Les récentes conclusions de cette organisation onusienne sur la situation de l’enfance au Mali sont pour le moins alarmantes. Pour le seul Centre du Mali, ce sont près de 400 000 enfants qui sont dans le besoin d’une assistance pour échapper aux maladies mortelles. En plus d’être criants, ces chiffres ont la particularité de contraster si nettement avec les données sur lesquelles le président de la République a reposé sa réélection en 2018. Il y a un an, en effet, les espaces publics de la capitale et d’ailleurs, dans le cadre notamment de la campagne présidentielle, étaient inondés de slogans sur les réalisations du premier quinquennat d’IBK. Y figurent justement les résultats prétendument engrangés dans le domaine de la vaccination, qui ont été estimés par son équipe de campagne à 180 millions de vaccins administrés aux enfants maliens en 5 années, et cela en dépit de l’insécurité sur 2/3 du territoire. Que les proportions d’enfants menacés de mortalité soient aussi énormes au bout d’une année impose des interrogations : il s’agit soit d’un grotesque mensonge ou d’un détournement qui n’a rien à envier à l’achat des hélicoptères cloués au sol.
La Rédaction
S’sgisssnt d’IBK il s’agit des deux : mensonge et détournement . De 2013 à nos jours , IBK n’a rien maîtrisé . Il parle sans savoir exactement ce qu’il dit ou ce qu’il veut . Mais les organisations internationales sont aussi complices de la situation désastreuse que notre pays est entrain de subir . IBK ne gère absolument rien que deux choses : ses multiples déplacements à l’ettanger et les scandales financiers . Il ne peut pas dire avoir vacciné tous ces enfants , puisque les régions sous la tutelle des séparatistes , lui IBK ne peut s’y rendre à fortiori d’autres fonctionnaires. L’administration malienne gonfle les chiffres à partir de Bamako . Comme illustration lors de l’election présidentielle de 2018, dans ces parties zones de conflit, les resultats ont été donné dans les hôtels de la capitale et les maisons des membres de la CMA , à coût de milliards . L’UE qui a refusé d’assurer la couverture de ces régions a pourtant reconnu les faux résultats proclamés à partir de Bamako.
Dire qu’il a été soutenu par Paris et Washington et les capitales occidentales surtout !
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