cas d’Ebola qui sont désormais en traitement dans une unité de soins intensifs à Bamako, a annoncé hier un communiqué du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique .
Selon le même communiqué, “ l’analyse des échantillons testés au laboratoire dans la journée du dimanche 23 novembre 2014 a donné ce jour 24 novembre 2014 les résultats suivants : un cas suspect sans rapport avec les malades de la clinique privée de Bamako a été testé négatif et un cas suspect en rapport avec le cas la clinique privée de Bamako a été testé positif ».
Poursuit le même communiqué, « au total, le bilan depuis le début de cette épidémie se chiffre à 7 cas positifs dont la fillette de Kayes et ix cas (6) confirmés liés au patient décédé dans une clinique privée de la place ». Avant de préciser qu’à la date de ce lundi 24 novembre, deux (2) cas confirmés sont en traitement dans un centre spécialisé ».
L’actuelle épidémie d’Ebola, la plus grave de l’histoire de cette fièvre hémorragique identifiée en 1976 en Afrique centrale, qui s’est déclarée il y a presque un an dans le sud de la Guinée, a fait au moins 5.459 morts sur 15.351 cas recensés, selon le dernier bilan de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).
O.D
URD
L’ancien président part « déçu »
Ancien candidat à la présidentielle malienne de 2013, ancien ministre, ancien président de la Commission de l’Union économique et monétaire de l’Afrique de l’Ouest (Uémoa), Soumaïla Cissé, prend la tête de son parti, l’URD. Il devient du coup le chef de l’opposition malienne, et il se prépare pour les futures batailles politiques. Mais, celui qui a occupé la présidence de l’URD , Younoussi Touré, serait parti très en colère puisqu’il n’a pas été autorisé ni à prononcer un discours encore conduire les travaux du congrès. Il a d’ailleurs précipitamment quitté les lieux.
