Il se passe des choses à Bamako et peut même dans le reste du pays, apparemment anodin, mais qui ont un impact, le plus souvent, néfaste sur la vie des citadins. Pour quoi ne pas en parler.
La bataille contre l’ensablement des grands arteres
Le difficile pari en CIV
Vous vous souvenez certainement que dans les colonnes de votre, nous avions le non balayage des artères principaux de la CIV, notamment à Lafiabougou, vitrine de cette commune. Eh bien, depuis plus de six mois, la municipalité s’y atèle avec abnégation.
Bravo à l’équipe municipale. Seulement, si les populations de commune ne s’impliquent pas, la bataille risque d’être perdue. D’abord en ne laissant sur la chaussée aucunes ordures, ce qui ne coûte rien. C’est juste comportemental.
En s’organisant pour daller les rues, communément appelée carré ; comme à Missira et à Médina coura en CII. Parce que c’est de là que viennent toutes les saletés, du sable par les roues des véhicules.
Les associations de jeunes et de femmes, les chefs doivent développer une vaste campagne de sensibilisation dans ce sens. Critiquer c’est bien mais s’impliquer est encore mieux.
… et la qualite de la baguette de pain…
Toujours mauvaise
Toujours en Commune IV nous avons aussi dénoncé la qualité de la baguette de pain, surtout celle de la première livraison. La situation n’a pas évolué.
Les boulangers véreux continuent à rouler les consommateurs dans la farine en leur livrant des baguettes qui ne correspondent pas aux normes connues (en taille, poids et goût…).
Il va falloir que l’Association des boulangers sévissent pour mettre cette bande de “petits malins” au pas. Nos appels seront-ils entendus ?
EDM-SOMAGEP
Les bénévoles et les petits agents sucent les consommateurs et ternissent l’image des Sociétés
Ils profitent de l’analphabétisme des abonnés pour les tromper afin de les voler copieusement et pendant longtemps. 8 m3 d’eau de consommation qui coûte 3360 Fcfa parce que multipliés par 420 Fcfa. Nous avons trouvé cela excessif malgré l’augmentation annoncée des tarifs. Si nous nous trompons, veuillez bien nous corriger.
Quant à l’électricité, là aussi des pratiques mafieuses demeurent. Qui a fixé les frais de rétablissement de l’électricité à 5 000 Fcfa ? Vous allez me dire que c’est dans les agences que toutes infos sont sensées être données.
Peine perdue ! Comme si cette situation de pagaille arrangeait ces responsables des agences d’exploitation. Ou encore, demandez qu’on vous explique le calcul des factures, vous ne comprendrez rien.
Dans notre pays, c’est comme donnez la vraie info nuit aux intérêts de ceux qui doivent la donnée. Maintenir le client ou l’usager dans le flou total semble être la Caverne d’Ali Baba. La vie est chère le slogan de tous.
D’autres se la veulent couler douce sur le dos du bas peuple ou de la population moyenne. N’an ma hinè nyôgon na, Allah tè hinè an na.
Rassemblés par Badri
Tant que le Gouvernement n’ouvre pas la concurrence dans ce secteur la population n’aura jamais la paix.
Personne ne comprend le système de calcul de ces génies du vol.
N’ont – il pas conscience de la souffrance du peuple avec des coupures intempestives. Les maliens doivent imiter le Sénégal. Refuser de payer les factures tant que le problème de prix et le délestage ne sont pas règlés.
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