Les non-dits du contre coup de force entre militaire du 30 avril

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Comment les bérets rouges sont parvenus à maîtriser l’aéroport Bamako-Sénou 

pendant une heure

Selon nos informations, les commandos parachutistes sont arrivés à l’aéroport  de Sénou a bord des deux ambulances  militaires appartenant à l’unité.  Arrivée au premier poste de contrôle de l’aéroport, le chauffeur de l’ambulance a fait savoir à l’agent qu’il transporte  un malade qui devrait être évacué en France,  mais l’agent  du jour , faisant sien l’adage ”  la confiance n’estime pas le contrôle ” , fut très curieux de voir le contenus de l’ambulance. Il a été  surpris  par les premiers tirs des commandos; heureusement pour lui, sa vie n’a pas été en danger. Ensuite, les commandos parachutistes qui, ont une bonne connaissance du terrain de l’Aéroport Bamako-sénou, sont parvenus à neutraliser les cinq postes stratégiques de l’aérodrome.  Les forces de sécurité et autres agents de l’aéroport n’ont pas voulu chercher midi à quatorze, ce fut le sauve qui peut. Pendant une heure de temps, les éléments de l’ex aide de camps du président déchu, Abdine Guindo avaient la maitrise de l’Aéroport. Avant d’être chassés plus tard par un premier renfort du Génie militaire.

 Malgré, un fort

dispositif sécuritaire mise en place par le CNRDRE

Une vingtaine de bérets rouges ont  occupé facilement  l’ORTM

De sources dignes de foi, une vingtaine seulement des commandos ont occupé facilement l’Office  de radio diffusion et télévision du Mali. Cela malgré le dispositif sécuritaire mis en place depuis le 22 mars dernier  par les hommes du capitaine Amadou Haya Sanogo. Selon nos informations, les bérets rouge ont demande à  la direction de l’ORTM de libérer tous les personnels non indispensables. Malheureusement on déplore des morts, mais l’ORTM n’a enregistré aucune perte en vue humaine parmi ses agents.

Au quartier général du CNRDRE à Kati

Comment les hommes du capitaine Sanogo ont déjoué le coup  infiltré par les bérets rouges

Les commandos parachutistes avaient infiltré un fou dans le quartier général de la junte à Kati. Le fou en question avait un comportement suspect, après avoir  réussi à sillonner le  QG du CNRDRE, il avait  choisi un lieu stratégique non loin de la grande porte d’entrée du PC de la junte pour y installer une natte. A chaque heure, il faisait des prières. Seulement, les hommes du capitaine Sanogo n’ont jamais voulu être complaisants .C’est ainsi qu’un soldat a reçu l’ordre de son chef de poste d’aller évacuer le fou. Avec cela, le soldat a demandé au fou de se présenter,  ce dernier  paniqué, a voulus distraire le soldat par  des paroles inutiles.

Du coup, il a appelé un autre soldat pour l’aider à refouler le fou. L’homme était loin d’être un fou ordinaire, mais  un espion envoyé par le 33 ème régiment de Djicoroni para pour recueillir des informations de Kati. Il possédait 5 téléphones portables et un appareil photo. Apres avoir été copieusement fouetté, il est passé aux aveux. Dès lors, les locataires du camp de Djicoroni s’avait que le combat était perdu, faute d’information.

 

 

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